La pédérastie à la grecque, la pédocriminalité et la Nouvelle Droite
Pédophiles Nouvelle Droite Pédocriminels
Note : les relations sexuelles entre adultes consentants ne concernent que ceux qui les pratiquent dans le cadre privé. Personne ne remet en cause le droit dont jouissent ces personnes en république. Cet article n’est pas un appel à la haine contre les homosexuels. Juste une analyse de ce que peuvent cacher certains discours portés par des adeptes de la sodomie, tendant à légitimer des actes de déprédations sexuelles illégales sur des mineurs.
Selon Thomas Ferrier, ce serait “anachronique” d’exprimer des réticences à propos de la citoyenneté athénienne, qui s’obtenait à la condition sine qua non d’avoir été sodomisé durant toute l’adolescence par un précepteur pédéraste. Sans doute qu’en 2018 on n’est pas capable d’estimer si oui ou non la pédophilie est une forme d’éducation saine … Quelle différence entre un néo-paien comme Ferrier et un éducateur de crèche des années 70 comme Daniel Cohn-Bendit ?
La pédérastie à la Grecque, une valeur païenne des pédophiles et de la Nouvelle Droite
« Tous les comportements sexuels me semblent acceptables. Le problème, c’est l’usage des plaisirs comme pratique et affirmation de soi. Les modernes condamnent la pédérastie mais au travers d’elle, ce qu’ils condamnent est une conception païenne et inégalitaire de la sexualité et un système de transmission des valeurs qui concurrence la leur. Condamner la pédérastie : au nom de quoi ? »
Guillaume Faye, théoricien de la Nouvelle Droite Païenne, dans un entretien publié dans Gaie France de Michel Caignet, néo-nazi membre de réseaux pédophiles internationaux.
Les néo-nazis stipendiés par l’OTAN pour noyauter les résistances à la fois au bolchévisme et au libéralisme après la seconde guerre mondiale, comptaient en leur sein des militants homosexualistes non seulement nostalgiques de l’Allemagne nazi, tendance SA, mais également d’une Europe Païenne antique qui célébrait l’union des éphèbes et des mâles plus murs. Une institution connue sous le terme de Pédérastie, où le maître initie l’adolescent au Mystères d’Eleusis en le sodomisant.
« Coucher avec un ou une enfant c’est une expérience hiérophanique, une épreuve baptismale, une aventure sacrée. Le champs de la conscience s’élargit, les « remparts flamboyants du monde » (Lucrèce) reculent.»
« Amoureusement, ce que je vis en Asie est très inférieur à ce que je vis en France, même si les petits garçons de onze ou douze ans que je mets ici dans mon lit sont un piment rare. Oui, un piment, mais seulement un piment : une épice, et non le plat de résistance. »
Gabriel Matzneff, écrivain de renom et ardent militant de la cause pédomaniaque
Les tenants de la pédérastie à la grecque à l’extrême-droite sont issus du GRECE (Groupement de Recherche et d’Etude sur la Civilisation Européene), la formation métapolitique d’Alain de Benoist, dont le président d’honneur n’était autre que l’auteur antichrétien Louis Rougier, synarque ayant animé durant l’entre-deux guerres le colloque Walter Lippmann du nom du fondateur du Council of Foreign Relations. Sans surprise, de nombreux membres de la Nouvelle Droite (autre nom du GRECE) s’ils n’étaient pas eux-mêmes des pédomanes assumés comme Gabriel Matzneff, se seront fendus d’articles pour le défendre quand celui-ci se verra reprocher ses apologies répétées du viol d’enfants dans ses différents ouvrages.
La Nouvelle Droite comportait en tout cas un nombre impressionnant de sodomites, déclarés ou non. Des militants historiques de ce courant néo-nazi, vomissant le christianisme, se verront condamner pour des actes de pédophilie dans des affaires de pédocriminalité de réseau gravissimes. Des affaires de pédocriminalité mettant régulièrement en cause Gabriel Matzneff, Michel Caignet, Jean-Manuel Vuillaume et Bernard Alapetite. Condamnés à la fin des années 90 pour avoir organisé des réseaux de production et de diffusion de cassettes vidéo pédocriminelles dans le cadre des affaires Toro Bravo et Ado 71. Gabriel Matzneff quand à lui sera inquiété au moment du scandale de l’affaire du lieu de vie du Coral, mais s’en sortira grâce à ses relations hauts placées.
«Qu’un écrivain déclare, comme la chose la plus naturelle du monde, qu’il préfère le commerce charnel des très jeunes personnes aux turpitudes classiques de ses contemporains, et il n’en faut pas plus — en pleine société permissive — pour le faire passer pour le Diable dans le Landerneau parisien».
Alain de Benoist, vieux dégueulasse marxiste, à propos de Gabriel Matzneff
Le Cancer Pédéraste de la Nouvelle Droite
C’est seulement lorsque le pénis (upastha) se redresse, qu’il émet la semence, source de vie. Il est alors appelé « phallus » (Linga) et, depuis la lointaine préhistoire, il a été considéré comme l’image du principe créateur, du processus par lequel l’Etre Suprême procrée l’univers. Il ne s’agit pas d’un symbole pris au hasard, mais de la reconnaissance de la continuité du processus qui, selon la théorie cosmologique, relie les différents niveaux de la manifestation. Le phallus est réellement l’image du Créateur dans l’homme, et nous retrouvons sa vénération à l’origine de toutes les religions.
Source du plaisir, le phallus évoque la béatitude divine, l’Être de joie. Il représente dans le microcosme, dans l’être vivant, le progéniteur toujours présent dans son œuvre. Le mépris, la dégradation, l’avilissement de cet emblème sacré éloignent l’homme de la réalité divine. Ils provoquent la colère des dieux et aboutissent au déclin de l’espèce. L’Homme qui méprise le symbole même du principe de vie abandonne son espèce aux forces de la mort.
Alain Daniélou, auteur “traditionnaliste”, comprendre “adorateur du phallus” (source)
Alain Daniélou, est un chercheur et auteur du courant Traditionnaliste, sodomite, cela va sans dire. Proche de René Guénon, il aura lui aussi largement inspiré les thèses néo-païennes du GRECE, Christian Bouchet (membre de l’Ordo Templi Orientis, la secte d’Aleister Crowley), déclarait qu’« En Europe de l’Ouest, son œuvre mérite sans doute d’être mieux connue car elle est de nature à ouvrir de multiples voies de réflexion au mouvement traditionaliste. »
Selon Daniélou, la sexualité est une initiation à part entière. Reprenant les thèses de certains historiens des religions comme Pierre Gordon ou Mircea Eliade, il affirme :
« Dans la théorie tantrique, c’est en partant de l’expérience sexuelle considérée comme un rite que l’homme peut traverser tous les obstacles et se rapprocher du divin non point seulement par la procréation mais à travers l’illumination du plaisir. Tout acte sexuel peut être organisé en un rite magique. C’est au moment de l’union sexuelle que nous pouvons en quelque sorte accrocher le divin. »
Par ailleurs, Alain Daniélou fait l’éloge de l’amour transgressif, épanouissant pour l’adolescent, à partir du moment où il reste infertile. En ce sens, il se rapproche de l’aspect le plus contestable d’une autre grande référence de la Nouvelle Droite, Gabriel Matzneff, qui défendait aussi, dans les années soixante-dix, une initiation sexuelle entre un adolescent et un adulte.
