La doctrine pro-juive de Grégoire Canlorbe “Pourquoi le Nationalisme Français doit devenir judéophile et sioniste”

EDIT : Henry de Lesquen s’est désavoué de Canlorbe suite à la parution de cet article, gageons que Canlorbe était juste une fouine tentant de sioniser la ligne d’Henry de Lesquen. 

La rédaction.

De gauche à droite : Daniel Conversano, Guillaume Faye, Grégoire Canlorbe, Jared Taylor, Henry de Lesquen, la fiancée de J.Taylor et Olivier Piacentini.

Article hallucinant traduit par nos soins à partir de la langue anglaise dans lequel Grégoire Canlorbe (le mignon blondinet d’Henry de Lesquen à côté de Conversano sur la photo) dévoile sa doctrine dans toute sa dimension national-sioniste ou même pagano-juifiste. Semblant receler une philosophie en son esprit où se mêlent divers courants de pensée charriés par l’Antifrance tels que le calvinisme, le néo-paganisme, l’ultra-libéralisme, le talmudisme et la kabbale juive. Le traducteur se doit de prévenir ses lecteurs qu’il n’avait pas lu un tel ramassis de billevesées depuis un bon moment.

 

 


Qui est Grégoire Canlorbe, vice-président du Parti National-Libéral ?

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Notre petit Grégoire aurait fait ses classes dans son blog auprès de gentilhommes de la haute société parisienne tels qu’Yves Saint-Laurent et Pierre Bergé   :

 

Pourquoi le Nationalisme Français doit devenir judéophile et sioniste

par Grégoire Canlorbe

Le judaïsme a joué un rôle décisif dans l’édification et l’enrichissement de la civilisation aryano-chrétienne et de la race blanche [1]. Bien sur, il ne fait aucun doute que les Indo-Européens se sont livrés à l’appropriation culturelle des textes sacrés du judaïsme ; et l’Ancien Testament, ses mythes et ses conceptions en général, ont joué un rôle dans l’Europe Chrétienne aussi déterminant que l’héritage greco-romain. Il y a peu de doute que l’ethos aristocratique et guerrier (cherchant à désigner la société au bénéfice de la recherche aristocratique de l’accomplissement individuel, et la reconnaissance personnelle, à travers les exploits militaires) n’est pas seulement commun à tous les peuples indo-européens mais est aussi caractéristique de l’Ancien Testament et des autres textes sacrés du judaïsme.

Un exemple parmi les milliers d’unions heureuses entre la vision du monde indo-européenne et le judaïsme est celui du couronnement des rois de France, la royauté française honorant David et Salomon et se considérant elle-même comme le prolongement du royaume de Judah, à l’image, comme les jacinthes sur le manteau porté lors du couronnement évoquent les habits du haut prêtre d’Israël (qui ne représente pas seulement la nation mais tout l’univers dans son ensemble); et la manière avec laquelle le futur roi, durant la cérémonie se voit remettre un anneau symbolisant la foi catholique, ainsi qu’un sceptre et la main de la justice en référence à David. Concernant le manteau céleste que de nombreux rois et empereurs utilisent depuis les Ottoniens (lignée de rois germaniques-NDT) : mentionnons en particulier celui d’Henry II, conservé à Bamberg et couvert de broderies représentants des scènes de la Bible et des constellations. S’identifiant au personnage si mélomane de David, Louis XIV avait un portrait de David jouant de la harpe dans ses appartements (peint par Domenico Zampieri).

Au regard d’une telle affinité culturelle entre le judaïsme et l’ethos aristocratique et guerrier de la chrétienté européenne, et au regard de l’assimilation des juifs de la Diaspora (ayant enrichi la vie économique et intellectuelle des nations hospitalières, sans laisser de côté leur originalité biologique), on pourrait considérer l’ethnicité juive comme un cas à part parmi les peuples aryano-chrétiens. En ce début de 21ème siècle, il est fort regrettable qu’à la fois l’Alt-Right et le nationalisme français contemporains persévèrent dans leur animosité commune envers le judaïsme; alors que chacun de ces deux mouvements délivrent (de temps en temps) des personnalité revendiquant leur attachement aux traditions indo-européennes du génie aristocratique et militaire, bien trop souvent leurs soutiens adhèrent à une conception erronée du judaïsme, considéré comme une force cosmopolite et “parasite” contre les Gentils. En tant que vice-président du Parti National Libéral (nationaliste, libre-échangiste et archéofuturiste), nous voulons démonter pourquoi l’Alt-Right, mais aussi plus particulièrement le nationalisme Français, devraient épouser la judéophilie et le sionisme.

