Patrick Poivre d’Arvor est-il un pédocriminel ?
>Patrick Poivre d’Arvor actuellement accusé d’être un prédateur sexuel et un violeur par un collectif de 90 femmes, dont deux mineures au moment des faits, est l’auteur d’écrits où il confie ses turpitudes incestueuses à l’égard de ses filles.
>Deux sur trois des filles de PPDA décèderont dans des circonstances dramatiques : Tiphaine (mort subite du nourrisson) et Solenn qui, souffrant d’anorexie, se jeta à 19 ans sous une rame de métro.
> »Son vieil ami » Gabriel Matzneff évoquait dans Mes Amours Décomposés les accusations d’une mère expliquant que PPDA avait violé sa fille Aude dans les toilettes de TF1.
>PPDA était également le parrain de Florian, exfiltré d’Irak clandestinement par le journaliste de TF1, lors de l’opération de secours des otages de Saddam Hussein menée par Jean-Marie Le Pen, en 1990. Florian, pour qui PPDA était « comme un père » décèdera à 10 ans dans un accident de voiture.
PPDA, à travers ses romans, témoigne de la passion du viol qu’il prête à ses personnages « fictifs » :
« Doucement, très doucement, je m’introduisis en elle. Elle ne s’était pas réveillée, mais ses mains cherchaient quelque chose. (…) Je déchargeai en elle des vagues d’amour et de brume et me retirai très doucement. Mais, dis-moi, Tristan, c’est un viol ou un cambriolage […] J’étais très excité par le souvenir de cette nuit, de cet amour par effraction, sans qu’elle le sût” ».
PPDA, in Les Enfants de l’Aube, 1982
Quand j’ai eu besoin, pour d’obscures raisons, de me venger de la gent féminine, il m’est arrivé, comme le faisait Byron, de déflorer une ou deux vierges juste pour les marquer à vie, histoire de planter mon drapeau en terrain inviolé, et, comme lui, à peine ce nouveau territoire conquis, je reprenais mon trophée et le déposais ailleurs, plus par dégoût de moi que par jeu.”
PPDA, in La Mort de Don Juan (Albin Michel, 2004)
Selon le pédosataniste Gabriel Matzneff, lui et PPDA auraient violé la petite Aude
Les accusations de Florence Porcel à l’endroit du célèbre journaliste breton Patrick Poivre d’Arvor (edit : PPDA est désormais accusé par un collectif de 90 femmes) qui l’aurait violée en 2004 alors qu’elle était vierge, dans son bureau des locaux de TF1, font écho à d’autres propos rapportés par le célèbre écrivain sataniste et pédomane Gabriel Matzneff :
« Mercredi 21 septembre. Vers 15h30, j’étais en peignoir, j’écrivais mon livre en attendant Marie-Agnès, coup de sonnette. Je crois que c’est elle, j’ouvre, c’était une dame inconnue. Elle se présente : la mère d’Aude ! Apparemment aussi folle que sa fille, elle commence à m’expliquer sur un ton de surexcitation extrême et sur le pallier (car je refuse de la laisser pénétrer chez moi), que Patrick Poivre d’Arvor a violé sa fille dans les chiottes d’Antenne 2. Je rigole et lui réplique que Patrick est un vieil ami qui aime le confort et que je n’imagine choisissant un tel endroit pour se livrer à ses coquineries (…) et que s’il y a eu viol dans les ouah ouah de la téloche, c’est elle qui aura violé le pauvre Patrick, et non l’inverse. »
Gabriel Matzneff, Mes amours décomposés, Folio, page 184
Encore des témoignages relatifs aux activités de prédation sexuelle, auquel l’ancien journaliste vedette se serait livré à l’époque où il sévissait sur TF1 (d’autres victimes ayant depuis pris la parole). On apprend que le pédosataniste Gabriel Matzneff considère PPDA comme son « vieil ami » quand il écrit ces lignes. Les hommes ont continué à se cotoyer au moins jusqu’en 2014, date à laquelle ils ont été photographiés ensemble :
S’il est un domaine qui rapproche les deux accusés, c’est bien la littérature et particulièrement ce genre très parisien consistant à faire l’étalage de ses turpitudes à l’endroit des très jeunes filles. Et là où le pervers à la petite semaine PPDA à de quoi impressionner Matzneff, esthète en la matière, c’est qu’ayant eu deux filles, Patrick Poivre D’Arvor a eu le loisir de s’épancher sur les pulsions incesteusues qui semblaient le posséder. Là où Matzneff ne s’en est pris qu’aux enfants des autres dans sa littérature.