Daniélou déplore aussi la perte de la culture de l’érotisme dans l’Occident, perverti par le christianisme, rompant ainsi le lien cosmique :
« En renversant l’ordre des valeurs, en ne cultivant pas l’art érotique, nous ne pourrons jamais ni contrôler, ni dominer le principe de la vie, nous perdons conscience de notre réalité, de notre rôle dans l’ordre naturel et nous devenons donc les esclaves aveugles, incapables jamais de dépasser l’ordre naturel, de nous libérer, d’atteindre à la connaissance véritable et à la béatitude de l’union divine, à la réintégration de l’être individuel dans l’être universel. » […]
La Nouvelle Droite a une conception atypique de l’homosexualité fondée sur la tolérance. Ainsi, Pierre Gripari ne cachait pas la sienne et se considérait comme un homosexuel de droite. Elle constate que celle-ci existe dans toutes les sociétés traditionnelles où elle revêt parfois une signification religieuse et touche toutes les couches sociales. En effet, dans les sociétés prémodernes, les pratiques homosexuelles s’insèrent dans un moment donné de la vie de l’individu, où elles correspondent en règle générale à un rite de passage, à une expérience initiatique. Elles ne permettent donc pas de qualifier l’individu concerné comme homosexuel. Selon Alain Daniélou,
« Il existe tout un rituel lié à la pénétration anale par la porte étroite qui ouvre sur le labyrinthe (dans l’homme, l’intestin). En Yoga tantrique, le centre de Ganésha, le gardien des portes, se trouve dans la région du rectum. L’organe mâle, s’il pénètre directement dans la zone de l’énergie enroulée (Kundalini), peut permettre de l’éveiller brutalement et de provoquer des états d’illumination et de subite perception de réalités d’ordre transcendant.
C’est pourquoi cet acte peut jouer un rôle important dans l’initiation. Cela explique un rite d’initiation masculine, très répandu parmi les peuples primitifs, bien que rarement rapporté par les observateurs occidentaux, dans lequel les initiés adultes mâles ont des rapports sexuels dans l’anus avec les novices (…) Cet acte fait d’ailleurs partie des accusations portées contre les organisations dionysiaques par leurs détracteurs et contre certains groupes initiatiques dans le monde chrétien (les Templiers) et islamiques (les Soufis). » (Shiva et Dionysos: La religion de la Nature et de l’Eros)
L’indo-européaniste Bernard Sergent démontre la même chose dans L’homosexualité et initiation chez les peuples indo-européens. De fait, les néo-païens condamnent l’homophobie d’une partie d’entre eux, en particulier la frange la plus radicale, se situant à proximité de l’idéologie néo-nazie. Les néo-païens néo-droitiers proposent donc comme solution le recours à la Tradition, sans pour autant leur donner un statut particulier, une erreur selon eux, signe de notre déclin, d’une part, et offrant la possibilité de ghettoïsation, d’autre part.
Il existe pourtant, dans les milieux des droites radicales, une tradition d’une homosexualité virile, à la limite du néo-paganisme, née en Allemagne au début du XXe siècle. Celle-ci est apparue, notamment, dans des groupuscules proches des milieux alternatifs et volkischer, qui voulaient se libérer des morales bourgeoise et judéo-chrétienne. En effet, certains de ces groupes ont développé à cette époque une conception particulière de l’homosexualité, inspirée de la Grèce antique (dont Sparte) et des Janissaires, ces troupes d’élite du Sultan Ottoman. A cette virilité quasi spartiate on mettait en avant un culte du corps. Teinté de végétarisme et de naturalisme, avec un discours élitiste sous-jacent. Ces mouvements ont été interdits par les nazis, lors de la mise au pas de la société.
Cependant, les identitaires ont une attitude ambivalente vis-à-vis de l’homosexualité, certains l’acceptent, Nouvelle Résistance par exemple (mouvement politique créé par Christian Bouchet-NDR), d’autre la condamnent. A ce titre, la position du néo-nazi Michael Kuhnen (membre de l’Ordo Templi Orientis, mort du SIDA en 1991) développée dans National-socialisme et homosexualité, est intéressante car il va à l’encontre de l’homophobie de sa famille idéologique.[…]
L’une des figures de cette homosexualité à la fois alternative et de droite est Hans Blüher (1888-1955), figure du mouvement bündisch (ligueur), chantre de l’homosexualité, théoricien de la Révolution Conservatrice et auteur d’ouvrages de « sexologie politique ». Hans Blüher avait développé, dans Die Rolle der Erotik in der männlichen Gesellschaft (« Le rôle de l’érotisme dans la société masculine »), paru en deux volumes en 1917 et 1919, la théorie selon laquelle l’Etat serait né du conflit entre la famille, expression de l’éros hétérosexuel, et la « société masculine » expression de l’éros intermasculin, et s’exprime dans les communautés masculines (Männerbünde). Le Männerbünd, la société masculine, était, dans l’Allemagne de la fin du XIXe siècle, une association masculine fonctionnant par cooptation et parrainage, typique des contre-cultures antidémocratiques et élitistes allemandes de cette période.Le courant idéologique symbolisé par [les éditions] Pardès prône l’acceptation de l’homosexualité et de certains comportements sexuels. Il ne faut pas oublier que cette maison d’édition [faisant partie de la Nouvelle Droite] a publié des textes de/sur Crowley et de/sur Maria de Naglowska, adeptes de la polysexualité. Il développe un refus du moralisme chrétien et bourgeois et défend une révolution sexuelle prenant sa source dans les principes traditionnels. Cette acceptation de l’homosexualité s’appuie sur l’œuvre d’Alain Daniélou, dont certains de ses ouvrages ont été publié par Pardès. Il ne faut pas oublier que Daniélou était homosexuel et ne s’en cachait pas. Il condamnait d’ailleurs l’homophobie :
« En ce qui concerne l’homosexualité, qui est une composante de la sexualité adolescente, la répression peut atteindre une cruauté et une incompréhension féroces qui, souvent, fixent une tendance qui aurait dû n’être que temporaire. La persécution de l’homosexualité qui, dans certains pays, est punie de prison ou de mort, prive l’adolescent de l’affection et de la protection d’adultes nécessaires à son développement harmonieux. »
Il va même au-delà en défendant, discrètement, une forme de pédérastie :
« Dans certains pays libéraux où les relations amoureuses entre personnes du même sexe ont été, depuis peu, acceptées entre adultes, elles restent généralement persécutées entre un adulte et un mineur quelle que soit sa maturité sexuelle.»[…]
Il existe […] un courant des droites radicales favorable à l’homosexualité, voire à la pédophilie. Il s’agit du courant incarné par Michel Caignet (ci-contre, le visage joliment vitriolé par des membres du BETAR en raison de ses travaux négationnistes … bien fait pour sa gueule quand même !-NDLR) et de ses amis publiant la revue Gaie France fondée en 1986 par Caignet et vite interdite.
