Les liens de Jean-Marie Daillet, père de Rémy Daillet, avec le satanisme [VIDEO]
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Suite de notre article “Rémy Daillet, une barbouze d’extrême-droite liée aux sectes et aux services secrets“, confirmant les soupçons de satanisme pesant sur la famille Daillet.
Le père de Rémy, Jean-Marie Daillet, est le traducteur du livre Le Miroir de La Magie de Kurt Selingmann. Un ouvrage de référence dans les milieux occultistes, enseignant à ses lecteurs tout ce qu’il y a à savoir sur la magie : sortilèges, potions, invocation de démons, sacrifices sanglants, etc…
Kurt Selingmann, un grand nom de la littérature pratique sataniste, traduit en Français par Jean-Marie Daillet, postfacé par le luciférien martiniste Robert Amadou
«Satan est un individualiste. Il bouleverse les commandements du Ciel qui imposent une conduite morale définie. Il nous inspire des rêves et des espoirs. Il nous donne de l’amertume et du mécontentement, mais à la fin il nous conduit vers le Mieux, et sert donc principalement le Bien. Il est cette «force qui lutte pour le mal mais cause le bien».
Kurt Seligmann
Kurt Selingmann était un artiste du courant surréaliste, proche d’André Breton (ayant déclaré dans une conférence sur Satan à Paris à la salle Adyar du Centre théosophique en 1927 : « le culte du Démon est moins insane que celui de Dieu. […] Satan puisse-t-il être à Paris et M. Jean Genbach nous rendre cette bonne soif et cette grande faim-là ! »-source) et un fervent sataniste.
Robert Amadou, grand luciférien, collaborateur de Jean-Marie Daillet autour d’un ouvrage sur la sorcellerie de K. Seligmann
La version française de The Miror of Magic, traduite par Jean-Marie Daillet a également été postfacée par Robert Amadou, qui n’était pas n’importe qui dans le milieu du satanisme initiatique français :
Robert Amadou fut — par ordre chronologique — membre de l’Église catholique syriaque (après 1937), Supérieur Inconnu-Initiateur et membre du Suprême Conseil de l’Ordre martiniste, avec le nom d’« Ignifer » (septembre 1942), franc-maçon du Rite Memphis-Misraïm (juin 1943, par Robert Ambelain), initié dans l’Ordre Kabbalistique de la Rose-Croix, (1944, par Robert Ambelain), Élu Cohen chez les martinézistes, évêque selon la tradition de l’Église Gnostique Universelle de Jules Doinel (1944, par Henri Meslin), évêque de l’Église Catholique Gnostique de Jean Bricaud (28 janvier 1945, par Victor Blanchard), prêtre de l’Église syriaque orthodoxe (janvier 1945), membre d’une confrérie soufie, maître écossais à la Grande Loge nationale française Opéra (mars 1966), Grand Profès en 19692,3, rectifié et affilié en 1980 à la loge In Labore Virtus à Zurich (Grande Loge suisse Alpina), reçu maître de Saint-André au Rite écossais rectifié en 1980, puis Chevalier bienfaisant de la Cité sainte avec le nom de « Eques ab Aegypto » en 1982 (Grand Prieuré Indépendant d’Helvétie).
Robert Amadou a dirigé la thèse du sataniste d’extrême-droite Christian Bouchet, consacrée à Aleister Crowley :
Le Groupe de Thèbes
Robert Amadou et Christian Bouchet faisaient partie du Groupe de Thèbes, une fraternelle luciférienne réunissant de nombreux occultistes dans les locaux du Grand Orient de France. Des occultistes appartenant notamment à l’extrême-droite pour certains.
