Supérieurs Inconnus, Question Juive, Gnose, Martinisme, Homosexualité : Rapide synthèse + florilège de citations

Depuis des décennies, principalement dans les milieux nationalistes et d’extrême droite, une idée forte à la dent dure prévaut dans les esprits. Cette idée est loin d’être dénuée de tout fondement. Elle peut même, toute proportion gardée, donner lieu à des explications pertinentes. Mais elle nous semble, en définitive, n’être qu’un écran de fumée servant à voiler une réalité plus dérangeante.

Ainsi, nous dit-on, le Nouvel Ordre Mondial serait aux mains de rabbins ultra-orthodoxes omnipotents et hyper bien organisés. Ils dirigeraient le monde politique, le monde de la finance, l’ensemble des structures économiques internationales, voire tout le réseau des sociétés secrètes qui influencent les peuples de manière souterraine depuis plus d’un siècle, en Occident comme en Orient.

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Nous nous inscrivons en faux contre cette version des faits. Affirmer que des hommes comme Moïse Mendelssohn, Adolphe Isaac Crémieux, Benjamin D’Israëli, Bernard Baruch, Walter Lippmann ou encore Jacob Schiff auraient été les agents de ces « rabbins Loubavitch tout puissants », constitue à nos yeux une fable peu convaincante. De même, appliquer cette théorie au sujet de Vladimir Poutine, Donald Trump, Georges Soros, Yuval Noah Harari et carrément les Rothschild (!) nous révélant qu’ils seraient tous sous la coupe de ces mêmes rabbins ultra-dangereux nous semble quelque peu ridicule. C’est une explication qui ne convaincra, à notre humble avis, que les consommateurs de contenu YouTube et les personnes intellectuellement paresseuses.

Cela nous fait penser à une autre théorie popularisée dans les années 50, principalement par les juifs Benjamin Freedman et Arthur Koestler, mettant en avant un complot « khazar » contre l’humanité. Il s’agissait là d’une autre escroquerie intellectuelle qui permettait néanmoins certaines révélations, notamment au sujet du sionisme politique. Elle permettait surtout de brouiller les pistes. La réalité est un petit peu plus complexe, et disons le franchement : elle est bien plus intéressante.

Ceci étant dit nous proposerons une rapide synthèse de la subversion des peuples en faisant appel, pour commencer, à l’un des auteurs les plus compétents en la matière, à savoir Jean Vaquié, auquel nous rendons hommage. Nous nous permettrons de le citer longuement :

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Jean Vaquié (1911-1992)

«Une grande puissance internationale attire d’emblée notre attention, c’est le mondialisme financier. De nombreux ouvrages, ces dernières années, en ont décrit le fonctionnement. Il est bien certain que l’argent est pour beaucoup dans l’orientation des grands partis et même des États, dans le déclenchement des guerres et des révolutions. On nous en a administré la preuve avec des documents irréfutables. Seulement nous en venons tout de même à nous demander si l’on ne fait pas la part trop belle à l’argent et si l’on ne sous-estime pas la puissance des philosophies, des mobiles « spéculatifs », lesquels sont mondialement gérés par les grandes filières initiatiques. Il faut, très rapidement, examiner cette question. C’est au milieu du XIXe siècle que l’on a commencé à ressentir l’action de ces états-majors internationaux. On leur a donné le nom de pouvoir occulte, expression qui fait comprendre la difficulté de les identifier. On les sent agir mais on n’arrive pas à les situer. Ils forment le centre nécessaire en même temps qu’invisible. Par exemple, il est impossible de localiser leur capitale mondiale. Et pourtant ce ne sont pas les hypothèses qui manquent (…) Qu’on lui donne le nom de « pouvoir occulte » ou « d’ubiquité internationale », ce qui est important pour notre enquête c’est de savoir ce qui, au sein de ce « super gouvernement », va dicter les orientations. Est-ce que ce sera le poids de l’or (les seules exigences financières) ou bien la force logique de l’idéal ? Avons-nous à faire à une « super-banque » ou à une « super loge » ? On a souvent remarqué que l’or est un instrument, indispensable certes, mais un instrument qui se met de lui-même au service d’une idéologie. – Or, dans les cercles de l’ubiquité internationale, les idéologies s’entre croisent – Ce qui alimente les ambitions des conjurés ce sont, plus que tout autre chose, les vieilles chimères, les vieux désirs ancestraux d’hégémonie. L’hégémonie anglo-saxonne, élargie à l’Amérique, savoure déjà sa victoire. L’hégémonie juive n’est plus qu’à quelques encablures du port. Les prophéties d’empire de l’Imam islamique n’ont jamais eu tant d’adeptes. Les jaunes ont aussi leurs prédictions antiques (…) Allons tout de suite au but. C’est Lucifer qui attise tous ces impérialismes. C’est lui qui les fomente : « Cette puissance toute entière m’a été remise. Et à qui je veux je la donne. » (Luc – IV – 6). Mais il ne sait régner que par la rivalité des membres. C’est pourquoi il promet l’empire du monde à un grand nombre de nations. C’est par lui que le pouvoir occulte est présidé.

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Les francs-maçons ont parfaitement raison de représenter la cité terrestre sous la forme d’une pyramide tronquée. Elle est tronquée pour deux raisons. D’abord parce que sa construction n’est pas encore achevée. Mais aussi parce que, dès aujourd’hui, le monde est gouverné par un être invisible. Le pouvoir occulte est exercé par le Prince de ce monde. »

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Extrait des Cahiers Jean Vaquié n°19, (Éditions ACRF), p 71-72.

Un mot d’Honoré de Balzac qui fut, comme Maurice Barrès ou Joseph de Maistre en leur temps, initié au martinisme :

Honoré de Balzac

« C’est dans la scène du mysticisme que naissent toutes les sociétés secrètes qui ont existé et existent encore sur notre globe et qui toutes, mues par de tels ressorts mystérieux, ont dominé et continuent encore, malgré les gouvernements, à dominer le monde. Ces sociétés secrètes, créées à mesure qu’on en a besoin, sont détachées par bandes distinctes et opposées en apparence, professant respectivement et tour à tour les opinions du jour les plus contraires pour diriger séparément et avec confiance tous les partis politiques, religieux, économiques et littéraires, et elles sont rattachées pour y recevoir une direction commune à un centre commun. »

Cité par Yann Moncomble dans Du Viol des foules à la Synarchie ou le Complot permanent (Éd. Faits et Documents, 1983), p 83.

Ce passage révélateur du génial écrivain est tiré de son très beau roman initiatique La Recherche de l’Absolu. Le personnage qui prononce ces paroles aussi mystérieuses que révélatrices fut probablement inspiré de l’influent occultiste Josef Hoëné-Wronski. Ces propos seront d’ailleurs confirmés un siècle plus tard par un autre martiniste :

« Entre les initiés de tous les temps et de tous les pays existe une union mystique qui n’a, bien entendu, aucune expression « administrative ». C’est elle qui maintient dans le monde terrestre une vibrante harmonie. C’est elle qui construit l’Arche qui préparera les mondes futurs, après la liquidation du présent cycle. Les Initiés sont liés entre eux par le secret, secret qui, par essence et non par discipline, est incommunicable aux hommes ordinaires. »

Pierre Mariel, Rituels et initiations des sociétés secrètes (Éd. Mame), 1974, p. 26.

Rappelons que le franc-maçon Pierre Mariel (Pierre-Maurice Marie) fut un ancien de la Collaboration, membre de divers groupes anti-juifs assez virulents, tout en demeurant un kabbaliste convaincu. Parmi ses nombreux ouvrages on peut citer Le Diable dans l’Histoire, Sectes et Sexe (tout un programme…) ou encore le passionnant Nazisme société secrète (écrit sous le pseudonyme juif « Werner Gerson »).