Il est un ancien membre de la FANE (Fédération d’Action Nationale et Européenne), un groupuscule néo-nazi animé par Mark Fredriksen et ayant existé de 1966 à 1980. Il est lui-même l’animateur d’un autre groupuscule néo-nazi, le Mouvement Européen, fondé en 1986. […] Michel Caignet est aussi le traducteur du livre du néo-nazi allemand Mickaël Kuhnen, Homosexualité et nationalsocialisme. Michel Caignet a été jugé et condamné pour une sordide histoire de pédophilie. Par ailleurs, l’ancien rédacteur en chef de Gaie France est Jean-Pascal Farinaci, l’actuel directeur du Centre d’Etudes Blüheriennes.
L’affaire du Pasteur Doucé
Le pasteur Doucé était un activiste du milieu gay, ayant fondé le Centre du Christ Libérateur, une secte pédomane qui avait ses entrées à l’UNICEF, à travers le CRIES. Le Centre de Recherche et d’Information sur l’Enfance et la Sexualité. Un lobby pédophile qui réalisait des photos pédopornographiques dans les locaux de l’UNICEF. Doucé était effectivement en lien avec l’extrême-droite néo-païenne, à travers la revue Gaie France de Michel Caignet qu’il distribuait. Les Renseignements Généraux semblent à l’origine de la disparition du pasteur pédophile, comme le démontre ce reportage.
En effet, les photographies pédopornographiques que commercialisaient et distribuaient Caignet et Doucé avaient été également prises dans le cabinet de photo de “l’abbé” Peter Glencross, un autre membre de la secte lié au secrétaire général de la présidence de la République de François Mitterrand, Hubert Védrine. C’est au presbytère du “prêtre” que Védrine était domicilié afin de pouvoir se présenter aux élections municipales dans la Nièvre. Donc Mitterrand aura fait abattre ce pasteur protestant qui en savait trop.
Le Mythe fondateur du GRECE : Zeus et Ganymède
Ganymède
Mais où coucherai-je la nuit ? Sera-ce avec mon camarade l’Amour ?
Jupiter
Non pas ; je t’ai enlevé pour que nous dormions ensemble.-Ah! tu ne peux pas dormir seul, et tu trouves plus agréable de dormir avec moi ?-Sans doute, surtout quand on est joli garçon comme tu l’es, Ganymède.-Tu ne peux rien faire qui me soit plus agréable que de me tenir éveillé avec toi, car alors je ne cesserai de te donner des baisers et de te serrer dans mes bras.-Tu verras : moi, je dormirai, pendant que tu me donneras tes baisers
Le mythe de Ganymède, jeune éphèbe que Zeus enleva pour en faire son amant et deviendra l’échanson des “dieux”, témoigne du caractère sacré de la pratique pédéraste de la Grèce Antique. De fait, il semble que c’est en Crête d’où est originaire Zeus que cette pratique est originaire (et où d’ailleurs celui-ci a été enterré … et oui, les “dieux” païens ne sont que d’illustres mortels ayant été divinisés à la manière des pharaons ou des empereurs romains) :
La Crète offre le modèle le plus ancien d’institution pédérastique, dont on connaît essentiellement les caractéristiques grâce à un texte d’un historien grec du IVe siècle, Éphore, repris par Strabon. Après en avoir fait l’annonce et obtenu l’approbation du père, l’homme procédait à l’enlèvement rituel du garçon, le rapt pédérastique. Commençait alors pour ce dernier une période d’apprentissage placée sous la responsabilité de l’adulte. Celui-ci l’isolait avec lui à la campagne pour une durée de deux mois environ. Il s’agissait de faire du garçon un chasseur adroit et un combattant courageux.
Pendant toute cette période, le couple partageait également des activités sexuelles. On considérait comme normal pour le jeune garçon de s’offrir à son amant, en marque de reconnaissance pour les efforts que l’homme consacrait à sa formation.
À l’issue de cette période, le garçon était reconduit dans la cité, où l’on fêtait son retour et sa renaissance sociale, publiquement et à grands frais. Parmi les nombreux présents, trois cadeaux rituels étaient obligatoires : un bœuf, qui manifestait sa capacité à sacrifier aux dieux, une armure, qui marquait son entrée dans le groupe des citoyens-soldats et une coupe lui permettant de participer au banquet ou symposion, festin civique masculin. On reconnaissait alors l’éphèbe à la fois comme homme et comme citoyen. Ceux qui l’avaient connue se voyaient accorder des marques d’honneur particulières.
Athènes : berceau de la pédophilie et du contrôle mental
Athènes, que l’on présente comme le berceau de la démocratie, fut l’état qui constitua le nec plus ultra en matière de régime totalitaire basé sur le contrôle-mental, durant l’Antiquité. Le mind control basé sur des pratiques sodomites initiatiques, appelées en Grèce Mystères d’Eleusis, servit de modèle aux sociétés secrètes illuminées à travers l’histoire, à l’instar de l’Empire Britannique et des Etats-Unis de nos jours, mais aussi de la France et du reste de l’Europe Occidentale.
La démocratie est censée avoir vu le jour dans l’Athènes antique. De nombreuses personnes souhaiteraient que nous revenions au modèle de démocratie directe athénienne, à la place de notre démocratie représentative. Pourtant, seulement 1% de la population était citoyenne. La plupart de la classe ouvrière était constituée d’esclaves ou de travailleurs immigrés. L’ensemble de la région de l’Attique comprenait environ 600 000 adultes, sur lesquels régnaient 6000 citoyens, votant et discutant les lois durant les fêtes religieuses.
Mais ce n’est pas là le principal. Afin de devenir un citoyen, vous deviez, à moins de descendre de parents athéniens, recevoir une “éducation” (ἀγωγή/agōgē).
La véritable signification du terme “ἀγωγή / agōgē” est “initiation” au sens réellement sexuel du terme : “s’enfoncer, rentrer dedans”. On confiait à un mentor désigné par l’Etat l’enfant mature puis adolescent, durant 7 à 8 ans. Il le sodomiserait deux fois par jour. L’apprentissage consistait à rester stoïque durant l’assaut.