Les Femmes De Sa Vie
Ainsi le journaliste nous faisait part dans Les Femmes De Ma Vie (Grasset, 1988) de ses émois face au corps mutant de sa fille Solenn entrant alors dans la puberté :
« L’autre jour dans ton bain, j’ai vu tes seins que tu caches toujours, les bras en croix, comme s’ils te pesaient, et qu’un jour tu exposeras avec orgueil pour attiser le désir des mâles. Des seins blancs, des seins de lait et qui donneront un jour le lait à tes bébés. Je te souhaite des enfants par douzaines… »
La fille du journaliste s’est suicidée en se jetant sous la rame d’un métro en 1995, elle souffrait d’anoréxie mentale et avait déjà tenté de mettre fin à ses jours à plusieurs reprises.
(Source)

Toujours dans Les Femmes De Ma Vie, s’exprimant cette fois à propos de son autre fille Morgane, âgée de 6 ans aux moments où il écrit ces lignes, il lui déclare :
« Je sais quelle sera ta sensualité. Je t’ai vue dès l’âge de trois ans prendre avec acharnement un plaisir solitaire, mais je te devine déjà ardemment exigeante, sélective ».
A propos de l’héroïne de dramaturgie, la frèle Antigone, PPDA s’emporte :
« petite fille butée, si peu douée pour le bonheur (…) ses petites hanches frêles, ses seins de petit mec (…) je l’aurais prise sur la moquette mouillée.(…) J’aurais sucé sa poitrine de petit garçon jusqu’à un improbable goût de lait. »
(Source)
Quand PPDA enlevait un bébé en Irak, après lui avoir fait boire du champagne. A l’âge de 9 ans, Florian décèdera dans un accident de voiture :

A 18 mois, Florian fut exfiltré d’Irak lors de la crise irakienne des otages en 1990 lors de laquelle Jean-Marie Le Pen (dont la compagne Jany était présidente de l’ONG Sos Enfants d’Irak) était intervenu auprès de Saddam Hussein et avait ramené 51 otages avec sa délégation qu’accompagnait PPDA en sa qualité de journaliste.
Face à la pression internationale, le maître de l’Irak avait fini par annoncer la libération des otages. Le Pen, qui entretenait depuis longtemps de bonnes relations avec Bagdad, comprit qu’il avait une carte médiatique à jouer. Quand le président autrichien Kurt Waldheim ramena dans son avion 96 otages autrichiens, il décida de faire le même coup. Du reste, il ne fut pas le seul à avoir cette idée. Au total, une dizaine de personnalités politiques de plusieurs nationalités allaient, elles aussi, faire une visite de courtoisie à Saddam Hussein avec une poignée d’otages chacune, en cadeau. Rappelez-vous encore le geste de Patrick Poivre d’Arvor qui ramena un bébé de 18 mois dans son sac de voyage (pour ceux qui s’interrogent sur le sort de cet enfant : sachez qu’il est décédé dans un accident de voiture, à l’âge de 9 ans).
Au salon, il prend une couverture, car dans les avions il fait froid. André Barbut redescend dans la cuisine et débouche une bouteille de champagne. II faut à tout prix que son fils dorme et c’est le seul truc auquel il pense. Florian boit le champagne, un demi-biberon, sans rien dire, sans grimace. Légèrement assommé par l’alcool, il ne bronche toujours pas, pas un cri, pas un pleur lorsque son père l’installe au fond d’un sac de toile, recroquevillé, caché sous les deux couches et la couverture. André Barbut ne reculera plus.
André Barbut arrive à l’hôtel au moment où l’équipe de T.f.1 règle sa note. Patrick Poivre d’Arvor a deviné que le père acceptait. Lorsque le journaliste a appris, par le chargé d’affaires de l’ambassade de France, l’existence de cet enfant de dix-huit mois, il est aussitôt entré en contact avec le père. Et lui a proposé, sans hésiter, sans se poser de questions, de ramener son fils en France. André Barbut lui confie discrètement le sac de toile.