Le Martinisme

Un mot sur le Martinisme, groupe maçonnique d’élite très prisé encore de nos jours par certains milieux d’extrême-droite. Ce sont des kabbalistes chrétiens dont certains représentants sont bien connus. Ils formèrent à partir du XVIIIème siècle l’une des forces motrices qui constitua la fameuse « Synarchie » à laquelle nous faisons souvent référence dans nos articles.

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La particularité du Martinisme est d’être un tronçon de la Contre-Eglise d’origine spécifiquement française :

« Cette secte du Martinisme qui réalise l’idéal d’une société secrète est aujourd’hui le centre de toutes celles que nous avons fait connaître. On a vu que ses grands maîtres Saint-Yves d’Alveydre et Papus sont en même temps Occultistes, Kabbalistes, Gnostiques. Sans le Martinisme, la Gnose n’aurait jamais pu arriver de la théorie à la réalisation. C’est, en effet, s’adjoignant les Supérieurs inconnus, sous le vocable de Pneumatiques, que la Gnose a environné son état-major d’évèques et de diacres, d’une armée intellectuelle, très distinguée et très discrète. Elle a trouvé dans les Martinistes une armée fidèle, disciplinée et intelligente. Les Martinistes forment, en effet, une élite intellectuelle des plus rares.« 

Abbé Emmanuel Barbier, Infiltrations maçonniques dans l’Église, (ESR), 1910, p 136.

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Alexandre Saint-Yves d’Alveydre (1842-1909)

Dans son livre Franc-Maçonnerie et schizophrénie, le chercheur Alexandre Lebreton signale de nombreux cas de pédophilie initiatique impliquant directement certaines loges d’obédience martiniste. Comme c’est étonnant…

Voici maintenant une réflexion datant de 1913 que nous qualifierons de cruciale :

« Il est un point sur lequel je crois nécessaire d’appeler l’attention. On a beaucoup trop l’habitude, surtout parmi les catholiques, de juger tous les Francs-Maçons d’après les nombreux types de cuistres politiciens qu’on connait comme appartenant aux Loges. C’est là une erreur très dangereuse à laquelle il faudrait absolument renoncer, surtout parmi les anti-maçons. Les médiocrités, qui se mettent en avant dans les parlotes et dans les convents, qui ont sans cesse la bouche ouverte pour exposer “leurs opinions philosophiques” et qui emploient le jargon spécial aux Ateliers de Frères Maçons ignorants, ne sont pas des initiés. C’est le menu fretin. Ils ont leur utilité pour la secte mais ne la dirigent pas, quel que soit d’ailleurs le grade dont ils peuvent être revêtus. De ceux-là nous ne parlons pas, c’est inutile. Et peut-être l’anti-Maçonnerie a-t-elle jusqu’à ce jour beaucoup trop concentré ses efforts contre eux. Faute de n’avoir pas su voir plus haut et plus loin, elle s’est laissée amuser par de prétendues divulgations qui n’apprenaient rien du tout. Et pendant ce temps-là, les initiés, qu’on laissait bien tranquilles, continuaient leur travail en se gaussant de naïfs adversaires, qui se croyaient très malins parce qu’ils arrivaient à pénétrer des “secrets maçonniques” fort exotériques et que personne ne se donne sérieusement la peine de cacher. Sans attacher à cette expression, que je prends dans son sens grammatical, aucune signification défavorable, ce qui trahirait ma pensée, je dirai que ce sont les primaires de l’anti-Maçonnerie luttant contre les primaires des Loges. Les anti-Maçons pourraient très facilement porter à la secte des coups autrement plus sérieux s’ils voulaient se donner la peine de laisser diriger leurs efforts vers l’ésotérisme. »

Charles Nicoullaud, L’Initiation maçonnique, (Éd. Saint Rémi, 2018), p 86.

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René Guénon (1886-1951)

L’auteur, astrologue converti au catholicisme romain, fut notamment l’adversaire de René Guénon lorsque celui-ci tenta d’infiltrer insidieusement les milieux contre-révolutionnaires catholiques en s’alliant avec « l’ancien » Rose-Croix Paul Copin-Albancelli du journal La Bastille (où écrivait notamment le brillant Louis Dasté).

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Louis Dasté ou André Baron (1860-1932)

Guénon pour l’occasion se faisait appeler pompeusement « le Sphinx ». René Guénon justement, qui tout en s’évertuant à contredire son « ennemi cosmique » ne disait pas autre chose que lui dans son étude intitulée L’Ésotérisme de Dante :

« Le véritable ésotérisme est au-delà des oppositions qui s’affirment dans les mouvements extérieurs qui agitent le monde profane et si ces mouvements sont parfois suscités ou dirigés invisiblement par des puissantes organisations initiatiques, on peut dire que celles-ci les dominent sans s’y mêler, de façon à exercer également leur influence sur chacun des partis contraires ».

Cité par Jacques Bordiot dans Le Gouvernement invisible (Publications Henry Coston, 1983), p. 16.

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Gérard Encausse dit Papus (1865-1916)

Dans le cadre de sa joute intellectuelle l’opposant au « Sphinx » (qui sut à l’occasion révéler toute l’étendue de son arrogance et de sa fragilité émotionnelle), Charles Nicoullaud reçu un soutien assez inattendu en la personne du célèbre martiniste Papus (Gérard Encausse). Celui-ci se livra à une réflexion restée fameuse et reprise ultérieurement par beaucoup de chercheurs comme Pierre Virion ou John Coleman (sorte de Pierre de Villemarest britannique) :

« Or, à toute époque, il a existé, non pas en « astral », mais bien sur notre plan physique, des hommes qui aspiraient à réaliser certaines réformes sociales sans appartenir aux organismes visibles des sociétés. Ces hommes, réunis en de petits groupes, créaient les outils variables avec le moment, le pays choisi et l’état des esprits à l’époque. Ils agissaient d’après une vieille science d’organisation sociale, issue des anciens sanctuaires d’Égypte et conservée pieusement en certains centres dits « hermétiques » (…) Lorsque des réformes graves sont utiles dans une société, les adeptes choisissent les hommes et les instruments nécessaires à cette évolution. Ils « fabriquent », au moyen d’organismes dont ils disposent ou qu’il créent, les rouages nécessaires à l’existence momentanée ou durable du nouvel organisme social…puis ils le surveillent…de loin et lui laissent accomplir doucement son cycle. La Franc-Maçonnerie est une de ces créations. »

Cité dans La polémique sur les Supérieurs Inconnus, (Arché Milano), 2003, p 158.

Les Eglises Gnostiques : une véritable Contre-Eglise

On peut ajouter cette autre remarque de Guénon. Elle est tirée de son très prétentieux Orient et Occident. Un ouvrage au contenu aberrant, considéré par beaucoup de « résistants au Nouvel Ordre Mondial » comme « génial » et « lumineux » :

« La société extérieure n’est donc ici qu’une manifestation accidentelle de l’organisation intérieure préexistante, et celle-ci, dans tout ce qu’elle a d’essentiel, est toujours absolument indépendante de celle-là ; l’élite n’a pas à se mêler à des luttes qui, quelle qu’en soit l’importance, sont forcément étrangères à son domaine propre ; son rôle social ne peut être qu’indirect, mais il n’en est que plus efficace, car pour diriger vraiment ce qui se meut, il ne faut pas être entraîné soi-même dans le mouvement « .

René GuénonOrient et Occident , (Dervy), 2021, p 154-155.

Ces explications tortueuses ont évidemment été reprises par un fidèle disciple de Guénon, le sorcier russe lié au Kremlin, Alexandre Douguine :

Alexandre Douguine

«Mais pour influencer directement le cours des événements extérieurs, des centres métaphysiques et complétement « secrets » sont obligés de créer des organisations intermédiaires ; des émanations, non dotées de la plénitude et de l’inébranlabilité des connaissances strictement métaphysiques. Ce sont des organisations semi-secrètes qui servent d’instruments à de véritables centre cachés que l’on a appelés des sociétés secrètes (ou la société secrète). »

Alexandre Douguine, Conspirologie, (Ars Magna), 2022, p 61.