Ce même mentor était aussi responsable de l’éducation physique et militaire. Le but de cette initiation sexuelle n’était pas de faire connaitre de nouvelles formes de plaisir, bien au contraire. Le but était de détruire votre personnalité propre, afin de la remplacer par une nouvelle. Formée dans le moule de l’Etat, incarné par le mentor. Si l’on surprenait l’initié avec un autre partenaire au cours du cursus, on lui refusait l’accession à la citoyenneté. Il avait définitivement échoué le test.
C’est seulement au terme de sept années d’apprentissage, commençant avant la puberté, que vous étiez reconnu citoyen. Seulement, celui qui recevait cette distinction, n’avait plus aucune volonté propre. Son corps, son esprit et son âme étaient en possession de l’Etat. Exactement comme dans le programme MK-Ultra/projet Monarch de la CIA.
La symbolique du Hibou est omniprésente à travers le monde, on le retrouve partout dans les centres bancaires internationaux, comme ici à Barcelone :
Le MK ULTRA, le Paganisme d’Elite Athénien des temps modernes
Les liens purent être rapidement établis entre le Pizzagate et un autre scandale analogue. L’affaire du Lolita Express qui secouait déjà la Nomenklatura américaine. Mettant en cause, pour proxénétisme aggravé, Jeffrey Epstein, magnat juif de la haute finance. Une affaire de prostitution de mineurs impliquant de nombreuses personnalités de l’élite, notamment Bill Clinton. Des personnalités s’y rendaient à bord d’avions privés appartenant à Epstein. Jusqu’à Little Saint James Island, une île privée qu’Epstein possède dans les Îles Vierges des Caraïbes.
Epstein était juif, certes. Mais la religion qu’il pratique réellement trouve son origine, comme les Mystères d’Eleusis, en Phénicie. Un temple à l’architecture évoquant une mosquée se trouve sur cette île, c’est vrai. Mais c’est Moloch qu’on y vénère, comme en témoigne la statue de hibou géante qui domine l’édifice :
La mystique hellénique du taré pédéraste Alefantis
Revenons au Pizzagate et à celui dont le restaurant, le Comet Ping Pong, fut l’épicentre du scandale, James Achilles Alefantis. Ce dernier s’inscrit clairement dans une tradition païenne hellénique sous sa forme la plus obscure, démonstration :
Dans la mythologie grecque, les Niobides sont les enfants d’Amphion et de Niobé, fille de Tantale. Leur mère s’était vantée d’avoir eu plus d’enfants que Léto, mère d’Apollon et Artémis. Ces derniers les massacrèrent de leurs flèches. (Musei in Comune Centrale Montemartini de Rome, photo tirée de la page FB de James Alefantis) (source)
Attention, ça devient de pire en pire. Notez le hashtag #babybirding : un terme qui en français se traduit par “donner la becquée”. L’individu qui semble “rouler une pelle” au chien mange en réalité quelque chose dans sa gueule … Et en fait, ce n’est pas un chien mais un Lycaon. un animal réputé pour manger les enfants … Un animal dont le nom vient des mythes de la Grèce Antique. Lycaon était un homme qui habitait sur le Mont Lycée en Crète. L’endroit où on découvrit les restes de l’adolescent sacrifié. Lycaon fit manger un enfant au “dieu” Zeus, celui-ci pour le punir, le transforma en loup. C’est l’origine du terme Lycanthrope, désignant la créature qu’on appelle plus communément “loup-garou”.
Selon Théophraste, lors des fêtes lycéennes, la communauté apportait les sacrifices humains collectivement. Diverses légendes couraient à propos de ce sanctuaire et de ses rites. Les hommes et les animaux ne jetteraient aucune ombre dans l’enceinte sacrée. Tous ceux y entrant mourraient dans l’année. On consommait des entrailles humaines, mélangées à de la viande d’animaux sacrifiés. Cela afin de se transformer en loup. La punition infligée à Lycaon par Zeus pour lui avoir fait manger un enfant à son insu. Son proprefils Arcas, selon une version du mythe … L’autel de Zeus se composait d’un grand monticule de cendres … (source)
Les commentaires sur cette image font assez froid dans le dos : “#salledexécution”, “rince-toi juste quand t’as fini”, “#meurtre” … Et enfin : “là où les loups-garous s’enferment pendant la pleine lune ?”
James Alefantis possède une fausse galerie d’art. Cette galerie d’art n’en est pas une puisqu’aucun article ne parle d’une quelconque exposition y ayant eu lieu. C’est juste une devanture. Les “initiés” pouvaient la trouver sur Google Map, James Alefantis ayant été la seule personne à la référencer sur Google+ … Toujours est il que son nom est là-encore est tiré des mythes grecs : le Mémorial Pegasus. La religion hellénique semble décidément être une véritable obsession pour le sodomite Alefantis !
Les chercheurs ont également découvert que le bâtiment était jadis la propriété de deux membres de l’Eglise de l’Unification. Egalement connue sous le nom de Secte Moon. Une organisation richissime (elle a racheté le Washington Times après que le journal ait révélé le Scandale Franklin …). La secte connue pour appartenir à la CIA. Servant à des activités de subversions religieuses et politiques à travers le monde, notamment en Asie.
Ci-contre, la preuve légale (lien) de la cession de l’établissement abritant le Pegasus Museum à James Alefantis, par Nellie T. Hubbard et Joseph T.Scheve. Une coquille s’est nichée dans le texte : on a écrit Akfantis à la place de l’épellation correcte du nom du propriétaire du Comet Ping Pong, mais un autre document légal établit la propriété du bâtiment au nom de son entreprise CASTELLUM ACHILLES LLC (lien) :
Enfin, CASTELLUM ACHILLES LLC, détenteur légal du bâtiment du “Pegasus Museum” est bien James Alefantis (lien) :
Un autre document légal nous apprend que Joseph T. Scheve (lien) était le directeur d’une organisation “New Hope Educational Institute Inc” :
New Hope Educational Institute est une Organisation Non Gouvernementale dédiée à l’éducation des enfants, située dans la banlieue de Washington, DC. Le nom commun de cet institut étant la New Hope Academy, leurs adresses se confondent et il s’agit évidemment de la même organisation :
Une simple visite sur la page Wikipédia dédiée à cette ONG suffit pour apprendre que cette “école” est un fronton de l’Unification Church, également connu sous le nom de Secte Moon :
La Secte Moon, organisation de la CIA argentière du Front National
La Secte Moon a également financé le Front National. C’est cette organisation qui arrangera le rapprochement de Jean-Marie Le Pen avec Ronald Reagan :
On sait que la CIA essaime de par le monde à travers une multitude de sectes, dont fait partie l’Eglise de l’Unification du Révérend Moon (un adepte des rites sexuels qui avait 6 fours à pizza dans sa cuisine, nous apprend cet article…) Comment s’étonner dans ces conditions de la grande tolérance dont on pu jouir les infiltrés de la Nouvelle Droite ? Ils exercèrent en effet le Gramcisme dont ils se revendiquaient. Mais pas de l’extrême-droite vers l’extérieur, comme prétendu, mais bien de l’extérieur vers l’intérieur.
