Hommage rivarolien à Robert Badinter, par François-Xavier Rochette
Au jour de sa panthéonisation, rendons hommage à l’élu parmi les Elus à qui les criminels de France doivent l’abolition de la peine de mort, notamment les violeurs et tueurs d’enfants, lui devant aussi d’ailleurs l’abolition du crime de sodomie sur mineur. C’est un grand républicain, humaniste devant l’Eternel qui s’en va rejoindre l’avorteuse Simone Veil dans son mausolée.

Robert Badinter ou l’humanisme frelaté (paru dans RIVAROL numéro 3601 du 14 février 2024)
Depuis le vendredi 9 février 2024 et l’annonce du décès de l’ancien Garde des Sceaux sous la première présidence de François Mitterrand, Robert Badinter, la République communie autour de son souvenir, matin, midi et soir, et même durant la nuit. Et la France réelle, le pays réel, est l’otage de ce culte que d’aucuns pensaient être encore l’apanage du régime nord-coréen.

Quand RIVAROL sortira dans sa version papier, mercredi 14 février 2024, le pays sera encore sous cette emprise propagandiste et rituelle avec l’hommage national prononcé par Emmanuel Macron Place Vendôme, devant le ministère de la Justice. Annoncera-t-il la panthéonisation de la grande vedette du système ? Si cette consécration républicaine n’était pas abordée par le chef de l’Etat, ce serait assurément la conséquence d’un choix familial, d’un choix des proches, en premier celui de son épouse Elisabeth désireuse de préserver éventuellement une espèce d’intimité avec son défunt mari. Il est impossible qu’il puisse en être autrement tant, répétons-le, Robert Badinter est encensé et vénéré, telle que le fut la boule dense d’AntiFrance Simone Veil lors de son trépas… Et lors de son injection au Panthéon.
Dès qu’il fut averti de la disparition de l’avocat sourcilleux, le Président de la République (ou l’un de ses conseillers) se précipita sur X (Twitter) pour poster un message de grande dévotion à son égard :

Mais c’est tout le personnel politique qui, depuis cinq jours, récite des prières devant cette icône d’une clique, d’une caste, d’un monde exécrables. Une véritable folie, ou plutôt l’indice que le totalitarisme républicain est une réalité. Existe-t-il une seule personne publique qui ait formulé quelque critique à son adresse dans une vidéo ou dans un article ? Non, aucune. Personne. On a vraiment l’impression qu’il faudrait adorer cette figure du Système pour être digne de faire partie de l’espèce humaine. C’est un constat : la liberté d’expression tout comme l’esprit critique ont dégringolé en France. Alors que les journaux ont publié sur Internet (et même sur papier) parfois des dizaines de pages (notamment le quotidien Le Monde qui s’est dépassé, et a du battre son record quotidien de lignes pour un sujet) sur la vie lumineuse, formidable, courageuse, héroïque, de leur chevalier blanc, pas une voix dissonante n’aura perturbé cette cérémonie de fous.
Ceux que l’on désigne aujourd’hui encore comme des patriotes et des tenants de « l’idéologie sécuritaire » sur la scène politique, Madame Le Pen, Jordan Bardella, n’ont su que saluer l’homme aux idéaux, l’avocat éloquent, au pis la personnalité marquante du monde intellectuel et juridique. Le temps où des centaines de militants du Front national hurlaient des « Badinter assassin » à la fenêtre de son ministère est bel et bien révolu. La politesse républicaine occupe désormais le terrain dans son intégralité.
La République peut bien continuer à fabriquer ses petits dieux avec son Panthéon et ses discours emplis de mensonges plus gros les uns que les autres, les élites peuvent poursuivre leur bourrage de crâne, il reste que Robert Badinter n’était pas l’homme de lumière qu’on nous dépeint, mais un être appartenant à la caste dirigeante de la grande bourgeoisie, un être de malheur dont les talents oratoires et l’aplomb ne servirent que le plus grand mal.
Robert Badinter, le pied à l’étrier
Nous savons que Robert Badinter n’était pas un imbécile et qu’il suivit des études de droit et d’art en France puis aux Etats-Unis (grâce à une bourse d’Etat) après l’Occupation pendant laquelle son père Simon fut déporté dans un camp de concentration où il mourut. Lui, sa mère et sa fratrie en échappèrent en se réfugiant en Savoie. Résilient, il entreprit donc de sérieuses études qui lui permirent de devenir avocat au tout début des années 50, à 22 ans.
Parce qu’il était brillant, parce qu’il avait de l’entregent, parce qu’il partageait des points communs avec son futur mentor, Robert intégra le cabinet d’avocat d’une grande figure du barreau, d’autant plus forte qu’elle survit à l’éclipse fasciste européenne, Henry Torrès.