Le cosmopolitisme (dans son acception moderne) peut être résumé simplement comme une idéologie rejetant les frontières entre les nations, leur interdisant par conséquent de se défendre contre l’immigration libre ou le libre-échange régulé, il rejette également les différences culturelles et biologiques entre les hommes, promouvant le “multiculturalisme”, le relativisme moral, et un métissage des races généralisé. Pour le nationalisme français des 19ème et 20ème siècles, les juifs ont été considérés traditionnellement comme une “race cosmopolite”, occupée à manigancer pour la propagation de leur idéologie aux quatre coins du monde, on les a aussi considéré comme vivant selon leurs propres préceptes culturels (censés être contenus dans le Talmud) leur intimant d’exploiter et de soumettre les autres peuples et ethnies. Les deux opinions, en plus d’être totalement ridicules, ont mené le nationalisme français dans une impasse.

Au delà de son hostilité envers les juifs et le judaïsme, le nationalisme français traditionnel s’est aussi prononcé en faveur d’une économie étatiste. Une nouvelle forme de nationalisme apparaît en France, s’efforçant à concilier l’idéal de la nation avec une économie de libre échange débridée, à la fois engagé à se débarrasser du Code du Travail et à ré-émigrer les colons noirs africains et arabes musulmans. Henry de Lesquen, le fondateur et président du Parti National Libéral, l’une des figures majeures du nouveau nationalisme en France, aux côtés de Karim Ouchikh (chef du parti Souveraineté, Identité Et Liberté) et Renaud Camus (à qui l’on doit le concept de “Grand Remplacement” et qui dirige le Conseil National de la Résistance Européenne); prône à la fois la ré-émigration et la libéralisation économique.

Visitez le blog “l’indigne Renaud Camus”

A propos du judaïsme, Lesquen fit un premier pas dans la bonne direction en niant que les juifs étaient intrinsèquement et exclusivement cosmopolites [2]. Fort justement, il célèbre le premier ministre israélien Netanyahou en tant que figure de proue, aux côtés du premier ministre hongrois Viktor Orbàn, de la révolte des peuples contre l’agenda cosmopolite de ce que Lesquen nomme “l’hyper-classe mondiale”. Pourtant, tout en se déclarant “ni antijuif, ni pro-juif”, et considérant les juifs français comme “des français comme les autres”, Lesquen adhère toujours à la vision traditionnelle selon laquelle les préceptes du Talmud seraient parasitiques et suprématistes.

 

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Nota : Grégoire Canlorbe déplore ici la fameuse tirade d’Henry de Lesquen à l’attention de Frédéric Haziza “Rejetez-vous le Talmud qui tient les non-juifs pour des bêtes ?” Cette phrase ayant valu à Lesquen de passer au sein de la dissidence pour un antijudaïque.

En somme, Canlorbe reproche à la pensée lesqueniste ce substrat d’antisémitisme dont il souhaiterait la voir débarrassée pour embrasser intégralement le national-sionisme qu’il professe.  

Mais rien ne nous dit que Lesquen n’a pas souhaité donner le change, par cette sentence antitalmudique, auprès d’un public judéo-sceptique, ceci afin de pouvoir mieux le convertir à ses idées libérales, après l’avoir amadoué en se la jouant sulfureux par son petit manège avec Haziza.

A son antisémitisme supposé près, Lesquen est en adéquation avec la pensée de Canlorbe. Et si l’on considère que l’antitalmudisme de Lesquen n’est que de façade, alors la pensée de Canlorbe apparaît bien comme la doctrine révélée d’Henry de Lesquen.