Les méthodes trotskystes du GRECE
Elles ont fait florès dans le camp national. On se souvient qu’au rassemblement annuel du Front National, la Fête des Bleu Blanc Rouge, sur la même estrade où avaient lieu les discours de Jean-Marie Le Pen et la messe traditionnelle du dimanche matin, se produisait le chansonnier païen Docteur Merlin dont les chansons, écrites par Pierre Vial et Pierre Gripari, s’inspiraient directement des écrits antichrétiens de Celse, repris par les rabbins rédacteurs du Talmud :
(«Son père était un charpentier/ Qui voulait pas se mettre en piste/ Alors sa mère s’est fait draguer/ par un centurion pas raciste/ Et dans l’étable/ Elle a pondu/ Un mec minable/ Un vrai faux-cul/ Le crucifié.» «Marie Madeleine, allonge-toi là/ J’ai l’Saint-Esprit qui m’démange/ (…)/ Le drap plein d’sueur fut revendu/ Le saint suaire est apparu.»).
Les mouvements tels qu’Ordre Nouveau, Occident, le Parti des Forces Nouvelles ou le GRECE, la Nouvelle Droite, à l’origine ou proche du Front National sont issus des réseaux stay-behind de la CIA : une nébuleuse d’organisations anti-communistes ayant essaimé dans le monde entier durant la guerre froide. Le contact aura été pris durant la guerre d’Algérie entre les services secrets américains et l’Organisation Armée Secrète, des membres de l’OAS comme Dominique Venner seront recyclés dans la politique ou le mercenariat, pour noyauter les nationalistes en France, aux côtés d’agents de la synarchie infiltrant le camp national depuis la collaboration, ou manœuvrer des opérations de barbouzeries en Afrique à l’instar de François-Xavier Sidos …
Le général de Gaulle organisera la réconciliation entre les réseaux pétainistes et résistants. La politique française est depuis longtemps le jouet de la Synarchie apatride. Passée du nazisme, du fascisme, de la collaboration à l’immigrationisme et au cosmopolitisme. Sans avoir jamais renié son capitalisme ultralibéral et son penchant pour l’occultisme et le paganisme.
De l’autre côté de l’Atlantique, James Achilles Alefantis est le produit de ce même système. Issu du Deep State et du MK-Ultra. D’une famille d’origine grecque, active au sein d’Ordres Maçonniques empreints de paganisme hellénique. Telle l’organisation communautaire AHEPA(American Hellenic Educational Progressive Association) liée à l’église orthodoxe grecque aux USA. Sa grand-mère avait appartenu à la Loge des Filles de Pénélope, branche féminine de cette association. Pénélope étant dans la mythologie grecque la mère de Pan. Ce qui peut aider à comprendre l’identification de James au dieu Pan. Ce qui est certain c’est que ça ne tourne pas rond dans la tête de ce pauvre garçon …
Ouvertement homosexuel, ce fils de pute a longtemps été le partenaire sodomite officiel de David Brock, autre homosexuel notoire de gauche, décrit comme l’un des cadres les plus actifs du Parti Démocrate. Directeur de l’observatoire journalistique Media Matters for America, un groupe notamment financé par Georges Soros. L’homme des Rothschild au nom récurrent dans les recherches effectuées à propos du Pizzagate. L’internationale des sadiques pilotée par la haute finance, composée de crapules sodomites et païennes. Ceci étant leur dénominateur commun, leurs appartenances religieuses pouvant varier, quoi qu’on en dise. Même si les juifs et les protestants sont nombreux. Que de nombreux illuminés gnostiques, adeptes de ces horreurs, ont depuis longtemps infiltré l’église catholique …
Ce n’est pas leur confession qu’elle soit juive, protestante, catholique, musulmane ou athée qui est déterminante. Leurs abominables déviances sont dues à leurs mœurs et croyances de païens sodomites. Ayant été initiés au sein d’Ordres Obscurs. Qu’on soit un fils de pute d’extrême gauche comme Daniel Cohn-Bendit. Ou un fils de pute de droite comme Gabriel Matzneff. Que vous vous adonniez à la traite d’enfants en étant de n’importe quel bord politique ou confession “officielle”. La source de ces mœurs, de ces croyances et de ces rites, c’est le Serpent. Le Culte Antique du Serpent. Livrant une lutte à mort contre le Culte tout aussi ancien de la Femme. Selon ce qui est annoncé dès le premier livre de la Sainte Bible :
14 L’Éternel Dieu dit au serpent : Puisque tu as fait cela, tu seras maudit entre tout le bétail et entre tous les animaux des champs, tu marcheras sur ton ventre, et tu mangeras de la poussière tous les jours de ta vie.
15 Je mettrai inimitié entre toi et la femme, entre ta postérité et sa postérité : celle-ci t’écrasera la tête, et tu lui blesseras le talon.Genèse 3
La Semence de la Femme, ennemie jurée du Serpent, étant celle de Jésus. De la Sainte Trinité née d’une Vierge, seul culte honni par les sodomites par Lui maudits. En témoignent les multiples blasphèmes antichrétiens auquel le monde de l’art dégénéré, aux mains des juifs et des sodomites, s’adonne, à l’image des expositions infâmes exposées dans la galerie Transformer de James Alefantis (lien, attention image dégradant Notre Seigneur Jésus Christ, si vous cliquez), de Piss Christ, de la pièce de théâtre Golgotha Picnic, produite au théâtre du Rond Point, de l’antichrétien Jean-Michel Ribes.
Lucifériens et sodomites … Qu’ils soient juifs, païens, musulmans, gnostiques, athées, quelle différence ? Les juifs collaboraient avec les envahisseurs sarrasins pour leur ouvrir les portes des cités chrétiennes. Tout comme les païens scandinaves enlevaient des filles chrétiennes sur les côtes de l’Europe. Les vendant aux arabes, aux juifs, pour qu’elles échouent dans des harems. L’antichristianisme est l’unique dénominateur commun de l’ennemi universel. Une inclinaison souvent assortie des vices de Sodome. Un signe certain de possession doméniaque.