Henry Torrès, grand bourgeois juif, spécialisé dans la défense des assassins et autres tueurs de nationalistes ou de fascistes, dignitaire de la gauche française, mort en 1965, aura pendant une quinzaine d’années formé notre Badinter, parfaitement préparé aux codes et à la culture socialiste, culturellement libertaire, des années 70 et 80.
Son père, comme son grand-père maternel, ancien directeur général de la sûreté au ministère de l’intérieur, étaient des hauts fonctionnaires, engagés dans le camp républicain. C’est cela l’Etat profond, un pouvoir radicalement anti-national. C’est cela l’Etat profond : un Henry Torrès, un avocat de trente-et-un ans, qui réussit à faire acquitter Germaine Berton, qui tua de sang froid Marius Plateau, chef des Camelots du roi d’Action française, en 1923. Torrès ou la République, c’est du pareil au même. Badinter s’est mis dans la peau de son formateur, et avec son identité, ses intérêts, son idéologie, a pu représenter la même équation.
Badinter, c’est la République. Ce qui n’est pas faux. Badinter, Simone Veil, Léon Blum et compagnie, c’est effectivement la République. Les Républicains, eux-mêmes, ne le nieront pas.
Badinter est un séducteur qui fréquente le milieu du théâtre et du cinéma, comme Kiejmann avec lequel il partageait nombre de points communs. C’est là qu’il rencontre sa première épouse, l’actrice Anne Vernon (le pseudonyme d’Edith Vignaud) aujourd’hui âgée de 100 ans. Il divorce en 1965, peut-être parce qu’il a découvert la poule aux œufs d’or, une jeune femme d’une vingtaine d’années, fille d’un magnat de la publicité, Elisabeth Bleustein-Blanchet. La fille de Marcel Bleustein-Blanchet, fondateur et patron de Publicis, entreprise opulente pour laquelle travaillait Badinter en tant qu’avocat. Mais Badinter devint rapidement un ami de Bleustein et un habitué des déjeuners chez lui. Elisabeth succomba. Robert l’épousa en 1966. Les portes de la gloire lui furent ouvertes.

Robert Badinter, les portes de la gloire
Il connaissait déjà les arcanes de la politique, il possédait toute la culture et les codes de ce qu’on appelle humanisme par métaphore. Il avait déjà travaillé au service des grandes entreprises. Son mariage avec la fortune allait lui procurer de nouveaux réseaux puissants qu’il contrôlera dans une certaine mesure. Le père d’Elisabeth, Marcel Bleustein-Blanchet (Blanchet est son pseudonyme de résistant), ambitieux patron de Publicis, entreprise spécialisée en particulier dans la publicité et le conseil en communication, allait du reste, lui aussi, profiter de ce gendre idéal pour devenir l’as des gestions de crise, fort lucrative activité qu’il découvrit aux Etats-Unis, son modèle.

Ces petits bébés encombrants
Qui aujourd’hui se rappelle de l’épouvantable drame qui toucha des centaines de famille françaises en 1972 ? En 1972, la société Givaudan est mise en cause dans l’affaire du talc Morhange (petit sous-traitant de l’immense firme suisse Givaudan), qui tua 36 bébés et en intoxiqua plus d’une centaine. Une crise énorme qu’il a fallu gérer. Robert Badinter fut l’homme de la situation.
Les bébés furent empoisonnés par un talc toxique et agonisèrent parfois pendant des jours. Ils étaient, infectés par ce talc, condamnés à mort. Le gendre de Bleustein fut l’avocat du groupe meurtrier. Badinter fit traîner l’instruction jusqu’à l’épuisement des parents dévastés. Puis, quand l’avocat aboyeur aux babines pendantes dans son exercice devint ministre de la Justice en 1981, il demanda à François Mitterrand d’amnistier les responsables de cette horreur. Il le fit.

