SOS Violenfance, association fondée par les amis de Matzneff, pour assurer sa défense !
– Par F.X. Rochette, RIVAROL

Quelle est cette association SOS Violenfance, attaquant l’association l’Ange Bleu pour la punir d’avoir poursuivi Matzneff en justice ?
En France, l’affaire Matzneff a été lancée (le livre de Vanessa Springora Le Consentement a eu le retentissement que certains media ont bien voulu lui donner) par je ne sais quelle officine (l’auteur est bien gentille mais elle n’a pas le pouvoir de déclencher une telle bombe incendiaire sans le consentement des maîtres du media). Et c’est avec une telle affaire que l’on se rend compte de la mort clinique du journalisme français ou plutôt de sa corruption extrême, les plumes et les animateurs se focalisant exclusivement sur le goût de Matzneff pour les adolescentes en éludant savamment la pédomanie la plus sordide et sadique de ce prédateur souriant des supplices qu’il perpétrait sur des garçonnets, Esteban, Mickey (surnom que le monstre donnait à un bambin qu’il violait tant il était petit…) et d’autres…
C’est cette pseudo association qui dénonce Matzneff pour couvrir les autres.
Et que Marion Sigaut soutient !https://t.co/t1ko2S3213— Alain Soral Officiel (@AlainSoralOffic) June 27, 2020
A la suite d’une interview pour Paris Match dans laquelle l’écrivain pédomane évoqua l’amour pour justifier ses relations avec des mineurs, l’association L’Ange Bleu qui se présente comme anti-pédophile tout en organisant des cercles de discussions entre pédomanes officiellement abstinents ou repentants et victimes (devenues majeures) si j’ai bien compris son projet (qui ne me convainc pas du tout), porte plainte contre Matzneff pour apologie de crime. Un procès est toujours prévu pour septembre 2021 et d’aucuns l’attendent avec impatience en espérant que le vieux pervers ouvre son clapet comme il le fit en février devant quelques timides journalistes en se confiant sur ses relations avec l’adjoint au maire (et ancien salarié d’Yves Saint Laurent) de Paris Christophe Girard (qui est toujours adjoint à la culture au moment où nous écrivons ces lignes). Mais…
Mais alors que cette association (quoi que nous en pensions) n’avait jamais souffert une plainte de la part de ses concurrents associatifs pendant ses 24 ans d’existence, voilà que des protectrices de l’enfance sortent du bois pour critiquer les méthodes de L’Ange Bleu (effectivement critiquables) et pour porter plainte contre l’association. Fort bien, mais pourquoi ces personnes ont-elles attendu 25 ans pour se lever contre elle ?

En première ligne, on trouve comme plaignant l’association SOS Violenfance, une petite structure créée… fin novembre 2019, juste avant l’affaire Matzneff. Cette association qui sent encore la peinture fraîche a été montée par une certaine Kathya de Brinon , qui se présente, à 70 ans, dans un livre publié en août 2018, comme une victime de pédomanie (et qui a ses entrée à Boulevard Voltaire -NDLR).
SOS Violenfance, une association en réalité fondée à l’initiative de Guilaine Dépis, l’attachée de presse de Matzneff !