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L’ancien président des Jeunesses Lesquenistes

 

Alors que Camus et Ouchikh célèbrent le judaïsme comme faisant partie de l’histoire de France; et appellent à défendre les juifs de France contre les attaques des musulmans protégés par l’antiracisme, Camus déclare :

“L’Europe persiste à expier, ou à croire qu’elle expie, les horreurs infligées aux juifs durant la dernière guerre en important sur son territoire des millions de personnes, qui, aussi tôt qu’ils arrivent ici, n’ont rien de plus urgent à faire que d’infliger des horreurs aux juifs.”

Au regard de leur contribution objective à la civilisation, ne serait-ce que par leur contribution pionnière à la théorie quantique, leurs découvertes en science nucléaire et en informatique, ou dans la confection de micropuces, il est difficile de prendre au sérieux les accusations de parasitisme à l’encontre des juifs. Comme George Gilder, l’auteur renommé de “The Israel Test”, le fait sagement remarquer :

“A l’âge de l’information, quand les accomplissement de l’intellect ont largement dépassé le pouvoir des masses et de la force matérielle, les juifs sont tributaires d’une grande partie de la science et de la richesse de l’époque”

A contrario, ceux qui aiment à penser que la culture juive serait en fait une culture du parasitisme, non seulement nient ce qu’ils doivent au génie juif, ils se considèrent eux-même menacés par le Talmud qu’ils tiennent pour un manuel raciste (ou suprématiste) et parasitique.

Il est une croyance répandue que le Talmud tiendrait les non-juifs pour des “bêtes”, destinées à servir les juifs comme esclaves, on considère assez souvent aussi comme une preuve du suprématisme talmudique les mots d’Ovadia Yosef (ancien grand rabbin sépharade de 1973 à 1983) selon lesquels le seul but des non-juifs serait de servir les juifs. Israel est naturellement considéré comme un état d’apartheid, oppressant les arabes de Palestine. Loin de prêcher le moindre parasitisme social, le Talmud promeut les valeurs mêmes de la responsabilité individuelle, la propriété privée, le mérite du travail, et l’innovation cognitive et technologique qui ont mené l’Occident vers le succès, et que les juifs ont partagé avec les Aryens.

“Le travail est honorable”, c’est ce que le Talmud enseigne, “car il honore le travailleur” (Nedarim 49b). “Celui qui n’enseigne pas un métier à son fils lui apprend à voler” (Kidouchin 29a).

En gros, le Talmud a hérité de ce qu’on peut appeler “l’anthropologie divine de l’Ancien Testament”, l’économiste tchèque Tomas Sedlacek l’exprime parfaitement dans son livre “Economie du Bien et du Mal” :

“Dieu remet sa création à l’homme dans un état inachevé et laisse à l’homme le soin de finir le travail et de compléter ainsi la création. […] Un acte de réalisation de notre part représente la création d’une construction, l’imputation du sens et de l’ordre (qui est magnifiquement exprimée par l’acte biblique de nommer, ou de catégoriser, de trier, d’ordonner).

Finalement, “la clé de l’héritage” de la pensée juive repose dans le manque de perception ascétique du monde, le respect du droit et de la propriété privée, mais aussi la base de notre réseau social. Les Hébreux n’ont jamais méprisé la richesse matérielle; au contraire, la foi juive attribue une grande responsabilité à la gestion immobilière. De plus, l’idée de progrès et la perception linéaire du temps donnent un sens à notre vie (économique) – et nous le devons aux temps de l’Ancien Testament (…).”

C’est ce dont nous devons nous souvenir dans cet Occident de plus en plus déjudaïsé et désaryanisé, submergé par des idéologies spirituellement mortifères qui condamnent le progrès, la science, le capitalisme et l’exploitation de la nature. Il est intéressant d’insister sur le fait que la responsabilité individuelle, la propriété privée, le travail acharné, l’innovation cognitive et technologique ne sont pas une importation du judaïsme dans la culture occidentale: il est vrai que ces valeurs étaient celles des Hébreux (à la fois un «peuple paria» et un pionnier de la finance, selon Max Weber), mais ce sont des valeurs que les Aryens ont partagées avec les Hébreux et qu’ils ont puisées dans leurs propres origines (loin de les tirer d’une influence étrangère).