On sait que Mitterrand était lié de très près à L’Oréal via Monsavon. Mais Robert Badinter l’était aussi depuis son mariage avec Elisabeth Bleustein. C’est un scoop. Pourquoi ? Parce que Publicis avait pour client Monsavon devenu plus tard L’Oréal (Publicis gère toujours sa publicité). La plus grande entreprise au monde de produits dit « parfumés ». Or, qui est le plus important fournisseur « d’arôme », de parfum de L’Oréal ? On ne le sut qu’en 2021 ! Après qu’une immense campagne d’associations de consommateurs inquiets quant à la composition des produits hygiéniques (potentiellement dangereux pour la santé) fit son effet. Le document est encore sur le site officiel de L’Oréal où l’on apprend que son plus grand fournisseur en la matière est le groupe suisse Givaudan !
N’oublions pas qu’Elisabeth Badinter est la première actionnaire du groupe Publicis (troisième groupe mondial dans le domaine de la publicité, et pourvu de 80 000 salariés). Pour rappel, la catastrophe de Seveso (nom d’une commune), dans la banlieue de Milan, qui devint la référence que l’on connaît en matière de catastrophe industrielle, se produisit dans une usine du groupe Givaudan (qui fabriquait alors le même produit qui tua tant de nourrissons français quatre ans auparavant).
Avant de devenir l’incroyable humaniste qui sauva de la mort (de la Justice) les bourreaux d’enfants, Badinter était l’homme qui sauva la réputation d’une grosse entreprise irresponsable. Est-ce cela aussi l’humanisme ?
Robert Badinter, le représentant de l’abolition
Robert Badinter doit en effet toute sa gloire à sa qualité de Garde des Sceaux (1981-1986) et précisément à son action et à ses discours pour l’abolition de la peine de mort en France. Il a pu le faire parce que l’époque post 68 était imprégnée d’une idéologie gauchiste qui avait abruti les masses. La pensée de l’homosexualiste Michel Foucault, dont se revendiquait Badinter, était l’une des créatrices de cette atmosphère dangereuse.
Quand on promeut dans le même temps l’anti-psychiatrie et le non enfermement des délinquants, quels principes restent-ils à la société pour se protéger des violeurs, des tueurs et des prédateurs économiques ? Au demeurant, la France restait le pays européen dans lequel la peine de mort existait encore en 1981. Il était prévu que cette exception disparusse au nom de l’Europe politique. Badinter fut l’homme pour représenter le changement. Rien de plus.
Comme la boule dense d’AntiFrance le fut pour l’avortement, un avortement que nos maîtres mondiaux avait décidé pour nous depuis longtemps, bien avant l’apparition de la verrue au chignon. Si Badinter n’avait pas existé, un autre minable aurait pris sa place pour accompagner l’extinction de la peine de mort en France. Si la Veil n’avait pas existé, une autre pleureuse aurait été trouvée pour symboliser l’avènement de l’avortement industriel. C’est une évidence.