Ainsi parmi les membres du Groupe de Thèbes se réunissant dans le quartier général du GODF rue Cadet, outre Robert Amadou, on comptait :
Fred Zeller, grand maître du GODF, Christian Bouchet, grand maître français autoproclamé de l’Ordo Templi Orientis, fondateur ou cofondateur de Nouvelle Résistance, puis d’Unité Radicale, ancêtre du Bloc Identitaire, élu FN puis RN, Jean-Pascal Ruggiu, Imperator de la Golden Dawn Française et militant FN, Jean-Pierre Giudicelli de Cressac Bachelerie, fondateur de l’Ordre de la Myriam, militant de Troisième Voie, Massimo Introvigne, directeur du CESNUR (Centre d’étude sur les nouvelles religions), proche (ou membre) de l’Opus Dei et des pédosatanistes des Légionnaires du Christ, mis à l’index par les catholiques de Sodalitum pour avoir participé à des messes noires, Claude Bruley, responsable du Cercle Swedenborg, du nom d’un kabbaliste sabbataïste du XVIIIème siècle, le révérend Yukaï, moine Shingon qui dirige le seul temple Shingon d’Europe, temple dédié à Fudo-Myo, Jean-Marie d’Ansembourg, Triantaphyllos Kotzamanis, Gérard Kloppel, Paolo Fogagnolo …
Que du beau monde !
Nous soupçonnions déjà une implication dans les réseaux lucifériens du père de la grosse baltringue de la taupe des services de renseignements Rémy Daillet, Jean-Marie Daillet.
Par ses liens avec l’Opus Dei ou la Secte Moon. Du fait de son appartenance historique aux partis centristes de la République Française et du rôle trouble qu’il avait joué durant le débat sur la Loi Veil, légalisant l’avortement l’infanticide in utero en France.
Rémy et son père sont en effet issus de la mouvance politique qui a fait le plus de mal à la France, la plus diabolique, donc. C’est en effet la formation politique de Valéry Giscard-d’Estaing qui a été l’architecte du génocide de notre peuple, entre l’avortement et le grand remplacement permis par la Loi Veil et la politique du regroupement famillial.
La droite centriste, premier parti satanique de France
Valéry Giscard d’Estaing : Bohemian Club et Groupe Bilderberg
Valéry Giscard d’Estaing appartient à plusieurs sociétés secrètes. Il est ainsi l’un des rares membres français connus du Bohemian Club, presque exclusivement composé d’Américains.
L’ancien président de la République appartient aussi au groupe Bilderberg. On l’a vu participer à la réunion de 2003, organisée au Château de Versailles.
Bohemian Club : Le Bohemian Club a été créé en 1872 aux Etats-Unis. Cette association qui cultive l’ésotérisme et l’occulte ne recrute que des hommes, hauts dirigeants de l’économie, de la finance ou de la politique. Ils se retrouvent en Californie chaque année en juillet, et discutent des affaires du monde et des stratégies à adopter. Ils participent aussi à des rituels ésotoriques devant un bûcher situé au pied d’une statue géante d’hibou, haute de 12 mètres.
Groupe Bilderberg : Ce groupe a été créé en 1952. Il réunit chaque année environ 130 membres, généralement américains ou européens, diplomates, hommes d’affaires, politiques et membres des médias. Lors de ces réunions sont débattues les stratégies des grands de ce monde.
Daillet père et fils ont cotoyé d’abominables crapules telles que le Bohemian Grover Valéry Giscard-d’Estaing (que sa mémoire soit maudite), ou Simone Veil et Dominique Baudis. De très funestes mémoires, pour les millions d’enfants français génocidés dans le ventre de leurs mères en ce qui concerne la première, et pour les accusations de liens profonds avec le réseau néo-cathare et sataniste, dont le tueur en série Patrice Allègre était le pourvoyeur, pour le second.
Un réseau qui violait, torturait et assassinait enfants, sdf et détraqués sexuels. C’est ce dont nous parlait les enfants de Pierre Roche, magistrat lié à ce réseau et s’étant fait suicider par ce dernier.
Au passage, notez à la fin l’apparition d’un drôle de personnage, professionnel du damage control, sur lequel nous aurons l’occasion de revenir : Christian Cotten.
Ce réseau dont nous parlons était basé sur Toulouse, c’est dans cette même ville que Rémy Daillet prendra la tête de la mouvance centriste rebaptisée Modem, durant un temps, succédant à d’illustres prédécesseurs tels que Dominique Baudis et Philippe Douste-Blazy.