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L’ancien collaborateur du sodomite Bernard Fäy et de Robert Vallery-Radot, dans le cadre de leur pseudo lutte « anti-maçonnique » sous le gouvernement de Vichy, fut l’initié Jean Marquès-Rivière. Il publia en 1940 une Histoire des doctrines ésotériques. Il concluait cette étude fort complète de la manière suivante :

« Bien des hardiesses sociales, bien des schèmes politiques, bien des réformes profondes ont surgi des rêves illuminés de certaines Fraternités. Le religieux, le spirituel plus exactement, a toujours ordonné le temporel ; c’est toucher l’âme vive des peuples que d’étudier les formes secrètes de leur activité magique, philosophique ou ésotérique. Des nations européennes n’ont-elles pas vu le jour grâce à l’activité inlassable des sociétés de pensée qui avaient imaginé leur existence? A l’abri des symboles et des ésotérismes, les Rose-Croix ont préparé la Réforme et sont les pères spirituels du monde moderne. Nous sommes autorisés à penser que des groupes inconnus de nos jours préparent ce que sera la société de demain. Les ésotérismes, par leur puissance d’action sur les plans idéologiques, mènent le monde ».

Jean Marquès-Rivière, Histoire des doctrines ésotériques, (Payot), 1971, p 359-360.

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Jean Marquès-Rivière (1903-2000)

Il rédigea également un ouvrage au titre absurde : La Trahison spirituelle de la Franc-Maçonnerie (car en effet la Franc-Maçonnerie constitue en elle-même, par définition, une « trahison spirituelle »). Il y faisait ces quelques révélations dans un passage fort éclairant :

« Quant aux chefs, qui sont les intermédiaires entre ces “dieux” et leurs fidèles, je renonce à les décrire et les analyser. J’en ai connu ; j’ai vu devant moi de tels abîmes, un tel renversement moral, une telle inconscience que je ne sais plus s’il faut les plaindre ou les blâmer. Sont-ils encore des hommes? Je ne le sais pas. Peut-être sont-ils des malades. Une marque quasi-certaine est une ardeur sexuelle ou, tout au moins, une curiosité sexuelle maladive ; ils semblent pénétrés des dogmes antiques de la Gnose régénératrice et purificatrice du pêché de la chair. Ils proclament que : “les stupres de la chair n’atteignent pas l’âme. On peut traîner dans la fange sans se souiller. A la chair ce qui est à la chair. A l’esprit ce qui est à l’esprit ! Rien n’est impur pour les consciences pures…” (discours à une Néophyte). Mais qu’on ne se méprenne pas ; qu’on ne dise pas que je confonds des névropathes avec des philosophes et que je m’attarde sur quelques cas cliniques. Ces “cas cliniques” commandent à des milliers d’êtres humains. Ils sont tous de hauts gradés maçonniques ; leur action dissolvante y était active et profonde : ils méritent notre attention. « Certains souriront à de telles affirmations. Ils ignorent la puissance démoniaque de ce que j’appelle les mondes magiques, qui entourent la terre comme d’un filet invisible. Des êtres de ténèbres peuplent ce plan de perdition, hostile à l’homme. C’est de ces mondes que viennent les instructeurs, les guides, les conducteurs astraux qui paraissent et disparaissent dans les cérémonies de haute magie dont la réalité est incontestable ; ce sont ces “démons” qui inspirent, par des médiums, les Loges secrètes et les groupes ésotériques et c’est un profond mystère d’iniquité. Je l’ai approché, j’en ai senti la pestilence et, dussé-je paraître fou ou illuminé, j’en dénonce ici la réalité et l’existence. Les histoires d’apparition à la Taxil sont ridicules ; tout le monde le sait. Ces entités obscures ne se présentent jamais comme telles ; elles se dissimulent toujours en Ange de Lumière, en Consolateur, en Esprit de Vérité. Ces Pères du Mensonge deviennent des Apôtres de la Paix, des Inspirateurs mystiques, des Princes de la Science. Mais gare à ceux qui, descendant l’échelon de la sombre hiérarchie, entrent peu à peu en contact avec elle. Qui contera la misère, l’affreuse misère que j’ai parfois entrevue devant moi ! Il y a des jours et des heures tragiques dans la vie d’une âme humaine… »

Jean Marquès-Rivière, La Trahison spirituelle de la Franc-Maçonnerie (Éd. Prœlium veritatis, 2022), p. 250-251.

L’auteur, orientaliste pratiquant la magie tibétaine et le yoga tantrique, est mort à moitié fou en 2000.

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Samuel Liddell MacGregor Mathers (1854-1918)

Voici un témoignage similaire, quoique beaucoup plus intriguant, fourni par l’un des fondateurs de la Golden Dawn et beau-frère d’Henri Bergson, le rosicrucien Samuel Liddell Mathers :

« Au sujet de ces chefs secrets, je ne peux rien vous dire. Je ne sais même pas leurs noms terrestres et je les connais seulement par certaines devises secrètes ; je ne les ai vus que très rarement dans leur corps physique, et dans ces rares cas, le rendez-vous fut pris, par eux, dans l’Astral (…) Je me sentais en contact avec une force si terrible que je puis la comparer à la sensation éprouvée, durant un orage, quand la foudre tombe près de soi. J’en perdais la respiration et suis plusieurs fois tombé en syncope. La prostration psychique s’accompagnait de sueurs froides et d’hémorragie par le nez et la bouche.« 

Cité par Pierre Montloin (Mariel) et Jean-Pierre Bayard dans Les Rose-Croix, (Grasset), 1971, p 218-219.

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Toujours dans cette mouvance rosicrucienne (Golden Dawn, Ordo Templo Orientis, A.M.O.R.C..), nous nous fierons une nouvelle fois à un martiniste ; il s’agit de Robert Ambelain. Il devait, à n’en point douter, bien maîtriser son sujet. Il évoquait ici la figure du mage démoniaque Aleister Crowley et de son acolyte Théodore Reuss :

« Son dépositaire en Allemagne fut, nous l’avons dit, Théodore Reuss qui y organisa et développa l’Astrum Argentinum. Celui-ci était officiellement un haut dignitaire de la franc-maçonnerie allemande, mais derrière ces fonctions « magistrales » que ne soupçonnaient pas les maçons allemands, il y avait un autre personnage que ne rebutait pas la progression hiérarchique de la magie sexuelle de Crowley. En effet elle était hétérosexuelle au début, et homosexuelle vers les sommets.« 

Robert Ambelain, Les arcanes noires de l’hitlérisme, (Robert Laffont), 1990, p 190.

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Robert Ambelain (1907-1997)

Référons-nous maintenant à un auteur contemporain et spécialiste de la question, le protestant Fritz Springmeier qui nous résume les choses très laconiquement :

« Les Illuminati ne sont que la continuation des religions à mystères. Ceux qui deviennent Illuminati doivent passer par tout un processus d’initiation. Ils nomment ces différentes étapes d’après les noms des douze apôtres, et il y a une treizième étape qu’ils appellent le Saint Graal. Les Illuminati ont acquis de profondes connaissances occultes. Je ne sais pas si je dois expliquer tout cela en détail. Ce que je dirai, c’est que les Illuminati sont formés dans les domaines de l’alchimie, de la sorcellerie indienne, du druidisme, de la magie énochienne, du gnosticisme, de la magie hermétique, de la Cabbale, des doctrines de Platon, et du Soufisme. Ils connaissent toutes les branches de l’occultisme, de la sorcellerie et de la magie (…) Les Illuminati sont fondamentalement dualistes. Ils s’efforcent d’équilibrer leurs mauvaises œuvres par des bonnes œuvres. Mais ils sont Lucifériens, au plus haut niveau. C’est pour cela que nos plus grands philanthropes sont souvent les satanistes du plus haut rang. Leur philanthropie sert en fait leurs intérêts personnels. Ils ne sont pas si généreux qu’ils le montrent. Ils s’efforcent de produire des bonnes œuvres pour contrebalancer leurs mauvaises œuvres. Leur religion est un gnosticisme luciférien. »

Fritz Springmeier, Les Plans occultes du Nouvel Ordre mondial, (Éd. Ethos, 2022), p. 38-39.