C’est pourquoi nous ne nous attarderons pas sur le sujet de « l’Abolition » qui noircit actuellement des milliers de pages des magazines mainstream. Cette mort de la mort pour les pires (Patrick Henry y échappa cependant avant la grande réforme de 1982 alors qu’il tua de sang froid un enfant de 7 ans avant d’orchestrer un plan pour obtenir une rançon, toujours dans un calme satanique. A se demander si ce monstre ne fascinait pas nos élites sadiennes du moment…). En revanche, le poids de ce monstre parvenu eut son importance sur d’autres sujets dans notre République maudite. Sur deux sujets en particulier. Sur deux sujets en particulier pesa-t-il véritablement.
Le premier, dans l’ordre chronologique, est celui de l’homosexualisme, et de la pédérastie. Dès qu’il devint ministre de la Justice, après avoir fait amnistier les huiles de Givaudan, il ordonna au Premier ministre Pierre Mauroy (socialiste pur jus pour qui les questions sociétales n’étaient pas la priorité) de modifier une loi sur l’homosexualité qui avait été promulguée sous l’Etat français (Vichy).
On fit croire dans le gros media que l’homosexualité était sévèrement punie dans la loi, et qu’il fallait donc, pour le symbole (la loi n’étant plus appliquée depuis des décennies) la supprimer. Cependant, ce n’est pas l’homosexualité entre adultes majeurs que Vichy pourchassait, mais la prédation sur les garçons mineurs.
L’Etat français avait légiféré pour que les pervers ne puissent sodomiser légalement des garçons de 15 ans ! Et c’est cette loi qui scandalisait Robert Badinter ! Pourquoi, disait-il, une jeune fille de 15 ans pouvait-elle être prise ainsi et non un garçon ? « Pouvez-vous supporter l’idée des agissements d’un vieillard lubrique qui sodomise un gamin de 15 ans ?, demande Foyer, chez lequel demeure la vieille idée que tout homosexuel est un détrousseur d’enfants , écrivait Badinter. L’image d’un vieillard lubrique sodomisant un enfant de 15 ans, même avec son consentement, est-elle plus supportable que celle d’un vieillard lubrique, pour reprendre votre expression, sodomisant une jeune fille de 15 ans ? », répond M. Badinter.
La loi sur la protection des garçons mineurs fut supprimée alors que l’épidémie de SIDA était apparue outre-Atlantique, et allait, bientôt, exterminer des milliers de jeunes gens en France. Les parents de gamins à peine pubères ne pouvant plus les protéger.
L’humanisme de monsieur Badinter ne s’arrêtait pas là. Il était vivace pour défendre les libertés qui tuaient mais il faisait marche arrière devant le révisionnisme qui connut ses heures de gloire à la fin des années 70 et au débutdes années 80 sous l’égide du professeur Faurisson. Soudain la liberté devenait dangereuse. Le Professeur Faurisson était un monstre, une créature de haine, un antisémite né ainsi.
Badinter détestait, abhorrait le professeur Faurisson. Son dernier procès, avant de devenir ministre, en 1980, fut diligenté contre l’éminent révisionniste. En 2007, après avoir qualifié le professeur de « faussaire de l’histoire » sur ARTE, ce dernier traîna le milliardaire devant les tribunaux. Faurisson fut débouté. Le verdict était couru d’avance.
Badinter avait une dent contre Faurisson. Il lui en voulait non seulement pour ce qu’il produisit, mais aussi parce que ses travaux avaient séduit son beau frère, l’écrivain Michel Rachline, le père de son neveu Michael, l’aîné des petits enfants Bleustein. Michel Rachline correspondait avec Robert Faurisson avec une étonnante courtoisie, et était favorable à la libre recherche historique. Une horreur pour Badinter. Il se devait de casser Faurisson.
François-Xavier Rochette.
Badinter ou le goût de la transgression (paru dans Rivarol n°3602 du 21/2/2024)
Le courage, pour un avocat, c’est l’essentiel, ce sans quoi le reste ne compte pas : talent, culture, connaissance du droit, tout est utile à l’avocat. Mais sans le courage, au moment décisif, il n’y a plus que des mots, des phrases, qui se suivent, qui brillent et qui meurent. Défendre, ce n’est pas tirer un feu d’artifice : la belle bleue, la belle rouge, et le bouquet qui monte, qui explose et retombe en mille fleurs. Puis le silence et la nuit reviennent et il ne reste rien.
Robert Badinter.
L’actuelle glorification de Robert Badinter, désormais promis à la panthéonisation (comme nous le pressentions dans le dernier numéro de RIVAROL), ressemble au parfumage d’un cadavre que l’on ne voudrait enterrer et donc mis sous vitrine pour des raisons de basse propagande.
L’ancien Garde des Sceaux cochait toutes les cases pour obtenir cette consécration post-mortelle de la part de la République cosmopolite. Enfant de déporté, « humaniste », progressiste, bourgeois social-démocrate, avocat médiatique, ministre, un brin journaliste, le mari d’Elisabeth Bleustein-Blanchet avait décidément toutes les qualités pour devenir une icône de la Gueuse.
Néanmoins, plus qu’une icône, Robert Badinter est devenu le symbole de deux grandes causes maçonniques : d’abord, bien sûr, celle de l’abolition de la peine de mort (et le combat politique pour son abolition universelle) qui lui vaut assurément la panthéonisation. Et celle de la légalisation de l’homosexualité entre un adulte et un mineur de 15 ans.
Si son travail juridique, médiatique et politique en faveur de l’abolition de la peine de mort sera, certainement, toujours plus enseigné dans les écoles, collèges et lycées français, il est fort possible que son rôle déterminant dans la légalisation de l’homosexualité des adultes avec des mineurs de 15 ans soit loué lourdement, prochainement, dans les écoles de la République.
Il existe cependant un autre sujet sur lequel ni le gros media du système ni l’Education nationale ne s’étendent. Le refus de Robert Badinter de l’aggravation des peines pour les violeurs d’enfants. Mais aussi son désaccord total quant à un éventuel projet d’imprescriptibilité pour l’inceste.
Ainsi, à la suite de l’énorme scandale engendré par les révélations commises par Camille Kouchner (dans son ouvrage La Grande Familia) sur la longue période durant laquelle le constitutionnaliste Olivier Duhamel violait son frère jumeau Antoine pendant sa treizième et sa quatorzième année, un débat sur l’imprescriptibilité de l’inceste apparut.
Interrogé à ce propos sur RTL, Robert Badinter (qui eut pour conseiller spécial Olivier Duhamel lorsqu’il était président du Conseil Constitutionnel. Un conseiller étant toujours conseiller par un autre conseiller en République) se révolta théâtralement pour fustiger ce projet, du moins cette idée en s’appuyant sur l’argument qui tue !
Lisons-le à défaut de ne pouvoir l’écouter dans son rôle de grand sage :
« L’imprescriptibilité elle est inscrite dans notre droit que pour les crimes contre l’humanité. Vous ne pouvez pas comparer ça (sic) à Auschwitz, vous offensez la mémoire des morts par millions : hommes, femmes, enfants. Deuxièmement parce que l’imprescriptibilité pose des problèmes en ce qui concerne la mise en œuvre de l’action judiciaire. Plus c’est distant, plus c’est difficile et les allongements successifs de la prescription sont aujourd’hui suffisants. C’est évidemment un grand outrage d’un crime fait aux adolescents et aux enfants, évacua-t-il. Mais, la répression en France à cet égard est ferme. »
En effet, qui oserait relativiser d’une manière ou d’une autre un crime shoahtique ? Personne ! Car suivant la logique de Badinter, celui qui imprimerait une volonté constante de vouloir rendre imprescriptible le viol incestueux, deviendrait in fine un nazi de l’espace. Quant à Olivier Duhamel qui était un ami qu’il connaissait très bien, il assure à son auditoire qu’il ignorait tout de ses activités pédocriminelles.
Thierry Lévy, le copain de Robert Badinter