Dans sa tâche associative, Kathya de Brinon est épaulée par son attachée de presse qui est aussi son amie, Guilaine Depis, une professionnelle spécialisée dans l’édition littéraire qui travaille depuis plus de dix ans au service d’un certain Gabriel Matzneff. La dame qui rêvait de Paris depuis son enfance n’a pas digéré l’affaire Matzneff. Elle a à ce propos écrit le 10 juin sur les réseaux sociaux un texte destiné à défendre son fidèle écrivain :
« L’affaire Matzneff était (sic) insensée de bêtise et d’absurdité, à commencer par le Ministre Franck Riester car toute personne un peu cultivée, qui l’avait lu, connaissait depuis 40 ans les faits soudainement reprochés à Matzneff : pour la simple raison qu’il a lui-même écrit dans ses livres tous ses péchés ayant le souci de donner une œuvre littéraire authentique, totale, non édulcorée, toute la vérité nue d’un homme avec ses lumières et ses ombres, comme le préconisaient Nietzsche, Schopenhauer et Rilke. Et dans les années 70, Deleuze, Barthes, Foucault, Sartre et Beauvoir avaient tous signé la pétition pour abaisser la majorité sexuelle, tandis que Claude François mettait enceinte une fille de 13 ans en chantant « Les Magnolias » et que le journal Libération publiait chaque jour des petites annonces de types cherchant des sex friends mineurs en toute liberté. Allez lire les archives de Libé si vous ne me croyez pas… Mais ce qui était (elle l’aimerait tellement révolue cette affaire) dingue, c’est que dans leur acharnement de « bêtise à front de taureau » (comme dirait Baudelaire), les journalistes du Parisien sont allés en janvier interroger tous les voisins de Matzneff dans son immeuble, et les gens de sa rue, ses commerçants, la pizzeria où il dîne 3 fois par semaine etc, car Le Parisien cherchait à recueillir des témoignages accusateurs, et ils n’ont pas réussi à trouver, malgré leur acharnement haineux, un seul voisin de GM qui dise autre chose que « il est charmant », « il est très gentil ». Le pizzaiolo a même déclaré « c’est mon client préféré ». Oui, oui, Landru était charmant. Comme quoi les gens humbles, les commerçants, ont davantage de classe et de bon sens que le « milieu littéraire ». Par exemple, le monsieur de son pressing dit « ces faits remontent à si longtemps… plus de 30 ans… C’est hallucinant de s’acharner comme ça sur un seul homme… Comme s’il était le SEUL ». Vous en connaissez d’autres de cet acabit ? Personnellement, comme Matzneff ? Dans un État de Droit, la prescription ça existe ! Malgré l’appel à témoin (du délire !! C’est la première fois dans l’histoire de l’humanité que la justice n’ayant rien de non prescrit dans le dossier se met à publier des petites annonces dans les médias « vous n’auriez pas vu un gars qui aurait vu un type qui aurait surpris Matzneff avec une lycéenne ? »), et le lynchage de 100% des médias en ayant fait leurs gros titres, le dossier pour « viol sur mineurs de moins de 15 ans » reste désespérément VIDE. Ce qui doit énerver ses ennemis. »
Et contenter ses ami(e)s qui ne veulent surtout pas que dans un moment de fatigue le violeur d’enfants devienne un peu trop prolixe ?
Gabriel #Matzneff a fait supprimer (seulement) la homepage de son site officiel https://t.co/MDGPkbYEYm
Du coup on peut récupérer les autres avant leur suppression, notamment la page « GM et ses amis » 👀@PPDA @EmmanuelPierrat @GuilaineDepis #PhilippeTesson #SylvainTesson … pic.twitter.com/iimDsOM6E4
— Fallait Pas Supprimer 📸 (@FallaitPasSuppr) December 29, 2019
François-Xavier Rochette.