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Ces propos viendront ainsi confirmer ceux du catholique Louis Dasté datant de 1906 :

« Dès les premiers âges de l’humanité, des sociétés secrètes – dont les adeptes étaient reçus après des initiations graduées – existaient au cœur des religions qui se confondaient avec les civilisations des Égyptiens, des Chaldéens, des Cananéens, des Perses, etc. Quelques fussent parfois les efforts de l’esprit humain vers le Bien manifestés dans ces confréries occultes, elles finissaient toujours par tomber dans une corruption profonde, en vertu du principe même de dissimulation et par suite de mensonge qui était à leur base. Quelque belle que fût tout d’abord la métaphysique des penseurs qui souvent construisirent pour les initiés des sociétés secrètes antiques d’ingénieuses hypothèses sur Dieu, la Nature, l’Homme, – les lumières fugitives, un instant allumés, faisaient rapidement place aux ténèbres. Bref, la persévérante envolée de l’âme humaine vers les hauteurs était toujours vaincue par les ruses de celui qui était le vrai théologien de ces sociétés secrètes religieuses, – celui que l’Écriture Sainte appelle l’Adversaire : Satan. »

Louis Dasté, Les Sociétés secrètes et les Juifs, (Vettaz Éditions), p. 3.

Nous avons donc affaire à une secte luciférienne aux ramifications mondiales, constituée de fanatiques délirants rendus fous par une mystique dont les origines sont fort anciennes :

« La magie, le commerce avec les démons, le culte rendu à Satan, les infamies de toutes sortes pratiquées dans ce culte abominable, les sacrifices humains, les immolations d’enfants, nés du crime, pour employer leur sang aux horreurs de la magie se rencontrent à toutes les époques dans les pratiques de la secte. »

Mgr Francois Louis Michel Maupied, La Secte antichrétienne, origine et histoire vraie des sociétés secrètes de tous les temps, (Hachette BNF), p 27-28.

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Mgr Francois Louis Michel Maupied (1814-1888)

Les membres constituant cette Synagogue de Satan ou Contre-Église sont principalement juifs, mais on y trouve aussi les membres de vieilles lignées européennes corrompues avec lesquelles ils se sont mélangés (comme la fameuse Noblesse Noire vénitienne à laquelle fait souvent référence John Coleman). Nous pensons également à d’éventuels initiés asiatiques inconnus. A ce sujet nous nous appuierons sur Serge Hutin :

« Mais ne croyons pas, c’est une erreur que l’on fait encore trop fréquemment, que les sociétés secrètes dont l’influence est mystérieuse, profonde, ignorée, invisible, soient l’apanage exclusif d’intrigues juives. Il existe toute une série de groupes et de sociétés secrètes rigoureusement inconnus quoi n’ont rien à voir avec le judaïsme. »

Serge Hutin, Gouvernants invisibles et Sociétés secrètes ,(Éd. Libellio, 2023), p. 13.

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Serge Hutin (1929-1997)

Car en définitive, le fait que ces sectaires illuminés soient juifs ou pas ne nous importe que modérément. En revanche, le fait qu’ils soient tous des homosexuels sadiques et surtout des pédophiles incestueux (voire pire encore) nous gêne beaucoup plus considérablement. N’oublions pas que ces pratiques font partie intégrante de leur religion maudite (ou plutôt de leurs religions car il s’agit visiblement d’une sorte de gnose multiforme mêlant plusieurs croyances ancestrales et occultes basée notamment sur la magie sexuelle initiatique et l’invocation d’entités supraterrestres assez faciles à identifier). Mais nous n’approfondirons pas le sujet pour le moment cela nécessiterait des développements trop importants.

Nous laisserons le mot de la fin à Pierre Virion :

« Dans les circonstances au milieu desquelles nous vivons présentement, les événements se déroulent avec une telle rapidité que beaucoup de choses dont les raisons n’apparaissent pas encore immédiatement, pourraient bien trouver et plus tôt qu’on ne serait tenté de le croire des applications imprévues, sinon tout à fait imprévisibles. »*

Pierre Virion (1899-1988)

« Ces prévisions, leur provenance, leur concordance démontrent une fois de plus avec surabondance l’union de la grande finance mondiale et mondialiste avec les hautes sociétés secrètes. Le consensus de toutes ces puissances sur le but final, sa forme, sa date, souligne énergiquement leur alliance synarchique sous la prééminence de l’idée, du culte, de la théologie de la contre-Église ; elles révèlent jusqu’à en buriner la professions de foi sur l’airain de l’histoire que le combat est avant tout spirituel, religieux et que la prise de possession du monde par les puissances d’argent, les technocraties, les super nationalismes n’est pas politique au premier chef mais essentiellement satanique. Nous n’avons pas, répétons-le, l’intention de prophétiser la suite des moyens qui seront pris pour tenter la finale aventure du Gouvernement mondial de la contre-Église, sans succès d’ailleurs. Le déroulement des faits suivra la route tracée d’avance avec, sans doute, des faux-pas, des retours, des antagonismes qui ne manqueront pas de laisser leur marque sur le cours des choses. Mais déjà les affaires du monde semblent nous indiquer que le moment approche. »

Pierre Virion, Bientôt un Gouvernement mondial (Éd. Téqui, 2013), p. 298.

*Ce passage est tiré de l’inquiétant ouvrage de René Guénon : Le Roi du Monde, (Dervy), p. 91.

Sur la question juive :

On rappellera en premier lieu que c’est le Juif paganisé de la Kabbale qui nous intéresse. Ce Juif n’est plus talmudiste et il n’est pas « Loubavitch », encore moins mosaïste. Il est un illuminé (Illuminati). Ce point important est de nos jours relayé au second plan par des « dissidents » au discours anti-juif outrancier et caricatural. Ces derniers préférant s’attaquer avec fureur à l’Ancien Testament en racontant des énormités dignes des gnostiques des premiers siècles. Cela n’est pas sérieux. C’est faire le jeu de l’élite luciférienne qui nous dirige. Cela permet d’attaquer le christianisme de manière grossière mais efficace en détruisant les bases sur lesquelles il s’appuie.

Entamons ce sujet épineux avec cette mise au point du spécialiste de l’occultisme Henri de Guillebert des Essarts. Sa réflexion n’a pas pris une ride :

« A côté des négateurs, il y a, parmi nous, des philosémites et des antisémites, termes tout-à-fait impropres pour désigner ceux qui constatent l’influence juive mais qui en apprécient différemment les effets. Ces termes sont impropres. On le sait. On continue à les employer parce qu’on ne peut pas en trouver d’autres. Il est impossible de trouver des expressions justes pour qualifier des attitudes fausses. Constatant la prédominance des juifs affranchis dans la société moderne, la conquête faite par eux des places vitales, en un nombre hors de proportion avec leur importance numérique dans les nations, les philosémites concluent à la supériorité du juif, qu’il faut imiter et dont il faut suivre le sillage. Les antisémites concluent à la nocivité du juif, qu’il faut écarter et fuir. Les premiers sont les dupes, mêmes s’ils sont complices. Les seconds sont des naïfs. »

Revue Internationale des Sociétés Secrètes, La Question juive, (Delacroix), p 6.