Ce dont il faut également se rappeler, ou ce qu’il faut savoir, est que Robert Badinter était un proche de cet autre avocat pénaliste qu’était Thierry Levy, ce défenseur acharné de la tolérance, de la liberté sexuelle et en particulier de la pédophilie.
Ce qui ne signifie pas que Badinter était lui-même un grand défenseur des pédophiles même si son épouse a pu écrire que « Le lien érotique entre la mère et l’enfant ne se limite pas aux satisfactions orales. C’est elle, qui, par ses soins, éveille toute la sensualité, l’initie au plaisir, et lui apprend à aimer son corps. La bonne mère est naturellement incestueuse et pédophile. » (Élisabeth Badinter, XY de l’identité masculine, 1992 Éditions Odile Jacob, Le Livre de Poche, p. 76).
La même Babeth qui écrivait en 1980, dans L’Amour en plus, que l’instinct maternel n’existait pas. L’amour maternel , disait-elle sur toutes les ondes, n’existait pas ! Pourtant c’est la même personne qui écrivait 12 ans plus tard, répétons-le, que « la bonne mère est naturellement incestueuse et pédophile ». Elle n’est pas aimante mais « incestueuse et pédophile » avec ses fils et ses filles !

Robert Badinter, à notre connaissance, n’a jamais désapprouvé les propos de sa tendre et chère épouse, fan, comme lui, de Simone de Beauvoir et de Michel Foucault.
Mais revenons à Thierry Lévy qui, en 2011, après la sortie dans une émission de télévision du philosophe Luc Ferry sur un mystérieux ministre poissé à Marrakech pendant qu’il violait un bambin, avait voulu faire les preuves de tout son talent d’éloquence en défendant carrément la pédophilie en tant que telle sur France 3.
Thierry Lévy reprochait alors, en direct, à la télévision, la disparition de la tolérance à l’égard des autres sexualités, la criminalisation « impitoyable » du tourisme sexuel (pédophile), et prônait la beauté de l’amour quel qu’il soit. C’était l’avocat d’une cause qui parlait, l’avocat libertaire qui fut aussi celui de plusieurs pédophiles. Lui même n’a jamais été soupçonné de délinquance sexuelle. Mais les idées qu’il défendait étaient-elles, sont-elles défendables ? Pouvait-on se lier d’amitié avec un homme qui luttait passionnément pour la normalisation de la pédophilie ?

Badinter commença son travail d’avocat abolitionniste en compagnie de Thierry Levy avec lequel il défendit l’assassin Bontems qui fut finalement exécuté. Il assista à ses côtés à la décapitation du criminel.

Ce n’est pas tout. Robert Badinter, après de longues années de formation passées sous la houlette du défenseur de tueurs de nationalistes, Henry Torrès, monta son propre cabinet d’avocats avec Jean-Denis Bredin (né Hirsch). Or Bredin (père de Frédérique qui se lança en politique sous la protection de Jack Lang) était un intime de Thierry Levy. Ils étaient si proches qu’ils commirent, ensemble, un ouvrage sur le métier d’avocat et sur l’éloquence. (Convaincre, Dialogue sur l’éloquence en collaboration avec Thierry Lévy, Odile Jacob, 1997).

En 1978, il publie Éclats, dialogue avec Jack Lang sur la place de l’art dans la culture. Le texte est annoté par l’homme de théâtre Antoine Vitez. En juillet 1981, Jack Lang lui confie la présidence de la Commission sur la réforme du cinéma. Une chose est sûre : Badinter, Bredin, Lévy, Jack Lang (proche de Badinter) partagent plus d’un point commun.
Robert Badinter, la défense de l’inversion
Comme nous le savons, Robert Badinter a longuement fréquenté le milieu du cinéma (sa première épouse est une actrice) et des cabarets, notamment des boîtes de travestis. Il fut l’avocat de nombreuses vedettes. Mais l’une d’entre elles, pourtant emblématique de la libre sexualité, n’a pas été mentionnée dans la nécrologie badintérienne.

Cette vedette fut connue sous le pseudonyme de Coccinelle. Un homme transformé apparemment en femme sous les coups de bistouri d’un médecin de Casablanca (le « docteur » Burou) qui avait perdu le droit d’exercer après avoir pratiquer des centaines d’avortements (qu’il commettait torse nu ou simplement revêtu d’un tablier de boucher…).