12Car nous n’avons pas à lutter contre la chair et le sang, mais contre les dominations, contre les autorités, contre les princes de ce monde de ténèbres, contre les esprits méchants dans les lieux célestesÉphésiens 6
Ce sont toujours les mêmes qui ont divisé l’Europe et l’Eglise en deux. A travers la subversion protestante de l’initié rosicrucien Martin Luther. Après avoir répandu des hérésies dans toute l’Europe (les sodomites cathares et bogomiles, par exemple). Renversé les monarchies catholiques et imposé des républiques païennes en lieu et place. Ce sont aussi les professeurs laïcards qui récrivent l’Histoire. Faisant passer les heures de gloire de notre Civilisation Chrétienne pour un “Âge Sombre” . Pourtant, jamais l’Europe ne prospéra autant qu’au soi-disant Moyen-Âge. La vérité c’est que nous retournons aujourd’hui à la barbarie païenne des temps préchrétiens.
Tout comme jadis, on sacrifie les premiers nés à Moloch, mais cela s’appelle l’Interruption Volontaire de Grossesse. On éduque nos dans la perversion. S’ils ne sont pas directement violés par les salopards qui pullulent dans notre société. Ils le sont au moins moralement et psychiquement par la culture satanique. Culte de la pornographie, de la drogue et de la subversion intellectuelle. Relayée de manière permanente dans les media et les écoles. Il suffit à deux complices pédomanes de se marier pour pouvoir adopter leurs futures victimes. Elles seront violées et endoctrinées jusqu’à croire que la pédérastie est une pratique honorable, héritée de nos glorieux ancêtres. Pourquoi pas ?
Les crimes rituels sont toujours perpétrés de nos jours. Par des kabbalistes juifs ou des sorciers pédérastes comme Gilles de Rais. Le problème est encore le même qu’au Moyen-Âge … Si ce n’est que, révolution oblige, la loi se situe à présent de leur côté ! C’est ce qui arrive quand on supprime la Sainte Inquisition. Les défilés qu’on ose appeler “Marches des Fiertés” ou Gay Prides, rappellent les Saturnales romaines. Des parents psychopathes y traînent de force leurs enfants. Exposés à des détraqués à moitié nus et bardés de cuirs et de chaînes. Tout cela bien sur, sous l’aval de nos gouvernements qui financent avec nos impôts.
On ne compte plus les centaines de scandales criminels éclatant au grand jour dans le monde entier. En particulier en Occident. Dévoilant l’ampleur d’un réseau international de l’horreur. Des enfants par milliers sont traités comme du bétail par une engeance démoniaque de sorciers sodomites. Une engeance implantée jusqu’aux plus hautes sphères du gouvernement mondial. Ceux qui cherchent, trouvent. Les enlèvements, les tortures, les mises à mort, la prostitution d’enfants sont la réalité. La commercialisation des photographies ou de films avec mise à mort (snuff-movies) également. Sur fond de pratiques rituelles païennes et sataniques.
Incrédule, abrutie, soumise et réduite à l’état de larve, la populace grégaire ignore, tourne le regard, moque les faits tenaces. L’humanité entière est soumise aux forces des ténèbres. Pour avoir rejeté Dieu et adhéré à la Révolution Satanique contre l’Ordre Naturel et Surnaturel. Croire que l’on peut faire face à ce cortège permanent d’abominations par nous même relève de l’orgueil. Voire de la folie. Seul le Seigneur sauve et nous donnera les forces pour terrasser les porcs qui nous ont condamné à l’esclavage.
L’union ne fait pas la force quand on prétend affronter le diable en s’alliant à des gens qui lui sont soumis par l’adhésion spirituelle et intellectuelle à des principes sataniques tels que les fausses religions, les fausses doctrines, les hérésies naturalistes, gnostiques etc.. La prière est la seule arme qui triomphe de Satan. Un ennemi immatériel par définition, polymorphe car il peut se manifester sous n’importe quels traits. Y-compris sous ceux d’un “frère de race” à la sensibilité proche de la notre.
Ainsi, on comprend mieux le rôle littéralement diabolique qu’auront joué les païens de la Nouvelle Droite. Héritiers des tarés illuministes de la Société Thulé. Nous infiltrer et nous couper de tout lien avec le Divin. Par l’adhésion à leurs hérésies et leurs fausses doctrines crypto-gauchistes. Déchristianiser par l’antisémitisme, enjuiver par le paganisme. .Nous faire prendre pour modèles une bande de lucifériens idolâtres de leur épiderme. Afin que dans nos cœurs la race supplante la place de Dieu. Pour infester les chapelles de la Tradition Catholique. Qu’elles passent pour des cloaques fascistes, où la charité reste à la porte. A ce titre, l’œuvre de subversion du prétendu évêque, infiltré gnostique Williamson, proche de la Nouvelle Droite, au sein de la Fraternité Sacerdotale Saint Pie X, est révélateur du potentiel destructeur du chancre sodomite.
Au même titre, avoir laissé entrer ces écœurants dégénérés au FN ou la grande porte n’a jamais été fermée à ceux qui aiment la prendre par derrière, Jean-Marie Le Pen déclarant que les sodomites ne le dérangeaient pas tant qu’ils ne lui reluquaient pas la braguette, et pour cause, aura produit les fruits que l’on sait. Le néo-FN ayant bien mérité de sa réputation de “lupanar pédérastique”.
La benjamine de Jean-Marie Le Pen s’étant progressivement entourée d’invertis. Depuis que le dégoutant sidaïque Paul-Marie Couteaux lui avait présenté les frères Phillipot. Florian travaillait au Ministère de l’Intérieur. Lui qui deviendra numéro 2 du parti avant de claquer la porte. Non sans se retourner contre la présidente et avoir détruit son parti de l’intérieur. La trahison étant constitutive de l’ADN de ces êtres vils. Il tentera une OPA sur les électeurs du FN avec la création de son parti “Les Patriotes”, sans succès.
Quant à Damien, il rejoindra l’équipe de campagne de Marine en 2017. Abandonnant son poste de cadre de l’IFOP. L’agence de sondage de la pourtant très anti-mariniste et lesbienne Laurence Parisot (MEDEF). L’ombre de la pagano-maçonnerie sodomite planait, lourde comme l’obèse Franck de Lapersonne. Ce fils d’un haut dignitaire maçon étant un habitué des planches … Du Théâtre du Rond Point de l’infâme folle haïssant le Christ, Jean-Michel Ribes.
Près d’un demi-siècle que les Français reportaient leurs espoirs sur le parti à la flamme tricolore héritée de la Synarchie, pour que ceux-ci finissent piétinés par une clique d’adeptes de l’aspiration rectale. Une Marine mal-entourée, lâchée par son équipe de campagne, irait se ridiculiser devant la France ébahie. Planant sur son petit nuage éthylique et chimique, trahie par ses gens qui sentent le souffre et sentent le foutre. Offrant la victoire sur un plateau d’argent au futur président jupitérien, lui lui aussi franc-maçon. Jupiter triompherait en grande pompe devant la pyramide du Louvre mitterandienne. Symbole du républicain paganisme superposé aux vestiges de la monarchie chrétienne.