« L’affaire Matzneff était (sic) insensée de bêtise et d’absurdité, à commencer par le Ministre Franck Riester car toute personne un peu cultivée, qui l’avait lu, connaissait depuis 40 ans les faits soudainement reprochés à Matzneff : pour la simple raison qu’il a lui-même écrit dans ses livres tous ses péchés ayant le souci de donner une œuvre littéraire authentique, totale, non édulcorée, toute la vérité nue d’un homme avec ses lumières et ses ombres, comme le préconisaient Nietzsche, Schopenhauer et Rilke. Et dans les années 70, Deleuze, Barthes, Foucault, Sartre et Beauvoir avaient tous signé la pétition pour abaisser la majorité sexuelle, tandis que Claude François mettait enceinte une fille de 13 ans en chantant « Les Magnolias » et que le journal Libération publiait chaque jour des petites annonces de types cherchant des sex friends mineurs en toute liberté. Allez lire les archives de Libé si vous ne me croyez pas… Mais ce qui était (elle l’aimerait tellement révolue cette affaire) dingue, c’est que dans leur acharnement de « bêtise à front de taureau » (comme dirait Baudelaire), les journalistes du Parisien sont allés en janvier interroger tous les voisins de Matzneff dans son immeuble, et les gens de sa rue, ses commerçants, la pizzeria où il dîne 3 fois par semaine etc, car Le Parisien cherchait à recueillir des témoignages accusateurs, et ils n’ont pas réussi à trouver, malgré leur acharnement haineux, un seul voisin de GM qui dise autre chose que « il est charmant », « il est très gentil ». Le pizzaiolo a même déclaré « c’est mon client préféré ». Oui, oui, Landru était charmant. Comme quoi les gens humbles, les commerçants, ont davantage de classe et de bon sens que le « milieu littéraire ». Par exemple, le monsieur de son pressing dit « ces faits remontent à si longtemps… plus de 30 ans… C’est hallucinant de s’acharner comme ça sur un seul homme… Comme s’il était le SEUL ». Vous en connaissez d’autres de cet acabit ? Personnellement, comme Matzneff ? Dans un État de Droit, la prescription ça existe ! Malgré l’appel à témoin (du délire !! C’est la première fois dans l’histoire de l’humanité que la justice n’ayant rien de non prescrit dans le dossier se met à publier des petites annonces dans les médias « vous n’auriez pas vu un gars qui aurait vu un type qui aurait surpris Matzneff avec une lycéenne ? »), et le lynchage de 100% des médias en ayant fait leurs gros titres, le dossier pour « viol sur mineurs de moins de 15 ans » reste désespérément VIDE. Ce qui doit énerver ses ennemis. »
Cette personne, Kathya de Brinon, est profondément dérangeante. Tout semble bidon en elle et autour d’elle. Tout apparaît fabriqué. Je me souviens d’avoir passé un weekend entier à essayer de démonter son récit bizarre. La première chose qui m’a frappé, parce que c’est illogique, c’est qu’elle prétendait avoir été violée enfant par son grand-père dont le nom était « de Brinon ». Et elle l’aurait… choisi à la place du sien?! Jamais on ne voit ça, c’est le contraire qui se produit. Les enfants qui portent le nom de leur tortionnaire en changent. De plus, son insistance à suggérer lourdement qu’elle serait la petite-fille de Fernand de Brinon, l’archi-collabo, m’a conduit à me renseigner. Comme Fernand de Brinon est décédé en 1947, on voit mal comment il aurait pu tourmenter dans son enfance une gamine née en 1948! Dans aucun arbre généalogique sur Généanet, il n’y a de Brinon ayant eu une petite-fille appelée « Muriel » (son vrai prénom, paraît-il, auquel elle aurait renoncé pour prendre celui d’une grand-mère hongroise… bref, encore une histoire de mabouls). Le patronyme « de Brinon » est extrêmement rare. Aucun de Brinon connu n’a de Muriel née en 1948 dans sa descendance. Ensuite, j’ai pataugé dans les bobards sur « l’hôtesse-de-l’air-devenue-professeur-de-droit-à-sciences-po ». En fin de compte, je ne comprends pas qui est cette bonne femme, ni d’où elle sort. Ma seule certitude acquise, c’est que c’est une imposture de A à Z, ce que votre article vient renforcer. J’ai demandé à l’IA la mieux développée d’analyser son cas, et voici la conclusion, que je n’ai pas dictée: Identity doubts + mission contradiction = a pattern consistent with self‑mythologising.
Public persona built on selective truths, unverifiable claims, and high‑visibility causes.
Contradictory alliances suggest either poor judgement or calculated image‑building, not principled activism.