Il ne faut d’ailleurs pas oublier que les premiers à avoir combattu l’occultisme (magie, astrologie, etc…) et les infiltrations gnostiques (incluant le cannibalisme rituel, la sodomie initiatique, l’infanticide…) au sein de la vraie religion furent les Hébreux restés fidèles à la parole de Dieu :

« A l’immortel honneur du judaïsme primitif et pur, qu’un abîme sépare du judaïsme adultéré du Talmud, Moïse est presque le seul législateur de l’Antiquité qui ait énergiquement proscrit les trois souillures dont les Sociétés Secrètes des anciens Initiés salirent leurs mystères : la magie, les vices contre nature et le sacrifice humain. La magie, qui flétrit l’esprit, la sodomie, qui souille la chair ; le sacrifice humain qui fait couler le sang, véhicule de la vie, le sang dont la Bible dit qu’il contient l’âme. »

Louis Dasté, Les sociétés secrets et leurs crimes, (Ethos), 2021, p 50.

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Moses and Aaron meet Pharaoh and Aaron turns his rod into a snake. by Robert Leinweber. (Czech artist 1845 -1921) (Photo by Culture Club/Getty Images)

Le catholique Louis Dasté (André Baron) faisait principalement référence ici aux coutumes des Cananéens qui sont, d’une certaine manière, les véritables ancêtres des sionistes actuels et dont les mondialistes se sont faits les héritiers spirituels les plus zélés. N’oublions pas que le sionisme,  bras armé du Nouvel Ordre Mondial, est une caricature satanique du judaïsme biblique car c’est en réalité le peuple palestinien qui incarne ethniquement les vrais descendants du Peuple de Dieu.

« Historiquement, les Juifs ont combattu l’occultisme. Nous voyons dans le Deutéronome et dans l’Ancien Testament comment Dieu, par le peuple juif, s’est efforcé de purifier la terre d’Israël de tous les groupes occultes qui y agissaient, comme ceux qui adoraient Baal, Astarté, et les autres dieux cananéens et babyloniens. Comme les Illuminati font remonter leur origine à ces divinités de la fertilité, ils sont par nature profondément opposés aux Juifs. »

Svali, Les Chroniques de Svali : s’affranchir du contrôle mental, (Omnia Veritas), 2023, p 168.

Svali

La corruption spirituelle du peuple juif a toutefois bien eu lieu. Elle a pris au fil des siècles des proportions incroyables :

«Ce n’est pas la synagogue orthodoxe, ni la vraie doctrine de Moïse inspirée par Dieu même, que les Kabbalistes modernes représentent ; c’est le paganisme dont quelques Juifs sectaires ont été imbus, lors de la captivité de Babylone. On n’a qu’à étudier la doctrine de la Kabbale juive et la comparer avec les doctrines philosophiques des plus anciens peuples civilisés, Indiens, Perses, Babyloniens, Assyriens, Égyptiens, Grecs et autres, pour s’assurer que partout est enseigné le même système panthéistique d’émanation. Partout on retrouve un certain principe éternel duquel émanent une première triade, et, après elle, tout l’univers, non par création, mais par émanation substantielle. On est forcé de l’admettre, entre la philosophie kabbalistique et l’ancien paganisme, il y a  une connexion intime qu’il est difficile d’expliquer d’une autre manière que par l’inspiration d’un même auteur, c’est-à-dire de l’ennemi du genre humain, de l’Esprit de mensonge (…) Des antres païens cet Esprit du mal a su pénétrer, avec sa doctrine criminelle, dans l’esprit d’une certaine classe du peuple juif tenu en captivité à Babylone. Ligué avec ses nouveaux adeptes, connus pour la ténacité extraordinaire de leur race, il a pu remuer le monde, et il le remue encore. Si les pharisiens n’ont pas hésité à crucifier le Christ, ils n’hésiteront pas non plus à persécuter les chrétiens dont la foi spirituelle est en opposition directe avec leurs espérances temporelles. »

Monseigneur Léon Meurin, La Franc-Maçonnerie Synagogue de Satan, (ESR), 1893, p 7-8.

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Mgr Léon Meurin (1825-1893)

Les Juifs ont indubitablement été pendant des siècles les principaux inspirateurs et propagateurs de fausses doctrines et de diverses hérésies destructrices, principalement en Occident. Ils sont devenus au fil des siècles les plus zélés missionnaires de la Contre-église. Un membre de l’Action Française, le curieux Lazare de Gérin-Ricard, dans son Histoire de l’Occultisme, faisant écho aux propos de Monseigneur Meurin, soulignait :

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« Lorsqu’au premier siècle de notre ère les Israélites délaissèrent la loi mosaïque pour le Talmud et la Mischna (…) la magie tint plus de place dans les rites juifs. La Mischna place chaque être et chaque objet sous la garde d’un esprit (ils sont neuf cent mille) et contient de nombreuses formules d’invocations et d’exorcisme. C’est le vieux fond magique païen que les Juifs, lorsqu’ils furent soumis à une nouvelle loi, répandirent en Europe. Les secrets de l’Égypte et de la Chaldée eurent en eux des propagateurs aussi zélés qu’inattendus… »

Lazare de Gérin-Ricard, Histoire de l’Occultisme, (Payot), 1939, p 67.

On citera également un historien de la franc-maçonnerie :

« Les connaissances occultes des Juifs étaient si généralement admises par l’opinion publique qu’ils étaient considérés dans les premiers siècles de notre ère, à la fois par les païens et par nombre de sectes christianisantes, comme les dépositaires de la tradition magique ».

René le Forestier, L’occultisme et la franc-maçonnerie écossaise, (Arché Milano), 1987, p 75-76.

Il nous paraît toutefois bien présomptueux d’affirmer que les Juifs soient les seuls responsables du chaos actuel. Ce raisonnement pousse trop souvent vers des conclusions hâtives et même franchement fallacieuses.

Il ne faut en aucun cas négliger les groupements occultes et sociétés initiatiques influentes qui n’ont rien à voir avec le judaïsme militant (certains affichant même un antisémitisme féroce), comme l’avait rappelé Serge Hutin cité précédemment.

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Nous avons privilégié, dans le cadre de notre étude, des citations d’auteurs chrétiens. Mais nous consacrerons peut-être ultérieurement notre modeste rubrique à quelques rabbins et intellectuels juifs d’envergure qui, comme d’habitude, confirment les dires de leurs opposants tout en les accusant de haine, de paranoïa, de meurtre, de génocide, de vol de tableaux, etc…

« Ne soyez pas étonnés, si j’ai appelé les Juifs des malheureux. Ils sont en effet bien malheureux et bien misérables, d’avoir repoussé tant de trésors que le Ciel versait entre leurs mains, et de les avoir obstinément rejetés. Le soleil de justice les réjouit de sa clarté matinale, et ils ne veulent pas de ses rayons, et ils restent assis dans les ténèbres : et nous, qui avions vécu dans les ténèbres, nous attirons à nous la lumière, et nous sommes délivrés des ombres de l’erreur. Ils étaient les rameaux de la racine bénie, et ils ont été brisés : nous n’avions rien de commun avec la racine, et nous avons porté le fruit de la piété. Ils lisaient les prophètes dès leur âge le plus tendre, et ils crucifièrent Celui que chantaient leurs prophètes. Et c’est pour cela qu’ils sont malheureux, ayant repoussé des biens qui leur étaient destinés, et que d’autres ont attirés à eux et leur ont ravis. »

Saint Jean Chrysostome, Adversus Judaeos, (CSRB), 2021, p 24.