Coccinelle fut donc défendue par Robert Badinter en 1959 pour que l’homme charcuté devint, officiellement, devant l’administration, une femme. L’homme né Jacques-Charles Dufresnoy devint Jacqueline-Charlotte grâce à Badinter. Badinter et ses semblables firent passer le malheureux Dufresnoy (Coccinelle) pour « une militante » qu’on qualifierait aujourd’hui de LGBTQ + (+ comme P?). Cette personne entourée de la faune monstrueuse du Paris de la nuit a été incitée à devenir « Coccinelle » et une icône du transsexualisme.
A la fin de sa vie, elle déclara cependant à plusieurs reprises qu’on lui avait littéralement « volé sa vie ». Cette personne ne voulait pas devenir l’héroïne des pervers. Et c’est pourquoi elle voulut que son corps transformé en cendres disparaisse des écrans radars ! Que personne ne sache où elle reposait ! Dufresnoy avait compris qu’il n’avait pas été aidé alors qu’il était sévèrement déboussolé, mais manipulé par la gauche dégénérée.
Quand on ne fait pas la police de la braguette, la braguette fait sa police et étend son empire. Badinter, lui, a choisi de promouvoir via ce malheureux déboussolé, la cause de l’extrême inversion, comme il a, plus tard, choisi de défendre la vie des assassins les plus froids en devenant l’avocat de Patrick Henry.

Examinons, encore, les faits, toujours les faits.
A l’instar de Thierry Lévy, Robert Badinter posait comme l’ennemi du système carcéral, de la vengeance sociale sur le délinquant, comme l’ami de la jeunesse émancipée. Mais Thierry Lévy avançait franchement ses idées atroces. Badinter était, lui, un menteur d’un machiavélisme formidable.
Ces condamnés injustement condamnés ?
En 1986, devant toutes les télés de France, le ministre de la Justice du Florentin François Mitterrand, visitait le chantier immense d’un grand projet qui lui était cher. La construction d’une prison à ciel ouvert sur une immense étendue à Mauzac, en Dordogne.
Voilà comment, en 1986, le journal Le Monde, en extase, parlait de la chose :
« Bien sûr, il y a des barreaux. Il y aura des gardiens aussi, et des miradors (sic), et des murs d’enceinte (sic), et des rondes (sic), et un œilleton à la porte (sic), et un » mitard » pour les punis (sic). Après tout, le centre de détention de Mauzac, dans la Dordogne, qui, à partir du mois de juin, doit accueillir deux cent cinquante détenus, sera une prison, mais pas une prison comme les autres.
Ainsi l’a voulu M. Robert Badinter, très heureux de faire visiter la première tranche de travaux de cette » nouvelle » prison, symbole d’une politique carcérale différente : « La prison est un lieu clos, explique-t-il ; c’est l’endroit où on purge une peine, et il y a des exigences de sécurité. » Elles seront, bien entendu, ici comme ailleurs, respectées. » Mais, ajoute le ministre, les détenus sont des hommes appelés à sortir de prison. Le régime carcéral ordinaire aboutit trop souvent à l’uniformité, à l’infantilisme, à l’automatisme et à l’irresponsabilité. C’est fâcheux, puisque, à la sortie, la vie dans la société des hommes libres exige le contraire. »
Pour cela, il faut de l’astuce et pas forcément beaucoup de moyens. Ce symbole de l’intelligence carcérale, c’est, pour M. Badinter, l’expérience de Mauzac. Construite en vingt et un mois (au lieu de trois ans, en général), pour un prix plus que raisonnable (300 000 F la place d’un détenu, contre 400 000 F pour les prisons construites au début des années 80), Mauzac est un cas. » Mauzac est en effet un cas. « Est-ce la mine réjouie du garde des sceaux qui fait faire le tour du propriétaire, est-ce parce qu’il n’y a pas encore de prisonniers, est-ce parce qu’ici, à 30 kilomètres de Bergerac, en pleine Dordogne, hérissée de petits châteaux, on est sur la route des confits et des foies gras ? En fait, le long d’un canal bordé d’arbres, planté au milieu de 90 hectares de champs, le chantier de la prison ressemble à celui d’un village de vacances. C’est d’ailleurs la spécialité des architectes, Noëlle Jannet et Christian Demonchy, qui ont – entre autres – conçu les plans de villages du Club Méditerranée.
Ici, on ne parle pas de maisons, ni de pavillons, mais d' »unités de vie », d’un étage… Les murs de la maison qui est sortie de terre sont » couleur Dordogne « , entre vanille et moutarde. Elle accueillera douze détenus. C’est la fin de la promiscuité : chaque cellule est individuelle, le coin lavabo et toilettes isolé. Les détenus cuisineront eux-mêmes petit déjeuner et dîner en commun, après avoir fait leurs courses à la cantine. De 8 h 30 à 15 h 30, ils travailleront sur l’exploitation agricole (fleurs, céréales, etc.) et feront une pause d’une demi-heure pour déjeuner au « self-service « .
L’après-midi est libre et pourra être consacrée à la culture (salles de classes, formation professionnelle, atelier informatique) ou au sport (musculation, agrès, basket, volley-ball, saut, grimper). Ensuite, les détenus pourront jardiner dans leur « jardin privé » et jouer aux boules sur » l’agora » (la » place du village »)… Les promoteurs du projet sont fiers de deux innovations : la clef qui permet au détenu de fermer lui-même sa cellule de l’intérieur (un gardien peut l’ouvrir, mais pas un autre détenu) et les deux studios qui permettront aux familles de rendre visite, en privé, pendant 24 ou 48 heures, à leur parent emprisonné. Trop beau pour être vrai, trop loin de l’idée que l’on se fait d’une prison ? Certains, sûrement, le penseront. Mais pas M. André Goustat, le maire (RPR) de Mauzac, qui compte une trentaine de gardiens de prisons parmi ses 688 administrés et utilise déjà les services des détenus de l’ancienne prison du village, de l’autre côté du canal, pour les travaux municipaux. L’établissement pénitentiaire, pour le moment, a tout l’air d’une prison-modèle : à Mauzac, elle est, en tout cas, accueillie à bras ouverts… ».
[Source:Le Monde]
Mensonge ! Deux mensonges ! Evidemment, aucune prison n’est accueillie à bras ouverts dans un village. Et aujourd’hui, Mauzac et ses habitants conchient la sienne !
Parce que cette prison souvent qualifiée de paradisiaque est peuplée de pédophiles à 85% ou d’assassins en fin de peine mais qui s’échappent avec une aisance déconcertante. C’est clair : cette prison douce façon Club Med fut conçue, en réalité, pour accueillir des pédophiles !
On peut comprendre que les violeurs de gosses, détestés par la plupart des prisonniers, soient mis à l’écart pour éviter leur lynchage. Mais pourquoi ne sont-ils pas placés, à l’écart, dans une prison classique ? Pourquoi le Club Med pour les pédophiles? N’est-il pas évident que Badinter considérait les pédophiles comme des criminels méritant une prison de fleurs et d’aômes parce qu’il étaient injustement condamnés ?
Robert Badinter était finalement attiré inconsciemment par l’odeur du sang. Par les bourreaux d’enfants, par le transsexualisme et par la sodomie des 15 ans. Nous ne parlons pas des tortionnaires des plus jeunes qu’il voulait simplement extraire de la grisâtre des prisons des gueux.
François-Xavier Rochette.
Note de la rédaction : parmi les avocats des condamnés d’Outreau et futurs innocentés, dont certains seront pourtant condamnés de nouveau pour des actes pédocriminels confirmés, mentionnons Maître Hubert Delarue, l’ancien élève de Robert Badinter à l’Université de Picardie Jules Verne où ce dernier enseignait :