Cela dit, l’Ancien Testament, avec sa conception linéaire du temps et son anthropologie divine, a en réalité joué un rôle de catalyseur vis-à-vis de «l’âme faustienne» des Aryens (pour reprendre le texte heureux d’Oswald Spengler) [3]. En plus de se voir facilitée par la présence commune de l’ethos guerrier aristocratique parmi les Aryens et les Hébreux, l’importation de l’Ancien Testament dans la Weltanschauung aryenne ne se voyait pas seulement facilitée par le fait que les Aryens reconnaissaient leur propre mentalité économique et scientifique dans la Weltanschauung hébraïque; mais en outre, elle se voyait renforcer cette même mentalité chez les Aryens, en ce sens que, avec la diffusion du christianisme romain qui n’a pas abandonné l’Ancien Testament, il les a délivrés de la conception cyclique du temps et de la perception du progrès technologique. comme une violation de l’ordre construit par les dieux. La réforme grégorienne du XIe siècle, puis la réforme calviniste, ont été des étapes décisives dans la catalyse judéo-chrétienne de la mentalité faustienne des Aryens [4].

Cela dit, l’Ancien Testament, avec sa conception linéaire du temps et son anthropologie divine, a en réalité joué un rôle de catalyseur vis-à-vis de «l’âme faustienne» des Aryens (pour reprendre le texte heureux d’Oswald Spengler) [3]. En plus de se voir facilitée par la présence commune de l’ethos guerrier aristocratique parmi les Aryens et les Hébreux, l’importation de l’Ancien Testament dans la Weltanschauung aryenne ne se voyait pas seulement facilitée par le fait que les Aryens reconnaissaient leur propre mentalité économique et scientifique dans la Weltanschauung hébraïque; mais en outre, elle se voyait renforcer cette même mentalité chez les Aryens, en ce sens que, avec la diffusion du christianisme romain qui n’a pas abandonné l’Ancien Testament, il les a délivrés de la conception cyclique du temps et de la perception du progrès technologique. comme une violation de l’ordre construit par les dieux. La réforme grégorienne du XIe siècle, puis la réforme calviniste, ont été des étapes décisives dans la catalyse judéo-chrétienne de la mentalité faustienne des Aryens [4].

Un retour partiel à l’esprit du paganisme, celui de nos racines gréco-romaines, sera inévitable pour rétablir les hiérarchies de statut indo-européennes traditionnelles (dissoutes avec la montée de la démocratie bourgeoise) dans la société occidentale; un retour à l’économie de la Bible hébraïque sera précieux pour la sauvegarde du capitalisme de libre-échange. Et afin de maintenir notre suprématie économique (vis-à-vis des géants asiatiques émergents), qui commence par se débarrasser de la décroissance et des idéologies de Gaia, une reconnexion avec l’anthropologie divine de la Bible hébraïque – l’homme créé à l’image de Dieu, et mandaté pour asservir la nature et apporter le changement scientifique et technologique à un monde dans lequel le temps est linéaire, et dans lequel le progrès est donc concevable, s’avérera inévitable et salutaire. Par conséquent, la vague nationaliste en France et dans les autres pays occidentaux, si elle veut régénérer l’Occident spirituellement et économiquement, devrait englober la judéophilie.

L’Occident renaîtra de ses cendres en développant dans une perspective faustienne ces deux héritages du judaïsme qui sont la conception linéaire du temps et la conception démiurgique de l’être humain: en d’autres termes, la conception de l’homme placé dans un monde quel temps est linéaire – et dans lequel le progrès est donc concevable -; et comme mandat de couronner la création divine sur les plans cognitif, technologique, artistique et économique [5]. Puisse la France pionnière connaitre cette nouvelle Renaissance !

En ce qui concerne les prétendus passages suprématistes et parasitaires du Talmud selon lesquels les non-juifs sont (et devraient être traités comme) des «bêtes», ils ne sont rien d’autre qu’une fake news antisémite, qui remonte au moins au livre “le Talmud dévoilé” publié en 1892. Ceux qui tiennent toujours Israël pour un État raciste devraient considérer le fait qu’un arabe israélien de la ville de Kfar Kana, dans le nord d’Israël, a récemment été nommé commissaire adjoint; on ne peut jamais assez insister sur ce point: il n’y a ni apartheid ni discrimination légale en Israël contre les non-juifs, y compris les musulmans.