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« De plus, les Juifs, il est vrai, ont été en possession de la vraie religion pendant un certain laps de temps ; mais depuis la venue du Messie, qu’ils ont renié avec la plus perverse opiniâtreté, ils sont tombés dans un tel aveuglement, que la religion qu’ils professent actuellement fourmille peut-être plus que toute autre d’erreurs, de superstitions, et de blasphèmes contre Dieu. En effet, les Talmudistes (ainsi se qualifient les Juifs modernes), débitent, entre autres, cette étrange ineptie qu’un jour quelques rabbins indignés de ce que Dieu avait rendu une sentence favorable à leur contradicteur, dans je ne sais quelle contestation, l’avaient tout simplement excommunié ; alors Dieu, reconnaissant en quelque sorte l’erreur qu’il avait commise, leur dit avec un affable sourire : Mes enfants m’ont vaincu : Filii mei me vicerunt. Ils disent aussi que, de temps en temps, Dieu se rend dans un lieu solitaire, où il verse d’abondantes larmes pour avoir détruit le Temple et dispersé le peuple de Jérusalem ; et que chaque fois que ce souvenir lui revient, il se frappe la poitrine des deux mains et répand deux larmes sur l’océan. Ils affirment encore que Dieu consacre trois heures du jour à l’étude de la loi mosaïque, qu’il passe les trois dernières heures à se divertir avec un poisson nommé Léviathan, et qu’un jour un certain rabbin parvint à le tromper pendant ce délassement en se faisant transporter par le démon, à l’heure de la mort, sur le seuil du paradis, dans lequel il se glissa furtivement. Ils disent en outre que Dieu s’est rendu coupable d’un grand péché en soustrayant injustement à la lune une partie de sa lumière pour la donner au soleil, et que, reconnaissant le mal qu’il avait commis, il a prescrit aux Juifs, dans la loi, d’offrir en son nom un sacrifice tout spécial en expiation de ce péché, chaque fois qu’il y aurait une nouvelle lune. »

Saint Alphonse de Liguori, Réfutation des matérialistes et des déistes, (ESR), 1876, p 426-427.

« Le rabbinisme a si peu de confiance dans la bonté de sa cause, qu’il interdit à ses adhérents de rechercher par l’Écriture l’époque de l’avènement du Messie, parce qu’un examen attentif de cette question les mènerait infailliblement à reconnaître que le Fils de David est venu depuis des siècles. Quand un système religieux est obligé d’avoir recours à de telles armes pour entretenir dans l’illusion les consciences qu’il opprime, il trahit d’un seul trait son insuffisance et sa fausseté. »

Mgr Freppel, Les apologistes du IIème siècle : Saint Justin martyr, (La Caverne Pèlerin), 2023, p 294.

Saint Jérome

« Il ne serait que trop facile, hélas ! Si peu que l’on remuât les annales du culte hébraïque, de multiplier à l’endroit des rabbins les traits où l’immonde se mêle à l’absurde : mais il nous suffit, à titre d’échantillon, d’emprunter à Saint Jérôme, qui vécut dans la familiarité des docteurs israélites, un des exemples où se peint l’antique dégradation de ces tristes ministres. Les Pharisiens, nous dit ce grand docteur de l’Église, ont inventé les traditions qu’ils appellent les deutéroses ; et de combien de fables et de chimères ils les ont remplies ! La plupart sont tellement infâmes que je ne saurais en parler sans rougir, je veux, néanmoins, en rapporter un exemple, afin de couvrir de honte et de confusion ces ennemis déclarés de la religion du Christ. Sachez donc que les principaux et les plus sages de la synagogue étaient obligés, par le devoir de leur charge, horrible emploi ! de goûter le sang d’une fille ou d’une femme qui avait ses infirmités ordinaires, afin de juger par le goût, lorsqu’ils ne pouvaient le faire par la vue, si ce sang était pur ou ne l’était pas. »

Roger Gougenot des Mousseaux, Le Juif, le judaïsme et la judaïsation des peuples chrétiens, (Delacroix), 2005, p 39.

Un avertissement du martiniste Joseph de Maistre datant de 1811 :

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Joseph de Maistre (1753-1821)

«  Mille voix compatissantes se sont élevées en faveur des juifs. Le prétexte était l’humanité et même la politique ; le but était uniquement de contredire les prophéties. Et l’on ne saurait trop regretter qu’ils aient réussi, en partie, ici ou là ; car, pour le dire en passant, jamais prince chrétien ne sortira, à l’égard des juifs, de la protection universelle due à tout sujet, et ne tâchera de les avancer vers l’État et les fonctions civiles sans que son règne ne soit marqué par de grandes disgrâces et d’éclatantes humiliations. »

Joseph de Maistre, Quatre chapitres sur la Russie, (Vagabonde), 2024, p 159.

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Robert Vallery-Radot (1885-1970)

On appréciera la réflexion toute en nuances de l’écrivain Robert Vallery-Radot (un autre pseudo-catholique que nous suspectons d’avoir été lié à la Synarchie), tirée de son ouvrage Israël et Nous. L’auteur y soulignait les similitudes flagrantes entre l’apostasie des Juifs qui aura condamné ces derniers au plus total aveuglement, et celle des Français qui suivent exactement le même chemin, à savoir celui de l’esclavage et de la folie :

« Il y a donc un Israël prévaricateur qui se continue après la destruction du Temple et l’abolition du Sacrifice. Quand l’histoire nous apporte les preuves les plus éclatantes des œuvres de cet Israël au cœur de la chrétienté, quand l’humanité maçonnique qui s’est substituée sous nos yeux à cette chrétienté se montre, par son vocabulaire, ses insignes, ses rites, si étrangement judaïque, nous avons le droit de chercher dans cet Israël quel est cet autre esprit qui l’anime, quel est ce mystère d’inversion messianique enfin, mystère, d’ailleurs, du même ordre spirituel que celui d’un autre peuple prédestiné, le nôtre, car il y a aussi deux France dans l’histoire moderne, et il ne servirait à rien de le nier : l’une pour qui Dieu s’est fait homme afin de nous déifier et l’autre pour qui l’homme se croit Dieu en ne reconnaissant d’autre autorité que sa raison . »

Robert Vallery-Radot, Israël et Nous, (Proelium Veritatis), 1940, p 38-39.

On rappellera que l’une des punitions infligée dans l’Ancien Testament au peuple de Dieu pour ses infidélités incessantes consistait la plupart du temps à être « grand remplacé » par ses pires ennemis… En effet le grand remplacement spirituel précède toujours le grand remplacement ethno-racial, qui en est la conséquence logique et inéluctable.

« Si tu n’obéis pas à la voix de l’Éternel, ton Dieu… l’Éternel fera venir contre toi, de loin, du bout de la terre, une nation dont la langue te sera inconnue… Elle t’assiégera dans toutes tes portes, jusqu’à ce que tes murailles tombent… » (Deutéronome 28:49-52).

« Je rendrai votre pays désert, et vos ennemis qui y habiteront seront stupéfaits. Quant à vous, je vous disperserai parmi les nations… » (Lévitique 26:32-33).

Une citation assez connue du penseur juif d’origine russe, ou russe d’origine juive, ces termes étant en effet interchangeables en fonction des circonstances :

Yuri Slezkine

« L’Age moderne est l’âge des Juifs, et le XXe siècle est le siècle des Juifs. La modernité signifie que chacun d’entre nous devient urbain, mobile, éduqué, professionnellement flexible. Il ne s’agit plus de cultiver les champs ou de veiller sur les troupeaux, mais de cultiver les hommes et de veiller sur les symboles. Le savoir devient un moyen d’accéder à la richesse, la richesse un moyen d’accéder au savoir, et tous deux sont désormais une fin en soi. Les princes et les paysans se transforment en marchands set en prêtres, le prestige acquis remplace les privilèges hérité et la société d’ordre cède la place à un univers composé d’individus, de familles nucléaires et de tribus alphabétisées (les nations). En d’autres termes, la modernité, c’est le fait que nous sommes tous devenus juifs. »

Yuri Slezkine, Le Siècle juif, (La Découverte), 2012, p 7.