FRANCE – APRIL 14: Lef to right: attorneys Herve Corbanesi, Hubert Delarue, Franck Berton and Eric Dupond-Moretti at the last day of the Danger-Vandervelde child abuse and rape trial in Saint-Omer, France on April 14th, 2006. (Photo by Franck CRUSIAUX/Gamma-Rapho via Getty Images)
Dans son bureau d’avocat retraité, chez lui à Rubempré, près d’Amiens, Hubert Delarue montre les deux livres posés devant lui. « Il y a l’Exécution et l’Abolition. Aucun de mes collaborateurs n’est rentré dans mon cabinet si il n’avait pas lu ces deux livres signés Robert Badinter« , avance t-il d’entrée.
Hubert Delarue a été pendant deux années l’élève de l’ancien Garde des Sceaux de François Mitterrand, au début des années 1970, à l’université de Picardie. « C’est cet homme qui m’a donné envie de faire le métier que j’ai exercé pendant 40 ans. »
Professeur de droit des affaires à Amiens
Et l’Amiénois se met alors à raconter une histoire « extraordinaire », qui le lie à Robert Badinter. « Son livre, l’Abolition, c’est l’exécution de Claude Buffet de Roger Bontemps, le 28 novembre 1972. J’étais en deuxième année de droit à la faculté d’Amiens, et l’un de mes professeurs, et non le moindre, c’était Robert Badinter qui professait, figurez vous, le droit commercial. Car il ne faut jamais oublier qu’avant d’être le pénaliste qu’il a été et surtout l’artisan de l’abolition de la peine de mort, c’était, comme on disait, un avocat d’affaires, c’était un grand commercialiste. »
« Nous avions tous écouté le matin la radio. On avait appris qu’à 5 heures du matin, Bontemps et Buffet avaient été guillotinés. Et Robert Badinter avait évidemment assisté Bontemps au pied de la guillotine. Quand on s’est retrouvé tous les camarades dans ce cours qu’il devait nous dispenser à partir de 9 h du matin, on s’est demandé s’il allait venir avec ce qu’il avait vu, avec ce qu’il avait vécu le matin même. L’épreuve a dû être terrible. Mais il est arrivé. »
Un cours presque normal le 28 novembre 1972
Hubert Delarue se souvient encore du début de ce cours. « Un instant gravé à jamais dans ma mémoire. On a regardé nos chaussures, on savait pas quoi dire, quoi faire. Robert Badinter est monté à l’estrade. Il a dit, mais où en étions nous déjà la semaine dernière? Oui, oui, tout à fait, les faillites commerciales. Et bien voilà, nous allons continuer le cours, etc. Je vous laisse imaginer ce que ce qu’on a pu penser et ce qu’on a pu ressentir. »
« Puis le cours s’est terminé, on s’est levé. Et on s’est approché de l’estrade où il était, on l’a entouré, on n’a rien dit et il a rien dit. On était peut être plus gênés que lui ou lui, plus gênés que nous. Qu’est ce qu’il fallait faire », se remémore l’avocat amiénois.
[Source:francebleu]