Dans l’ombre, ravi, observait la scène Jean-Louis Borello. Borello, conseiller principal d’Emmanuel “Jupiter” Macron, que d’aucun qualifiaient de gourou du futur président. Trafiquant de drogue condamné, proche du milieu juif, au même titre que son conjoint Robert Mégel, condamné à 14 ans de réclusion ferme pour des viols répétés en son foyer éducatif du château des Tournelles.
Nous étions condamnés par la presse et attaqués de toute part dans les medias et notre propre camp. Pour une plaisanterie postée sur Facebook que d’aucun jugeront de mauvais goût. Ironisant sur l’assassinat d’un policier homosexuel sur les Champs Elysées. Le ministre de l’intérieur de l’époque ayant personnellement porté plainte contre l’auteur de ces lignes, dans l’hystérie générale.
Quelques temps après, le compagnon du policier épousait son défunt amant à titre posthume. Un mariage nécrophile qui ne choqua pas grand monde, de mémoire. En tant que chrétiens, nous croyions qu’afin de se marier il fallait un homme, une femme. Deux époux bien vivants, qu’on unit jusqu’à ce que la mort les sépare, selon la formule consacrée. En Gaule néo-païenne, un sodomite peut épouser feu son compagnon de jeu sexuel. Y-compris à titre posthume et sous la bénédiction de la République, en présence de son plus haut fonctionnaire.
Chaque société a les martyrs qu’elle mérite. A ce titre, rappelons-nous de la cérémonie d’hommage des blasphémateurs de Charlie Hebdo. Au cours de laquelle, Luz se vanta de s’être mutuellement “enculés” avec Charb, qu’on enterrait pourtant ce jour-là. La république païenne sacralise la sodomie comme au temps de l’Antiquité.
Peut-être que le policier assassiné sur les Champs Elysées par un “déséquilibré” de l’Etat Islamique, emportait quelques souvenirs gênants dans sa tombe ? Nous savons qu’il avait officié en tant que bénévole pour Frontex, une ONG dédiée à l’aide des jeunes migrants, en Grèce, en sus de ses activités de lobbyiste LGBT au sein de la Police Nationale.
Celui qui était sur le point de se faire initier au sein d’une loge maçonnique avait pu collaborer avec l’association Elpida, sous-branche de la Radcliffe Foundation, proche du clan Clinton ? Une ONG, proche de Médecins du Monde de Bernard Kouchner, consacrée à l’aide aux jeunes migrants, en Grèce. Ayant pour logo l’emblème des Boys Lovers. Une association qui travaille de manière rapprochée avec Frontex, en liaison étroite avec les gouvernements grecs et turques. Xavier Jugelé a été abattu devant le Service Culturel de l’Ambassade de Turquie. Que protégeait-il exactement, et que cherchaient à protéger les commanditaires de cet assassinat trop “beau” pour être gratuit ?
Des cadres de l’armée et de l’ultra-droite impliqués dans les réseaux de l’horreur
On trouve des témoignages de militaires et anciens appelés du contingent, riches en détails. Les commentaires des articles sur le site lemague.net à propos des disparus sont édifiants. Ils nous offrent un éclairage inédit sur cette affaire. Ils citent des membres de l’ultra-droite faisant partie de groupuscules nazis. En particulier la FANE (Fédération d’Action Nationale et Européenne).
Surtout, le nom de Michel Caignet revient très souvent. Caignet état l’ami, l’amant et le complice de Pierre Chanal, qui était son pourvoyeur en snuff-movies. Chanal enlevait, séquestrait, violait en filmant puis assassinait ses victimes. Ciblant des jeunes hommes appelés au service militaire. Caignet se chargeait d’écouler les vidéos de ces viols de jeunes garçons auprès de sa large clientèle.
D’autres personnalités, membres importants de la République Française étaient parmi les militaires du 4ème régiment de dragons de Mourmelon. L’ancien chef d’état-major Pierre de Villiers et Félix Dzikowski, ancien responsable du protocole au ministère de l’Intérieur, ayant défrayé la chronique suite à la circulation d’une vidéo pornographique à caractère scatophile le figurant avec des skinheads, tournée dans les égouts de Berlin.
On constate à travers ces témoignages la connexion entre les réseaux pédophiles français (Toro Bravo) et anglais (Spartacus). Le “père” Peter Glencross ayant été impliqué dans ces deux affaires : il fournissait aussi bien Caignet que John Stamford, client de Chanal, en photographie et figurait dans l’équipe de publication de son magazine gay, Spartacus, qui servait à connecter les membres de ce réseau pédophile, exactement comme Gaie France, le magazine de Caignet, en France.
Les témoignages, ô combien accablants, des anciens appelés et militaires concordent pour affirmer que Chanal n’était qu’un lampiste : un homme de main à qui l’on aura fait porter le chapeau quand le scandale aura éclaté au grand jour, comme Patrice Allègre à Toulouse, Marc Dutrou en Belgique ou, tout près de Mourmelon, dans l’Yonne, Emile Louis employé dans des foyers de la DDASS par Pierre Charrier, vénérable d’une loge maçonnique.
Un autre point commun entre Chanal et Emile Louis étant leur passion pour le nazisme. Tout comme un autre membre du réseau d’Emile Louis, Claude Dunant. Dunant aimait tracer des croix gammées au tournevis chauffé à blanc, sur les chairs de ses victimes. Séquestrées dans la cave de son domicile où se succédaient différents notables locaux. Emile Louis et Claude Dunant se vantaient de jouir de la protection de Jean-Pierre Soisson. Un homme politique français, député et ministre de centre-droit. Soisson ayant été officiellement radié de la Franc-Maçonnerie. Après avoir gagné les élections grâce au soutien du FN.
Pourtant, des occultistes de hauts degrés depuis toujours font partie des groupes d’ultra-droite. A l’instar de Christian Bouchet et de Jean-Pierre Giudicelli. Ce dernier étant cité dans les commentaires comme un client de Chanal. Des membres historiques et fondateurs de divers mouvements révolutionnaires tels qu’Organisation Lutte du Peuple ou Troisième Voie. Membres du Cercle d’Alexandrie, noyau dur du Groupe de Thèbes, qui organisaient des rencontres entre occultistes de différents bords politiques, dans les locaux du Grand Orient de France de la rue Cadet, à Paris. A leurs côtés, des sorciers comme le Mage Nathanaël (amant à l’époque de Michel Caignet, il finit le crane explosé à coups de marteau lors d’une séance de SM) ou le sorcier Octave Sieber (tous deux cités également dans les commentaires) parachevaient le fond occulte de ces organisations mafieuses pédocriminelles.
