Le Cancer Pédéraste de La Nouvelle Droite Pédophile

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Les néo-nazis stipendiés par l’OTAN pour noyauter les résistances à la fois au bolchévisme et au libéralisme après la seconde guerre mondiale, comptaient en leur sein des militants homosexualistes non seulement nostalgiques de l’Allemagne nazi, tendance SA, mais également d’une Europe Païenne antique qui célébrait l’union des éphèbes et des mâles plus murs. Une institution connue sous le terme de Pédérastie, où le maître initie l’adolescent au Mystères d’Eleusis en le sodomisant.

« Coucher avec un ou une enfant c’est une expérience hiérophanique, une épreuve baptismale, une aventure sacrée. Le champs de la conscience s’élargit, les « remparts flamboyants du monde » (Lucrèce) reculent.»

« Amoureusement, ce que je vis en Asie est très inférieur à ce que je vis en France, même si les petits garçons de onze ou douze ans que je mets ici dans mon lit sont un piment rare. Oui, un piment, mais seulement un piment : une épice, et non le plat de résistance. »

Gabriel Matzneff, écrivain de renom et ardent militant de la cause pédomaniaque

Gabriel Matzneff Satanisme pédophile

Les tenants de la pédérastie à la grecque à l’extrême-droite sont issus du GRECE (Groupement de Recherche et d’Etude sur la Civilisation Européene), la formation métapolitique d’Alain de Benoist, dont le président d’honneur n’était autre que l’auteur antichrétien Louis Rougier, synarque ayant animé durant l’entre-deux guerres le colloque Walter Lippmann  du nom du fondateur du Council of Foreign Relations. Sans surprise, de nombreux membres de la Nouvelle Droite (autre nom du GRECE) s’ils n’étaient pas eux-mêmes des pédomanes assumés comme Gabriel Matzneff, se seront fendus d’articles pour le défendre quand celui-ci se verra reprocher ses apologies répétées du viol d’enfants dans ses différents ouvrages.Gabriel Matzneff Satanisme pédophileLa Nouvelle Droite comportait en tout cas un nombre impressionnant de sodomites et pédérastes, déclarés ou non. Des militants historiques de ce courant néo-nazi, vomissant le christianisme, se verront condamner pour des actes de pédophilie dans des affaires de pédocriminalité de réseau gravissimes. Des affaires de pédocriminalité mettant régulièrement en cause Gabriel Matzneff, Michel Caignet, Jean-Manuel Vuillaume, Michel de Cacqueray et Bernard Alapetite. Condamnés à la fin des années 90 pour avoir organisé des réseaux de production et de diffusion de cassettes vidéo pédocriminelles dans le cadre des affaires Toro Bravo et Ado 71. Gabriel Matzneff quand à lui sera inquiété au moment du scandale de l’affaire du lieu de vie du Coral, mais s’en sortira grâce à ses relations hauts placées.

«Qu’un écrivain déclare, comme la chose la plus naturelle du monde, qu’il préfère le commerce charnel des très jeunes personnes aux turpitudes classiques de ses contemporains, et il n’en faut pas plus — en pleine société permissive — pour le faire passer pour le Diable dans le Landerneau parisien».

Alain de Benoist, vieux dégueulasse marxiste, à propos de Gabriel Matzneff

Pédophile paganisme nouvelle droite

Le Cancer Pédéraste de la Nouvelle Droite

C’est seulement lorsque le pénis (upastha) se redresse, qu’il émet la semence, source de vie. Il est alors appelé « phallus » (Linga) et, depuis la lointaine préhistoire, il a été considéré comme l’image du principe créateur, du processus par lequel l’Etre Suprême procrée l’univers. Il ne s’agit pas d’un symbole pris au hasard, mais de la reconnaissance de la continuité du processus qui, selon la théorie cosmologique, relie les différents niveaux de la manifestation. Le phallus est réellement l’image du Créateur dans l’homme, et nous retrouvons sa vénération à l’origine de toutes les religions.

Source du plaisir, le phallus évoque la béatitude divine, l’Être de joie. Il représente dans le microcosme, dans l’être vivant, le progéniteur toujours présent dans son œuvre. Le mépris, la dégradation, l’avilissement de cet emblème sacré éloignent l’homme de la réalité divine. Ils provoquent la colère des dieux et aboutissent au déclin de l’espèce. L’Homme qui méprise le symbole même du principe de vie abandonne son espèce aux forces de la mort.