Excellent article de FX Rochette, et cependant il en oublie quand même!! Voir infra, notamment sur l’incroyable chutzpah de la mère Badinter accusant l’Eglise de… pédophilie!! Je voudrais ajouter une information à titre personnel, et poser une question. Mon information concerne Anne Vernon qui était très liée à un acteur pédophile d’origine belge, Fernand Gravey, qui était connu dans les années 1950 et l’invitait aux partouzes de Cocteau (mort en 1963). Est-ce dans ce contexte qu’elle a rencontré Badinter? C’est probable. Ma question, maintenant: ce Rachline dont FX Rochette parle, est-il bien l’oncle de David Rachline, favori de la cour de Margarine Le Pen?
Bonus! Article florilège où la mère Badinter est citée accusant… l’Eglise de… pédophile!!!!! -> « Robert Badinter. Grand ami de Mitterrand, premier ministre de la Justice mitterrandien. Pédophile revendicateur. Se sert du cas Patrick Henry, pédophile et assassin d’enfant pervers en 1977, pour faire suspendre la peine de mort. Badinter soutient que les peines de sûreté peuvent dispenser de la peine de mort. Patrick Henry, condamné à perpétuité, se retrouve naturellement en liberté « pour bonne conduite » (!) et retombe instantanément dans la criminalité. Il est arrêté en Espagne pour participation à un réseau pédocriminel et son ordinateur saisi dévoile des centaines de photos pédophiles. Très proche de François Mitterrand, Badinter est nommé ministre de la Justice du premier septennat socialiste. Il présente à l’Assemblée nationale, le 17 septembre 1981 — au nom du gouvernement de la République —, le projet de loi abolissant la peine de mort. En 2008, Robert Badinter fustige sur France 2 le projet de loi prévoyant une peine de sûreté pour les pédophiles jugés toujours dangereux après avoir purgé leur peine. Il ose déclarer: « Depuis la Révolution française, on va en prison pour des actes ou crimes qu’on a commis, pas pour ce qu’on est, pas au nom d’une dangerosité indiquée par des psychiatres. » En 2021, Macron et Robert Badinter célèbrent les quarante ans de l’abolition de la peine de mort. Les amateurs d’ironie relativiseront l’indignation très sélective d’Elisabeth Badinter qui a l’audace de déclarer sur France Inter en 2018: « Je me suis demandé si ces propos violents sur l’avortement n’étaient pas une façon de détourner le regard des crimes pédophiles de l’Église ». La même Elisabeth Badinter écrivait pourtant, en 1992: « Le lien érotique entre la mère et l’enfant ne se limite pas aux satisfactions orales. C’est elle, qui, par ses soins, éveille toute la sensualité, l’initie au plaisir, et lui apprend à aimer son corps. La bonne mère est naturellement incestueuse et pédophile. » (Élisabeth Badinter, XY de l’identité masculine, Éditions Odile Jacob, Le Livre de Poche, p. 76) L’Eglise est pourrie, mais à pourrie, pourrie et demie, apparemment. Pour un grand nombre de journalistes, il est évident que le gendarme Christian Jambert, assassiné dans la nuit du 3 au 4 août 1997 à Auxerre (Yonne) pour avoir repris l’enquête sur les réseaux des tortionnaires-assassins de l’Yonne, incriminait implicitement Robert Badinter (l' »ancien ministre de la Justice, ami de Mitterrand » était Badinter, et aucunement Arpaillange, malgré ce que des enfumeurs ont prétendu, puisque au moment de l’affaire Dunand, Arpaillange était en fonction, et non « ancien ministre » – Arpaillange n’était d’ailleurs pas ami avec Mitterrand). »
Voir aussi son rôle funeste dans la commission d’arbitrage sur la Yougoslavie qui aggrava la guerre civile au début des années 1990 (cf La Croisade des Fous de Diana Johnstone)
Dans l ‘affaire Faurisson, les juges ont jugé que Badinter avait traité Faurisson de menteur et de faussaire mais « de bonne foi »et l’avait relaxé. bien qu’il n’ait pu apporter aucune preuve à ses accusations.
Il ne s’agit donc pas d’un procès gagné par Badinter !