« Conformément à la loi énoncée ici par l’apôtre Paul, une minorité pharisaïque de Juifs joue dans l’histoire le rôle de premiers ennemis des peuples chrétiens, s’efforçant de les perdre en empêchant leur christianisation. Voilà pourquoi ils cherchent à dominer totalement la vie des peuples en se rendant maîtres des ressorts du pouvoir : d’abord du pouvoir économique et ensuite du pouvoir politique lui-même. Il serait trop long de narrer le processus historique accompli par cette minorité pharisaïque. Mais, une fois abattue la solide structure de la chrétienté médiévale fonde sur la foi et la charité, les juifs parvinrent à pénétrer les peuples chrétiens qu’ils corrompirent par le libéralisme, et qu’ils réduisirent en esclavage par le communisme. La Révolution moderne – libéralisme, socialisme, communisme – fut le grand instrument de domination dont ils usèrent. Grâce à elle, ils arrivèrent à détruire la civilisation chrétienne et à la remplacer par une civilisation laïciste et athée. »

Abbé Julio Meinvielle, Le Communisme dans la Révolution antichrétienne, (Iris), 2009, p 28.

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Abbé Julio Meinvielle

Un mot sur la Cabale (ou Kabbale) :

« Pendant des siècles la Cabale a été considérée comme une grande source de connaissances mystiques sur laquelle ont été fondées la plupart des systèmes de magie médiévale. Au cours des massacres périodiques et lorsque le roi Édouard 1er bannit les Juifs d’Angleterre, un grand nombre d’entre eux s’enfuirent dans les régions plus sauvages et moins habitées du pays, qui étaient les citadelles des sorcières ; et les sorcières qui les abritèrent apprirent des Juifs quelque chose des mystères et des traditions de la Cabale. »

Justine Glass, La Sorcellerie, (Payot), 1972, p 55.

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L’auteur de ce livre fort instructif truffé de réflexions étonnantes est elle-même une sorcière en lien avec le haut gratin de l’aristocratie britannique. De quoi se poser des questions quant à la véritable identité des personnes qui nous dirigent en coulisse…

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« Dès avant Notre-Seigneur Jésus-Christ, mais surtout depuis la dispersion, certains Juifs ont pratiqué les doctrines et les rites de la Kabbale noire ou magique, qui n’est autre chose que la quintessence de l’idolâtrie, la religion et le culte direct des esprits déchus, des démons, enseignant les moyens de se mettre en rapport immédiats avec eux (…) C’est donc des Juifs que les francs-maçons ont reçu le culte qui dans leur pensée doit un jour remplacer le culte du Christ. « Leurs chefs réels, dit Gougenot des Mousseaux, vivent dans une étroite et intime alliance avec les membres militants du judaïsme, princes et initiateurs de la Haute-Kabbale ». « Ce sont les juifs, dit aussi le professeur de magie Eliphas Lévi, qui après avoir reçu le dépôt des Chaldéens sabéistes, issus de Cham, et qui, d’après une opinion fort accréditée dans la science magique étaient les héritiers de la doctrine des fils de Caïn, nous enseignèrent cette science.»

Henri Delassus, La Conjuration antichrétienne, (Pamphiliennes), 2017, p 370.

Le Johannisme, gnose pédéraste des satanistes infiltrés dans l’Eglise (version non définitive)

Cette importante réflexion est confirmée, certes de manière prudente, par un ésotériste juif :

Henri Sérouya (1895-1968)

« D’aucuns prétendent que l’ancien polythéisme des Hébreux, ou la gnose païenne, tous deux riches en imagination mythique, se sont infiltrés d’une manière inconsciente dans le judaïsme, surtout dans le judaïsme mystique. »

Henri Sérouya, La Kabbale, (PUF), 1972, p 88.

Un autre juif, dans un style très ampoulé, s’adonnait à ce commentaire intéressant :

« En ce qui concerne l’ésotérisme juif, ces fleurs sauvages ont essaimé très au-delà de leur habitat initial, poussant leurs bourgeons avec une telle vivacité qu’elles ont formé une forêt dense et encore presque vierge aux ramifications innombrables. Tant est si bien qu’il est difficile de trouver une seule aire d’activité humaine intelligente et créatrice qui n’ait été, à un moment ou à un autre, fécondée, pollinisée ou simplement caressée par leurs exhalaisons imprévisibles. La cabale a joué et joue encore un rôle de détonateur dans les domaines les plus divers. Elle a suscité et suscite toujours des vocations et provoque des impulsions intellectuelles, religieuses et artistiques. »

Charles Mopsik, Cabale et cabalistes, (Albin Michel), 2003, p 5.

Charles Mopsik (1956-2003)

N’oublions pas toutefois de souligner le rôle subversif de l’antisémitisme (qui n’a rien de chrétien), utilisé surtout depuis le XIXème pour duper les peuples et entretenir la haine et la confusion. On peut remonter aux premiers siècles de l’Église si l’on veut connaître l’identité de celui que certains considèrent comme étant l’ancêtre officiel de cette hérésie intellectuelle : il s’agit du gnostique Marcion (pour qui l’Ancien Testament était un livre diabolique, Yahvé le diable et les Hébreux fidèles à sa Parole ses immondes suppôts…). Ses théories blasphématoires étaient partagées par d’autres groupes gnostiques. Tous avaient comme point commun un penchant certain pour les mœurs les plus dépravées, notamment l’orgie et la sodomie. Ils furent évidemment dénoncés et combattus par les Pères de l’Église comme Saint Épiphane de Salamine :

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« Ces hérétiques débitent et font d’autres horreurs, continue Épiphane. Ils pratiquent la masturbation et l’homosexualité ; ils trompent les femmes en déclarant qu’il n’y a de vierges que celles qui se font souiller tout en évitant d’être fécondées (11, 8-11). En outre ils sont antijuifs, blasphèment Abraham, Moïse, Elie et tous les prophètes ainsi que le Dieu de l’Ancien Testament. Il existe un certain livre, la Naissance de Marie, où ils disent trouver les choses horribles qu’ils racontent. »

Aline Pourkier, Introduction au Panarion (Livre I), Cerf, 2023, p 86.

Pensons pour l’occasion à Édouard Drumont que l’on se plaisait à représenter à l’époque grimé en chevalier Bayard, piétinant joyeusement le patriarche Moïse après l’avoir terrassé…

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L’héritage aberrant de Marcion semble de nos jours faire peau neuve dans certains milieux conspirationnistes non-chrétiens ou anti-chrétiens. Et sa postérité semble avoir été assurée, aussi bien sur le plan religieux que sur le plan des mœurs…

« L’ ancien » membre du MI-6 britannique John Coleman, auteur d’ouvrages intéressants sur la subversion, nous avait déjà avertis en 1992 :

« Le département d’État dispose d’une couche d’agents de droite qui se font passer pour des combattants antisémites intrépides. Il y a quatre chefs dans ce groupe d’informateurs, dont trois sont des homosexuels juifs discrets. Ce groupe d’espions est en activité depuis deux décennies. Ils publient des journaux virulemment anti-juifs et vendent une grande variété de livres antisémites (…) Un membre de ce groupe est un écrivain très apprécié dans les milieux de la droite chrétienne. Le groupe et les individus qui le composent sont sous la protection de l’ADL. »*

John Coleman, La Hiérarchie des Conspirateurs, (Omnia Veritas), 2022, p 45.

*La toute puissante ADL (Anti-diffamation league) dirigée par l’horrible Abraham Foxman est l’équivalent de notre très respectable et vaillante LICRA.

Concernant le vice sodomite, nous citerons Saint Pierre Damien qui pourfendit en son temps les prêtres qui s’adonnaient à cette abomination. Nous aurons l’occasion de traiter plus en détail cet aspect capital de la subversion dans la quatrième partie de notre étude consacrée à Nouvelle Droite païenne :

« Car quand un homme se rue sur un homme pour perpétrer l’immondicité, il ne s’agit pas là d’une tendance naturelle de la chair, mais seulement de l’aiguillon d’une impulsion diabolique. C’est donc avec beaucoup de discernement que les saints pères ont décrété de prier en même temps pour les sodomites et pour les possédés du démon. C’est qu’ils ne doutaient pas qu’ils étaient envahis du même esprit diabolique. »

Saint Pierre Damien, Le livre de Gomorrhe, (ACRF), 2016, p 30.