Alain Daniélou, auteur “traditionnaliste”, comprendre “adorateur du phallus” (source)

Alain Daniélou, est un chercheur et auteur du courant Traditionnaliste, sodomite, cela va sans dire. Proche de René Guénon, il aura lui aussi largement inspiré les thèses néo-païennes du GRECE, Christian Bouchet (membre de l’Ordo Templi Orientis, la secte d’Aleister Crowley), déclarait  qu’« En Europe de l’Ouest, son œuvre mérite sans doute d’être mieux connue car elle est de nature à ouvrir de multiples voies de réflexion au mouvement traditionaliste. »

Selon Daniélou, la sexualité est une initiation à part entière. Reprenant les thèses de certains historiens des religions comme Pierre Gordon ou Mircea Eliade, il affirme :

« Dans la théorie tantrique, c’est en partant de l’expérience sexuelle considérée comme un rite que l’homme peut traverser tous les obstacles et se rapprocher du divin non point seulement par la procréation mais à travers l’illumination du plaisir. Tout acte sexuel peut être organisé en un rite magique. C’est au moment de l’union sexuelle que nous pouvons en quelque sorte accrocher le divin. »

Par ailleurs, Alain Daniélou fait l’éloge de l’amour transgressif, épanouissant pour l’adolescent, à partir du moment où il reste infertile. En ce sens, il se rapproche de l’aspect le plus contestable d’une autre grande référence de la Nouvelle Droite, Gabriel Matzneff, qui défendait aussi, dans les années soixante-dix, une initiation sexuelle entre un adolescent et un adulte.

Daniélou déplore aussi la perte de la culture de l’érotisme dans l’Occident, perverti par le christianisme, rompant ainsi le lien cosmique :

« En renversant l’ordre des valeurs, en ne cultivant pas l’art érotique, nous ne pourrons jamais ni contrôler, ni dominer le principe de la vie, nous perdons conscience de notre réalité, de notre rôle dans l’ordre naturel et nous devenons donc les esclaves aveugles, incapables jamais de dépasser l’ordre naturel, de nous libérer, d’atteindre à la connaissance véritable et à la béatitude de l’union divine, à la réintégration de l’être individuel dans l’être universel. » […]

La Nouvelle Droite a une conception atypique de l’homosexualité fondée sur la tolérance. Ainsi, Pierre Gripari ne cachait pas la sienne et se considérait comme un homosexuel de droite. Elle constate que celle-ci existe dans toutes les sociétés traditionnelles où elle revêt parfois une signification religieuse et touche toutes les couches sociales. En effet, dans les sociétés prémodernes, les pratiques homosexuelles s’insèrent dans un moment donné de la vie de l’individu, où elles correspondent en règle générale à un rite de passage, à une expérience initiatique. Elles ne permettent donc pas de qualifier l’individu concerné comme homosexuel. Selon Alain Daniélou,

« Il existe tout un rituel lié à la pénétration anale par la porte étroite qui ouvre sur le labyrinthe (dans l’homme, l’intestin). En Yoga tantrique, le centre de Ganésha, le gardien des portes, se trouve dans la région du rectum. L’organe mâle, s’il pénètre directement dans la zone de l’énergie enroulée (Kundalini), peut permettre de l’éveiller brutalement et de provoquer des états d’illumination et de subite perception de réalités d’ordre transcendant.

C’est pourquoi cet acte peut jouer un rôle important dans l’initiation. Cela explique un rite d’initiation masculine, très répandu parmi les peuples primitifs, bien que rarement rapporté par les observateurs occidentaux, dans lequel les initiés adultes mâles ont des rapports sexuels dans l’anus avec les novices (…) Cet acte fait d’ailleurs partie des accusations portées contre les organisations dionysiaques par leurs détracteurs et contre certains groupes initiatiques dans le monde chrétien (les Templiers) et islamiques (les Soufis). » (Shiva et Dionysos: La religion de la Nature et de l’Eros)

L’indo-européaniste Bernard Sergent démontre la même chose dans L’homosexualité et initiation chez les peuples indo-européens. De fait, les néo-païens condamnent l’homophobie d’une partie d’entre eux, en particulier la frange la plus radicale, se situant à proximité de l’idéologie néo-nazie. Les néo-païens néo-droitiers proposent donc comme solution le recours à la Tradition, sans pour autant leur donner un statut particulier, une erreur selon eux, signe de notre déclin, d’une part, et offrant la possibilité de ghettoïsation, d’autre part.