L’équipe de T.f.1 se regroupe autour du présentateur et parle fort pour couvrir les cris de l’enfant. Un soldat a remarqué le manège et a peut-être vu le sac bouger. II écarquille les yeux, puis détourne son regard. Alors, P.P.D.A. aperçoit sur la piste l’avion des journalistes, affrété par Bouygues. II avance seul dans le hall, passe en souriant une rangée de soldats, l’air le plus naturel possible. Franchit une porte vitrée et se retrouve sur la piste. Continue vers l’avion, sans se retourner. Au bas de la passerelle, le pilote attend. P.P.D.A. lui donne le sac et revient dans le hall de l’aéroport, pour le contrôle des gros bagages… Après, ce ne sont plus que détails. Et l’avion décolle : le plus jeune gosse français est arraché à l’Irak. Destination : Amman, Jordanie, escale technique.
PPDA, bouleversé, avait écrit une lettre d’adieu à son «petit ange», publiée dans Paris Match le 21 janvier 1999 :
«Florian était un petit ange de passage. Aujourd’hui, avec ses grandes ailes, comme tous les enfants disparus, il protège ses parents et ses proches. II a attendu bien sagement ses 10 ans pour disparaître trois jours plus tard. Quand nous nous sommes vus pour la dernière fois, il me regardait pendant le déjeuner de ses beaux yeux de Russe déraciné ébloui par Paris, ses lumières, ses atours de fête. C’était le 24 décembre. Chez les orthodoxes, on fête la naissance du Christ deux semaines plus tard.
Et c’est la veille de leur Noël que nous nous sommes retrouvés dans l’église Alexandre-Nevski pour lui dire au revoir. II y avait là, avec chacun un cierge de cire d’abeille à la main, Gilbert Godié, le pilote de l’avion qui l’a fait sortir de Bagdad, Arnaud Dupuis, le cameraman qui représentait l’équipe si fière d’avoir rendu l’enfant à sa maman, et Fanny Schwartzfeld, fidèle dépositaire de tous les secrets de cette épopée irakienne. Et tous ses amis, bien sûr, réunis en cercle chaleureux autour de Karoline, d’André et du petit Aurélien, si fort dans sa fierté de frère amputé d’un coeur. Huit ans plus tôt, nous étions déjà là, pour le baptême de Florian, en cette église orthodoxe de la rue Daru. Entretemps, un destin s’est noué, une corde s’est tendue, puis cassée. Florian a traversé la vie en funambule. II a aimé, il a été très aimé. Désormais, là où il est, il va tous nous aider».
Bonjour,
Premièrement je vous tiens à vous remercier et à saluer votre travail.
Vous trouverez probablement que mon commentaire n’a aucune pertinence au premier abord mais sait-on jamais, il ne sera peut-être pas si cancanier que ça.
J’ai toujours trouvé la couleur de cheveux de cette pauvre S. Poivre très étrange, de cette couleur terne que l’on obtient avec des colorants chimiques. Rien de bien choquant à ce qu’une ado se fasse passer pour plus blonde qu’elle n’est, or sur la photo en illustration, c’est encore plus flagrant alors qu’elle doit avoir dix ans. Je ne connais aucun enfant qui fasse si peu naturellement blond, qui ait des racines de cheveux aussi visibles et avec les sourcils rasés. J’ai toujours vu que la carnation de peau de cette jeune personne n’allait pas avec la couleur de ses cheveux et de ses yeux dont les sous -teintes sont foncées.
Je ne vais pas tourner autour du pot : je pense que les parents se sont mis à lui décolorer les cheveux et à lui raser les sourcils très jeune (quand elle a cessé d’être très blonde, probablement vers ses trois, quatre ans, la couleur naturelle devant être châtain claire comme son père). Etant donné les fantasmes pérennes de l’homme pour les Iseult et autres Guenièvre, ce ne serait pas si insensé qu’il ait choisi de faire correspondre sa fille à ses fantasmes avant de l’exposer comme une maîtresse en bas noirs dans les magazines people et de nous livrer ses fantasmes dans ses romans édités par des amis complaisants. Ça expliquerait également, en partie, l’image extrêmement troublée que la pauvre enfant pouvait avoir d’elle-même.
De sa bretonnité à ses hauts faits de journaliste, en passant par son nom d’usage, tout est faux chez cet homme et je vois bien sur les photos qu’il cherchait aussi à dénaturer ses propres enfants.
Bien à vous.