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En revanche, la Palestine est notoire pour son antisémitisme parrainé par l’État – sans parler de la soi-disant “cause palestinienne” qui n’est qu’un moyen de faire avancer le projet d’extermination de masse des juifs qui était celui de l’Islam depuis le tout début.

Pour revenir à Ovadia Yosef, il convient de rappeler au lecteur – que l’on pense ou non que les déclarations de Yosef soient en définitive en contradiction avec le contenu du Talmud – que tout clergé indo-européen sain et spirituellement viril a toujours prêché l’expansion, la conquête et la domination: en un mot l’impérialisme. Souvenons-nous du discours du Pape Urbain II à Clermont, dans lequel il louait les Francs en tant que peuple «auquel, au-dessus des autres nations, Dieu a conféré une gloire remarquable en armes, un grand courage, une grande activité physique et de la force pour humilier par la tignasse ceux qui [leurs] résistent. “Pour l’instant, loin d’avoir la prétention de soumettre leurs voisins au sein d’un pax impérial Hebraica, comme les paroles d’Ovadia Yosef (selon lesquelles des non-juifs sont nés pour servir des juifs) peuvent les inviter à faire incidemment, les Israéliens aspirent simplement à vivre en paix sur leur territoire – d’où leur décision très emblématique de rendre le Sinaï à l’Égypte après l’avoir vaincu pendant la guerre des Six jours.

Entre-temps, les États-Unis d’Amérique ne se sont jamais décidés à prendre le relais de l’empire britannique. Malgré la suprématie économique et militaire qu’ils ont rapidement acquise, les Américains ont toujours hésité à construire un nouvel empire mondial. Ils ont préféré évangéliser le monde et promouvoir la démocratie et l’individualisme, sans jamais associer leur présence guerrière à la structure administrative d’un empire; les conséquences ont été négatives, comme en témoigne l’Irak d’après Saddam. Cependant, jusqu’à ce qu’un hypothétique Pax Hebraica, et donc le début d’un impérialisme israélien, émerge enfin au Moyen-Orient, il appartient aux Américains d’établir un empire (et donc la paix) dans la région. A présent que le président Trump a annoncé sa décision de retirer les troupes américaines de Syrie, il est d’autant moins probable que l’administration Trump respectera vraisemblablement le devoir impérialiste des États-Unis … à moins de retenir les services d’un nouveau Benjamin Disraeli [6].

En fin de compte, le minuscule État d’Israël peut être qualifié d’archéofuturiste en ce qu’il combine son goût pour la haute technologie contemporaine avec un renouveau anachronique de l’État-nation bourgeois du XIXe siècle, dans lequel se combinent l’égalité des droits (sous un régime démocratique). avec conscience raciale et homogénéité ethnique; et dans lequel la militarisation et l’idéal de la mort pour la patrie font contrepoids à l’appel à l’égoïsme économique dans le cadre d’une division élargie du travail. Par conséquent, Israël réussit à être à la fois une «nation en démarrage» et une société militarisée. Mais à proprement parler, la nation israélienne aura atteint sa masse d’archéofuturiste le jour où elle abandonnera le judaïsme rabbinique au profit d’un retour au judaïsme belliciste et sacerdotal de l’Ancien Testament. Comme le prévoyait presque Nietzsche, le sionisme pourrait bien être un premier pas dans la restauration de la tradition indo-européenne de l’ethos aristocratique-guerrier… ce dernier étant commun à l’Ancien Testament, au christianisme catholique et au paganisme gréco-romain.

La tradition indo-européenne, citant le regretté philosophe français Guillaume Faye, est aussi celle de l’innovation permanente; Mais sans que l’Ancien Testament ne rompe avec la conception cyclique du temps et souscrive à une anthropologie divine, le développement cognitif, technologique et économique de l’Europe n’aurait jamais atteint ce niveau. Un judaïsme archéofuturiste – revenant à la monarchie et à l’aristocratie guerrière de l’Ancien Testament, rétablissant une lignée de prêtres au service du temple de Jérusalem et renouant avec l’impitoyable peuple élu lorsqu’il conquit la terre promise ou défia l’empire romain la source d’énergie vitale dont les Israéliens ont besoin pour libérer leur pouvoir belliqueux et économique et catalyser leurs innovations cognitives et technologiques. Dans le contexte de ce judaïsme archéofuturiste, si le Messie attendu par les Juifs vient un jour, il sera probablement un seigneur de guerre les sauvant de la captivité temporelle de l’ONU et leur rendant la terre promise dans son intégralité – la Palestine purgée des colons jordaniens.