Il existe pourtant, dans les milieux des droites radicales, une tradition d’une homosexualité virile, à la limite du néo-paganisme, née en Allemagne au début du XXe siècle. Celle-ci est apparue, notamment, dans des groupuscules proches des milieux alternatifs et volkischer, qui voulaient se libérer des morales bourgeoise et judéo-chrétienne. En effet, certains de ces groupes ont développé à cette époque une conception particulière de l’homosexualité, inspirée de la Grèce antique (dont Sparte) et des Janissaires, ces troupes d’élite du Sultan Ottoman. A cette virilité quasi spartiate on mettait en avant un culte du corps. Teinté de végétarisme et de naturalisme, avec un discours élitiste sous-jacent. Ces mouvements ont été interdits par les nazis, lors de la mise au pas de la société.

Cependant, les identitaires ont une attitude ambivalente vis-à-vis de l’homosexualité, certains l’acceptent, Nouvelle Résistance par exemple (mouvement politique créé par Christian Bouchet-NDR), d’autre la condamnent. A ce titre, la position du néo-nazi Michael Kuhnen (membre de l’Ordo Templi Orientis, mort du SIDA en 1991) développée dans National-socialisme et homosexualité, est intéressante car il va à l’encontre de l’homophobie de sa famille idéologique.[…]

L’une des figures de cette homosexualité à la fois alternative et de droite est Hans Blüher (1888-1955), figure du mouvement bündisch (ligueur), chantre de l’homosexualité, théoricien de la Révolution Conservatrice et auteur d’ouvrages de « sexologie politique ». Hans Blüher avait développé, dans Die Rolle der Erotik in der männlichen Gesellschaft (« Le rôle de l’érotisme dans la société masculine »), paru en deux volumes en 1917 et 1919, la théorie selon laquelle l’Etat serait né du conflit entre la famille, expression de l’éros hétérosexuel, et la « société masculine » expression de l’éros intermasculin, et s’exprime dans les communautés masculines (Männerbünde). Le Männerbünd, la société masculine, était, dans l’Allemagne de la fin du XIXe siècle, une association masculine fonctionnant par cooptation et parrainage, typique des contre-cultures antidémocratiques et élitistes allemandes de cette période.

Le courant idéologique symbolisé par [les éditions] Pardès prône l’acceptation de l’homosexualité et de certains comportements sexuels. Il ne faut pas oublier que cette maison d’édition [faisant partie de la Nouvelle Droite] a publié des textes de/sur Crowley et de/sur Maria de Naglowska, adeptes de la polysexualité.Il développe un refus du moralisme chrétien et bourgeois et défend une révolution sexuelle prenant sa source dans les principes traditionnels. Cette acceptation de l’homosexualité s’appuie sur l’œuvre d’Alain Daniélou, dont certains de ses ouvrages ont été publié par Pardès. Il ne faut pas oublier que Daniélou était homosexuel et ne s’en cachait pas. Il condamnait d’ailleurs l’homophobie :

« En ce qui concerne l’homosexualité, qui est une composante de la sexualité adolescente, la répression peut atteindre une cruauté et une incompréhension féroces qui, souvent, fixent une tendance qui aurait dû n’être que temporaire. La persécution de l’homosexualité qui, dans certains pays, est punie de prison ou de mort, prive l’adolescent de l’affection et de la protection d’adultes nécessaires à son développement harmonieux. »

Il va même au-delà en défendant, discrètement, une forme de pédérastie :

« Dans certains pays libéraux où les relations amoureuses entre personnes du même sexe ont été, depuis peu, acceptées entre adultes, elles restent généralement persécutées entre un adulte et un mineur quelle que soit sa maturité sexuelle.»[…]Il existe […] un courant des droites radicales favorable à l’homosexualité, voire à la pédophilie. Il s’agit du courant incarné par Michel Caignet (ci-contre, le visage joliment vitriolé par des membres du BETAR en raison de ses travaux négationnistes … bien fait pour sa gueule quand même !-NDLR) et de ses amis publiant la revue Gaie France fondée en 1986 par Caignet et vite interdite.

Il est un ancien membre de la FANE (Fédération d’Action Nationale et Européenne), un groupuscule néo-nazi animé par Mark Fredriksen et ayant existé de 1966 à 1980. Il est lui-même l’animateur d’un autre groupuscule néo-nazi, le Mouvement Européen, fondé en 1986. […] Michel Caignet est aussi le traducteur du livre du néo-nazi allemand Mickaël Kuhnen, Homosexualité et nationalsocialisme. Michel Caignet a été jugé et condamné pour une sordide histoire de pédophilie. Par ailleurs, l’ancien rédacteur en chef de Gaie France est Jean-Pascal Farinaci, l’actuel directeur du Centre d’Etudes Blüheriennes.

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