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La tradition catholique a toujours été très claire à ce sujet. Le vice sodomite est l’un des plus ignobles qui soit. «Il souille tout. Il salit tout. Il pollue tout » et , toujours selon saint Pierre Damien, « elle rend les hommes abjects et pousse à la haine de Dieu. »

On ajoutera cette réflexion de Roland Gaucher tirée d’un article paru en 1993 dans Le Crapouillot au sujet des réseaux sodomites, qui semblent aller de paire avec les réseaux d’opposition contrôlée. Mais c’est en réalité tout le système qui est basé sur cette pratique :

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Roland Gaucher (1919-2007)

« C’est une des leçons que j’ai tirées de cette période mouvementée : les liens crées par ces mœurs sont tellement forts qu’ils transcendent les partis politiques et les frontières. Ils sont une aubaine pour les services de renseignement. »

Roland Gaucher/Philippe Randa, Des rescapés de l’épuration, (Dualpha), 2007, p 492.

ll n’est pas bien difficile de deviner que ce triste état de fait est valable actuellement pour la France où sont mises sur le devant de la scène depuis quelques années certaines figures « dissidentes » au profil assez douteux et aux mœurs étranges (qui se présentent souvent comme des « catholiques traditionalistes »…) dont les propos anti-juifs plus ou moins pertinents font bien évidemment le jeu du système. Car comme l’avait bien fait observer l’auteur américain Gary Allen : « Les antisémites ont joué en faveur des conspirateurs en ayant soutenu que le complot était strictement judaïque. »

Gary Allen, Personne n’ose appeler ça une conspiration, (Ethos), 2016, p 56.

Gary Allen (1936-1986)

Cette mise au point cruciale fut confirmée par la rescapée du programme M-K Ultra, Cisco Wheeler :

« La conspiration est quotidiennement teintée de judaïsme, et certaines personnes accusent les Juifs d’une conjuration mondiale, mais il serait bien plus exact et précis d’affirmer qu’il s’agit en réalité d’une conspiration satanique. »

Fritz Springmeier/Cisco Wheeler, Guide du Programme de contrôle mental Monarch, (Ethos), 2022, p 245.

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Lorsque nous lisons les homélies et les puissants discours apologétiques d’un Saint Justin, d’un Saint Ephrem de Nisibe, d’un Saint Jean Chrysostome, d’un Clément d’Alexandrie et surtout les Épîtres de Saint Paul, on remarque très vite qu’ils visent aussi bien les Juifs que les païens, les magiciens, les gnostiques et autres Initiés en tout genre. L’exemple de Saint Ephrem est révélateur puisque dans ses homélies visant Julien l’Apostat, il vilipendait aussi bien les Juifs que les hérésiarques Marcion et Mani. De plus n’oublions pas que des auteurs importants comme Jean Vaquié, Étienne Couvert, Jean-Claude Lozac’hmeur ou encore William Guy Carr et le néo-chrétien Serge Monast ne disaient pas autre chose en insistant dans leurs considérables travaux sur le caractère luciférien/satanique/gnostique, et non point judaïque, de la subversion. La nuance est importante.

On citera à nouveau Robert Vallery-Radot. L’écrivain nous expliquait lui aussi à sa manière, et vraisemblablement en connaissance de cause, que se focaliser outre-mesure sur le rôle des Juifs au sein de la subversion constituait une déplorable faute d’appréciation. Rappelons qu’à l’instar de ses collaborateurs Bernard Fäy et Marquès-Rivière, ou encore du martiniste Pierre Mariel, cet écrivain « anti-maçonnique » fut acquitté après la Libération :

« La lutte est avant tout d’ordre spirituel. C’est réellement pour ceux qui croient, mythiquement  pour les rationalistes, la lutte de l’Antéchrist et du Christ. Que l’Antéchrist s’incarne ou cherche à s’incarner de préférence dans la race des Promesses, en haine de son élection surnaturelle, je le crois, et des faits puissants nous le montrent. Mais le Juif n’est pas le Mal en soi. Le prétendre est un conte de bonne femme, une histoire de loup-garou. Il n’est – et c’est déjà redoutable – que l’instrument préféré d’un Esprit plus puissant que lui. »

Robert Vallery-Radot, Israël et Nous, (Proelium Veritatis), p 233-234.

Pour démontrer que les choses sont plus complexes qu’elles ne semblent l’être (les Illuminati aiment beaucoup jouer sur les apparences), nous nous appuierons une nouvelle fois sur Alexandre Douguine. Dans son ouvrage publié en 1994 intitulé Conspirologie, il donnait au profane un aperçu des coulisses du pouvoir, suivant en cela la trace de ses prédécesseurs René Guénon, Papus, Karl Haushaufer, Miguel Serrano ou encore Jean Parvulesco. Voici par exemple comment il décrivait le chef « officiel » du Kremlin des années 90, Youri Andropov :

Youri Andropov (1914-1984)

« Il est curieux que parmi les Russes ordinaires deux jugements opposés soient fréquents : « Andropov juif-sioniste » et « Andropov patriote antisémite » (bien sûr, ces deux définitions doivent être comprises métaphoriquement). En réalité, l’énigme Andropov est simple : il était un représentant du KGB, c’est -à-dire un atlantiste complet et convaincu, loyal à son Ordre et de la danse de la mort. Il était simultanément « juif sioniste » et « patriote antisémite », puisque cette paire ne semble contradictoire que dans les modèles conspirologiques extrêmement simplifiés, alors qu’en réalité l’image conspirologique est beaucoup plus complexe, et ses facteurs clés ne sont ni des critères nationaux nui des critères politiques, lais seulement des orientations géopolitiques fondamentales le plu souvent tenues prudemment secrètes aux non-initiés.

Alexandre Douguine, Conspirologie, (Ars Magna), 2022, p 212.

En confiant à des imposteurs un discours anti-système suranné et inconsistant truffé de demi-vérités et au sein duquel tout est sciemment mélangé, on cherche à maintenir les esprits dans une ignorance suicidaire. Après tout, les plus pernicieux agents du mensonge ont toujours été ceux qui prétendent lutter contre lui. Cela ne date pas d’hier. On ne remerciera jamais assez Pierre-Marie Payet de dénoncer depuis maintenant une décennie cet aspect capital de la subversion. Il est, à notre connaissance, le seul à se livrer à ce travail salutaire.

Nous conclurons par une rapide comparaison entre un symbole utilisé notamment dans les années 30 par les mouvements nationaux-antisémites (l’auteur que nous allons citer fait ici référence à la Garde de Fer roumaine) et un symbole « juif » bien connu :

« On sait, par exemple, quel différend nous sépare de certains antijuifs de l’Europe centrale, qui ont adopté pour insigne le Svastika. La croix, disent-ils, est pour eux l’emblème de leur religion ; le Svastika est le symbole de leur race (…) On vient de rééditer le curieux Voyage au Tibet d’un missionnaire lazariste qui eut son heure de célébrité, M. Huc. On y voit la photographie d’une immense pyramide tartare ou mongole, dont le socle est entouré de toute une frise colossale de Svastikas. Sur les autels phalliques gallo-romains de la région pyrénéenne et garonnaise, signalés par M. Mouneyrès, le Svastika est un ornement fréquent (…) et il semble incontestable qu’on se trouve ici en face d’un emblème d’origine proprement sémitique ou, comme dit notre auteur, brahmanique, sous la feuille phallique ou la roue, symbole de la génération ou de la vie physique divinisée. »

RISS n°158, Survivances contemporaines des cultes phalliques, (Delacroix), p 10-11.

« Tandis que le sexe féminin a comme symbole un triangle dont la pointe est orientée vers le bas, le symbole du phallus est le triangle renversé, la pointe en haut. Ces deux triangles, en se chevauchant en sens inverse, symbolisent l’accouplement : c’est le sceau de Salomon. »

Jacques Marcireau, Le Culte du Phallus, (Éditions Alain Lefeuvre), p 124.

Comprenne qui voudra…

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