Les juifs moins influents que les musulmans en France car ces derniers sont plus nombreux, logique imparable selon les Jeunesses Lesquenistes.

La vocation archéofuturiste d’Israël devrait convaincre l’alt-right et tout nationalisme qui en découle d’adhérer au sionisme. Et aussi sûr qu’Israël devrait épouser un judaïsme archéofuturiste, nous croyons que la nation française – qui a si cruellement perdu sa culture aristocratique et guerrière et sa position de fille aînée de l’Église de Rome – a été le pionnier de la montée du nationalisme bourgeois du XIXe siècle – devrait se sentir solidaire d’Israël et épouser une version archéofuturiste du catholicisme. Plus précisément, il devrait revenir au catholicisme belliqueux et aryen de la Renaissance italienne. Nous défendons l’héroïsme des Borgia contre le cosmopolitisme socialiste et écologique du pape François; nous voulons voir un nouvel Alexandre VI et un nouveau César Borgia, assumant la responsabilité de l’Église, donnant une main forte aux vagues populistes, poursuivant les barbares, défendant l’idéal classique, la noble manière d’évaluer quoi que ce soit.

Le catholicisme judéophile et archéofuturiste que nous défendons pourrait donc être qualifié de catholicisme au sens de César Borgia, ce qui signifie: un catholicisme qui garde du judaïsme l’idée que l’homme est fait à l’image de Dieu et permettant ainsi le progrès), et donc mandatés pour achever la création (par le progrès scientifique, artistique, technologique et économique), mais aussi le refus de dévaluer la vie corporelle et le monde ici-bas; et en outre, un catholicisme qui retient de l’Évangile le message de la compassion, mais reste fidèle à l’ethos guerrier aristocratique de la Rome païenne, le virtù au sens de Machiavel et de Nietzsche.

[1] Par peuples proto-indo-européens, nous entendons les peuples de race blanche (c’est-à-dire européens-caucasoïdes) qui ont apporté leur domination (en établissant des aristocraties guerrières et sacerdotales), mais ont également étendu leur culture et leur langue, à travers le monde. Monde indo-européen via les migrations massives de la steppe pontique (située dans l’Ukraine contemporaine). Compte tenu de la source littéraire et archéologique, il semble que leur idéologie soit faustienne (c’est-à-dire chercher l’aventure et exploiter, mais aussi asservir la nature et jouir des biens de consommation permis par l’innovation dans l’industrie), et aristocratique à la guerre (une société d’aristocrates belliqueux qui se singularisent et obtiennent une reconnaissance proprement individuelle dans leurs exploits militaires et, par extension, cognitifs et artistiques). De plus, il semble que leur phénotype se caractérise par une nette prédominance de blonds aux yeux bleus.

Par aryen, on entend soit ce peuple proto-indo-européen (qui doit le qualificatif aryen, par synecdoche, à la branche qui a envahi l’Inde); ou l’homme blanc façonné par la culture du peuple proto-indo-européen: la race aryenne doit être comprise comme la combinaison d’une race de l’esprit avec une race biologique (et le socle de cette dernière constituant une condition préalable à la ancien). Jusqu’aux révolutions bourgeoises de l’après-1789, l’Occident était de culture aryenne. Les deux derniers siècles ont été marqués par une désaryanisation culturelle (et même biologique) de l’Ouest, ce qui revient à parler de la décadence des Aryens.

[2] Beaucoup de gens fantasment sur l’agenda cosmopolite prétendument intrinsèque aux élites juives de l’industrie cinématographique américaine: c’est pourtant le réalisateur juif Stanley Kubrick qui a dévoilé les rites sataniques et maçonniques de la classe du monde dans son dernier ouvrage Eyes Wide Shut. Mieux, c’est le juif Harrison Ford et le juif Steven Spielberg qui ont rendu hommage au mythe chrétien du graal dans Indiana Jones et la dernière croisade; et c’est le producteur juif Mark DiSalle qui a lancé ces odes à la sueur aryenne qui sont les premiers films de Jean-Claude Van Damme: Bloodsport et Kickboxer.