D’un point de vue chrétien, le plus inquiétant dans tout cela étant d’observer la connivence entre des sous-officiers et gradés aristocrates et l’adjudant sodomite et satanique Chanal. Les nombreux témoignages laissés par des militaires et anciens appelés de la caserne de Mourmelon l’établissent. Chanal n’était qu’un des membres d’une coterie de soldats déviants. Torturant, violant et tuant des jeunes hommes venus servir sous les couleurs de la République. Ces soldats, excepté Chanal, étant issus de la bonne société française catholique. Quel moyen permet de faire dérayer totalement de jeunes hommes, élevés dans les valeurs chrétiennes ? Pour devenir des membres actifs de réseau pagano-satanique, antithèse de l’Esprit d’Evangile.
L’endoctrinement subliminal au paganisme de la jeunesse catholique par le scoutisme
On sait que le scoutisme a été la création d’un membre de la noblesse anglaise, Lord Baden Powell. Il a fait partie de la Société Théosophique d’Helena Blavatsky (encore elle !). Le scoutisme ayant été condamné par l’Eglise dès sa création comme étant une entreprise paramaçonnique d’embrigadement de la jeunesse protestante et catholique. Tout dans le scoutisme en effet rappelle l’esprit fraternel des Loges. De l’esprit élitiste qui y règne, l’impression d’être un classe à part de la jeunesse, plus douée. Ainsi que la hiérarchie en trois degrés. Les rites totémiques inspirés du Livre de la Jungle, roman du franc-maçon Rudyard Kipling …
Ce véritable ordre paramilitaire destiné à la jeunesse l’embrigade, développant en elle un esprit élitiste et martial. Un esprit dépouillé chrétien. Les premières générations du scoutisme produiront les adultes qui allaient grossir les rangs des partis socialistes fascistes. Partis qui prendraient le pouvoir en Europe au XXème siècle. Le scoutisme, bien sur, étant l’organisation idéale pour les prédateurs sexuels. Ceux-ci disposant d’une multitude de proies sous leur responsabilité. Sans parents autour pour les empêcher de violer en rond. A tel point que le boy scout est une mascotte pour les pédophiles (voir vidéo ci-dessous à parti d’1:20) et que de très nombreux scandales d’abus ont éclaté dans les organisations de scoutisme à travers le monde.
https://www.youtube.com/watch?v=PDCoK8HAcXY
La littérature scout foisonnant de références fascistes, telle que la série “Signe de Piste” de Serge Dallens. Un auteur à succès, ancien magistrat et cadre du Front National. Illustrée par l’adolescentophile Pierre Joubert. Une littérature paganisant cette jeunesse et l’homosexualisant. Que se passe t-il dans la tête d’un jeune garçon, quand on l’arrache à ses parents ? Pour le placer dans des organisations de scoutisme et dans écoles privéees non-mixte ? En l’abreuvant de littérature crypto-fasciste, narrant les exploits de jeunes mâles, représentés torses-nus. Quand on l’encourage à la promiscuité avec les garçons en lui interdisant celle des filles ?
Joubert qui se définissait comme “chrétien de gauche” avait été initié au sein du scoutisme par l’un de ses fondateurs, Paul Coze, un ethnologue ayant étudié de très près le shamanisme amérindien pour s’en inspirer dans la désignation des rituels totémiques scouts.
« Un autre rite barbare était celui de la « totemisation » précédée de ce que nous appelions à Oratoire II « initiation ». Dans sa forme primitive (à laquelle Albert Nicolas mit heureusement fin), l’initiation consistait à faire croire à l’initié qu’on allait lui appliquer dans le dos un fer rouge qu’on lui montrait longuement chauffer dans le feu de camp. Puis on lui bandait les yeux et on lui appliquait dans le dos un objet glacé, pendant que le fer rougi au feu était plongé dans une marmite d’eau froide pour stimuler le grésillement de la chair brûlée !
Ce simulacre sadique avait parfois des résultats catastrophiques et un conseil de chefs décida de le remplacer par un rituel un peu canularesque, mais assez dur pour l’initié : celui de la fausse totemisation précédant la vraie. Avant de conférer à l’initié son vrai totem définitif, on l’affublait au cours d’une cérémonie burlesque, d’un totem infamant et ridicule qu’il ne gardait que cinq minutes avant que la vraie totemisation ait lieu. Je me rappelle encore l’émoi et la consternation d’un ami cher qui crut un court moment qu’il allait à jamais porter le nom de « bousier voluptueux ». C’était quand même plus acceptable que la pseudo marque au fer rouge. » » (source)
Education chrétienne ou pas, il y a des chances pour qu’il développe ainsi des tendances sodomites. L’intérêt pour le nazisme peut aussi l’attirer vers l’occultisme à mesure qu’il découvre que ses héros pratiquaient des rites d’initiations gnostiques, en effet peu catholiques. Le milieu néo-nazi, sa sous-culture et son intellectualisme antichrétien achèveront cette initiation. Ceci expliquant la présence, aux côtés du psychopathe sodomite et néo-nazi Pierre Chanal, de soldats aristocrates. Jeunes hommes issus de bonnes familles catholiques. Tout comme l’ensemble de ce dossier dont vous achevez à présent la lecture. Démonstration de la subversion spirituelle et morale au cœur des rangs de la droite nationaliste. Le camp représentant la résistance occidentale à l’avènement du Nouvel Ordre Mondial judéo-maçonnique.
Pierre-Marie Payet alias Amalek.
Joubert illustrait des trucs abondamment réutilisés par les tradis qui sont cons comme des bouses (et hypocrites comme des rats quand ils ne sont pas cons comme des bouses). Quand j’étais gosse, je détestais les dessins de Joubert et de Georges Chaulet, qui lui aussi était à la mode. Ses dessins de “Fantômette” puaient à cent mètres, je le sentais, je le savais. Trente ans après, par hasard, j’ai appris ce qu’il en était de Chaulet: bingo! – et tous les abrutis de me répondre, avec un ahurissement surjoué: “Ha boooon?? Nooon! Tu es sûr?” Ben voyons. Je vous fiche mon billet qu’on apprendra la même chose à propos de Joubert un de ces jours. C’est garanti sur facture!
Chauvet était pédo aussi ?
ChauLet, l’auteur des Fantômettes. Oui, c’était une saloperie de pédo. Et avant Signes de Piste, il y avait les Editions Spes, même topo. Leurs choix se sont toujours tournés vers des dessinateurs pédophiles. En dehors de cette merde de Joubert, il y avait eu aussi Michel Gourlier. Cf son article Wikipedia, et fouiller les références, comme l’archive Wikiwix de “l’hommage” du site défunt “Quintes-Feuilles” (quintes-feuilles=pentacle).