Il aura ainsi pu côtoyer le douteux Philippe Douste-Blazy, ancien maire de Toulouse (à l’instar de Baudis), ami de Bill Clinton et probablement le ministre s’étant fait poisser dans une partouze au Maroc, dénoncé par Luc Ferry. Ou bien Robert Rochefort qui s’est fait arrêter à Vélizy après s’être masturbé devant des enfants dans les rayons de Castorama …
Les dernières gesticulations de Rémy Daillet
Voilà pour ajouter au profil trouble de Jean-Marie Daillet, décrit par son fils comme une oie blanche. Lors d’un live avec une autre taupe tristement quoique peu célèbre, Mike Borowski, autre agent provocateur appelant au coup d’état (voir le doxx sur Borowski de Jean Robin -qui ne dit pas que des conneries).
Il semble que la baudruche Daillet continue de se dégonfler, Alain Soral a en effet récemment repris nos informations dans un Soral Répond, signe que l’opération de fichage a tourné court.
Quoique, le Daillet, malin comme un singe, se soit saisit de l’occasion pour contre-clasher Soral et se refaire une santé à peu de frais.
Il aura de toute façon eu le temps de garnir les fiches des Renseignements Généraux, des coordonnées de nombreux crédules s’étant laissé séduire. Parmi lesquels un nombre non négligeable de braves types susceptibles de se laisser embarquer dans des opérations tordues des services secrets français. Affaire à suivre.
Annexe tirée de notre article Rémy Daillet, une barbouze d’extrême droite liée aux sectes et aux services secrets :
Le Père de Rémi Daillet, Jean-Marie Daillet, un politicien centriste véreux, lié à la mafia juive (Affaire Atlani) et aux sectes d’extrême-droite (Opus Dei, Moon)
Jean-Marie Daillet, ancien député (UDF) de la Manche, vice-président de l’Internationale démocrate-chrétienne et porte-parole de l’Opus Dei en France, a été mis en examen dans le cadre de l’affaire Atlani à Cherbourg et du scandale d’Air Outre-mer, une compagnie d’aviation basée à la Réunion. Il a été nommé ambassadeur de France à Sofia.
[Source : Réseau Voltaire]
Pour cerner Rémi Daillet, il faut d’abord s’intéresser à son père, Jean-Marie Daillet. celui-ci est cité par de nombreuses sources (L’Opus Dei : Dieu ou César ? de Thierry Oberlé et Réseau Voltaire). comme ayant été le porte-parole de l’Opus Dei, une secte religieuse prétendument catholique faisant partie intégrante de la Contre-Eglise Vatican 2.
L’Opus Dei est liée aussi à Valéry Giscard-d’Estaing par son père Edmond. Ce dernier est considéré comme ayant été le cheval de Troie des intérêts économiques en France de l’OD. Via la Banque des Intérêts Français qu’il dirigeait à l’époque où celle-ci intégrait dans son capital les actifs de l’Opus Dei détenus par la Banco Popular de l’Espagne franquiste.
Jean-Marie Daillet s’est également fait remarquer par ses prises de positions en faveur de la Secte Moon, devanture de la CIA ayant financé le Front National, dans les années 80, après que Jean-Marie Le Pen se soit rapproché de Ronald Reagan.
Jean-Marie Daillet a également été compromis dans le scandale immobilier de l’Affaire Atlani puisqu’il a reçu à cette époque des pots de vins d’Alain Atlani, mafieux juif :
C’est en sortant du palais de justice dimanche 11 novembre que Me Jean-Marc Varaut, du barreau de Paris, a fait allusion aux chèques que son client, M. Alain Atlani, aurait adressés en 1987 et 1988 à MM. Jean-Marie Daillet, député (ex-UDC, aujourd’hui non-inscrit France unie) de Saint-Lô, et Olivier Stirn, ancien ministre du tourisme et ancien député socialiste de la Manche. ” Des petites sommes, de l’ordre de 40 000 à 50 000 francs, d’ailleurs couvertes par l’amnistie “, a déclaré l’avocat, qui estime que le parquet veut faire du passif de 180 millions de francs du cabinet tenu par M. Alain Atlani et son frère Gérard _ inculpé de recel, d’abus de biens sociaux ” une grosse affaire d’argent public”