[3] Oswald Spengler a certainement eu l’heureuse initiative d’élaborer (ou du moins de populariser) l’expression «âme faustienne» afin de qualifier la mentalité occidentale. dont les invasions de la steppe pontique au quatrième millénaire avant Jésus-Christ ont libéré l’Europe de la gynécocratie spirituelle et instauré une culture fondée sur l’exploitation virile et la conquête de la nature; En conséquence, Spengler a stipulé une dichotomie importune entre l’âme ancienne (qu’il a appelée Apollonienne) et l’âme occidentale.

Le véritable déclin de l’homme occidental ne se résume pas, comme le croit le bien-pensant Spengler, à une fuite en avant dans la technique, mais à un affaiblissement (sinon une abdication) de l’âme faustienne – conjointement à l’abandon de l’aristocratique âme guerrière. Jusqu’aux révolutions bourgeoises de 1789, la civilisation occidentale a été lancée et façonnée par le peuple proto-indo-européen (le plus souvent appelé «aryens») et était à la fois faustienne (ou prométhéenne) et aristocratique-guerrière dans sa vision du monde – D’où les miracles séculaires dont l’Occident est responsable depuis l’époque des Romains et des Phéniciens. Bien que l’âme prométhéenne ait temporairement survécu à l’extinction de la culture guerrière aristocratique, l’Occident est aujourd’hui sur le point de céder aux idéologies ascétiques condamnant la jouissance consumériste et le capitalisme moderne à base organique et organique.

[4] La civilisation judéo-chrétienne est une expression impropre si on entend par elle une civilisation exclusivement façonnée par le christianisme hérité du judaïsme – et a fortiori une civilisation définie par l’égalité en droit et par la bourgeoisie (ainsi que par le multi-culturalisme) soi-disant hérité de (la version protestante du) christianisme.

La civilisation judéo-chrétienne est une expression appropriée tant qu’elle n’est pas utilisée pour nier le caractère aryen et aristocratique-guerrier de la civilisation occidentale, ni son caractère de civilisation de l’homme blanc: dans ces conditions, évoquer la “civilisation judéo-chrétienne” revient à évoquer la civilisation aryano-chrétienne de la race blanche, mais à attirer l’attention sur l’ethos guerrier aristocratique commun au judaïsme (de l’Ancien Testament) et à la tradition aryenne (qui se prolonge dans le christianisme de type catholique) ) et sur la mise à profit des mythes de l’Ancien Testament (y compris la figure de David) pour renforcer l’autorité des rois et des seigneurs dans la culture médiévale et de la Renaissance.

[5] De tous les peuples ayant habité ce monde, seules les populations caucaso-européennes et, dans une certaine mesure, les populations mongolo-asiatiques ont développé une mentalité économique prométhéenne, par laquelle nous entendons une mentalité se rapportant à l’exploitation industrielle, cognitive et technologique. progrès et plaisir consumériste.

Alors que la Chine était sur le point d’une révolution industrielle d’ici l’an 1000, celle-ci n’arriverait en Europe que quelques siècles plus tard. De nos jours, alors que l’Europe – en contradiction avec son éthique traditionnelle prométhéenne – démantèle son secteur nucléaire et son industrie de l’énergie fossile, la Chine et le Japon sont des pays basés sur la technoscience. En termes de comportements choisis par le groupe, il semble que le prométhéisme blanc soit un prométhéisme individualiste, alors que le prométhéisme «jaune» est holistique – les Chinois et les Japonais ayant toutefois été en mesure d’importer l’arsenal juridique d’une économie de marché efficace découvert par l’individualisme européen.

[6] Pour en savoir plus sur les forces et les limites du Raj britannique, ou sur les conséquences néfastes du refus des États-Unis d’établir un empire, nous invitons le lecteur à consulter notre conversation avec Deepak Lal sur L’homme et l’économie.

Bonus : “l’homosexualité n’est pas une maladie mentale” :

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