Hervé Lalin/Ryssen, idiot utile ou barbouze au service d’Israël ?
Spéciale dédicace à Eva Sayag dont le harcèlement répété m’a donné la motivation pour sortir cet article.
Avant-propos : si on ne peut pas être dans la tête de Ryssen pour savoir ce qu’il pense et est vraiment, on ne peut que déplorer ses allégeances répétées aux maîtres sionistes de l’opposition contrôlée à travers son parcours. Son soutien répété à des agents de subversion extrêmement nocifs, dont j’ai fait les frais aussi bien dans ma vie privée que dans mon intégrité physique, justifient parfaitement qu’à l’heure où il serait incarcéré, je me décharge publiquement des conséquences de ses actes.
Je ne saurais affirmer avec certitude si Ryssen est un véritable agent conscient ou un idiot utile, mais quelle différence cela peut-il bien faire ? On juge un arbre à ses fruits. Si Ryssen a pu produire une analyse parfois pertinente de la psychologie juive, ses manquements notamment quant son intégrité auront causé beaucoup de tort à la cause qu’il était censé défendre.
HERVÉ RYSSEN UN SAYAN (1) !
Article de Christophe Rossignol, publié sur l’édition N°223 de LA POLITIQUE Lettre d’Information des Cercles Nationalistes Français, éditée par Philippe Ploncard d’Assac. Les notes surlignées en jaune ainsi que les illustrations et vidéos ont été ajoutées par nous.
Ryssen, un parcours déconcertant sur lequel Philippe Ploncard d’Assac dit tout haut ce que d’aucuns pensent tout bas quant au cas Ryssen, devenu éminemment brûlant. Les interrogations que l’on peut légitimement porter à son endroit ne sont pas nouvelles, elles sont nombreuses et elles étaient devenues extrêmement lourdes dernièrement, car c’est la surprenante propagande effrénée qu’il a mené en faveur d’Eric Zemmour au sein d’une mouvance initialement judéosceptique qui dessilla les yeux de ceux qui étaient dubitatifs à son endroit.
Ce virage était prévu de longue date mais Ryssen n’a jamais réussi à vendre son packaging sioniste. Bouffi d’orgueil, il a cru que son image de radical fabriqué au cours de ces dernières années suffirait à faire passer le message sioniste qui sent la commande d’une officine étrangère dans la mouvance dissidente. Jusqu’à son inattendue incarcération récente !
Comment un militant apparemment nationaliste, auteur de 10 livres pleins de références a-t-il pu faire confiance à un agitateur israélite pratiquant, sioniste et likoudiste comme Eric Moïse Zemmour ? A 53 ans, consacrer tous ses efforts à soutenir un histrion, espèce que Ryssen prétendait combattre, comment en est il arrivé à contredire ce qu’il disait hier ? C’est la preuve que l’on a affaire à une personne défaillante, ou à ce que l’on appelle un agent.
D’où vient-il ? Selon la “storytelling” d’Hervé Ryssen, il serait issu des rangs de l’organisation communiste OCL, un mouvement très souterrain qui comporte autant de flics, d’agents des services, de barbouzes que de réels militants. L’origine trotskiste revendiquée, permet à Ryssen d’expliquer sa conversion au nationalisme par le prétendu électrochoc qu’il aurait ressenti quand il se rendit compte de la proportion considérable de militants de confession israélite qui évoluent dans ces sectes d’extrême-gauche. Or, personne, à ce jour, n’a témoigné sur cet étrange militant. Il n’y a rien sur ce passé. Soit ce passé est une pure invention ce qui permettrait de donner de la consistance à un CV politiquement vide, soit il est réel et alors de se demander ce que faisait réellement Ryssen dans ce panier de crabes que l’on ne trahit pas comme ça…
Était-il en mission, sinon, on ne s’explique pas comment un homme de 25 ans passe d’un coup de l’extrême-gauche mondialiste activiste, à l’extrême-droite raciste et antisémite. Toujours selon lui, il aurait intégré le Front National au début des années 90, mais personne ne l’y a jamais vu, avant qu’il n’intègre le MNR. Il est possible qu’il soit rentré dans la petite mouvance considérée comme “radicale” au début des années 2000, mais la seule chose dont on soit sûr est qu’il fit partie de la sulfureuse Unité Radicale, groupe fliqué à mort, dont il fut cadre sur Paris.
Ryssen est affilié depuis ses début au sein d’Unité Radicale au luciférien Christian Bouchet -ayant effectué son voyage de noce en Israël avec sa femme feu Ghislaine Zerbib –source-, une juive avec qui il aura un petit Gauthier Moïse Bouchet– et à d’autres barbouzes |Source].
En juin 1998, prenant acte de l’impossibilité de faire exister par lui-même un mouvement nationaliste-révolutionnaire et « anticapitaliste », les dirigeants du mouvement Nouvelle Résistance, dont Christian Bouchet, décident d’impulser une structure souple. Il s’agit de privilégier une stratégie d’entrisme dans la droite nationale. Le nouveau groupe agrège rapidement des militants venus de tous horizons : le Groupe union défense (GUD), plusieurs sections de l’Œuvre française et les débris du Parti nationaliste français et européen.[Source : page Wikipedia sur Unité Radicale]
C’était à l’époque où un certain Maxime Brunerie, en pleine déperdition, commettait son geste fou après de longs bavardages, or Ryssen le côtoyait sans qu’il ait jamais été inquiété pour le geste fou d’un militant pourtant prolixe. Le plus étrange est que Ryssen, cadre d’UR, ait pu se permettre seulement un mois et demi après le coup de feu de Maxime Brunerie et seulement quatre semaines après la dissolution d’Unité Radicale, d’entarter le curé de la Basilique Saint Denis avec une petite troupe de militants royalistes qui furent les seuls à être mis en garde à vue le soir même.
Comment un individu, Ryssen, d’Unité Radicale a-t-il pu oser un acte de violence après les événements du 14 juillet où Brunerie tenta de shooter Chirac, sans être inquiété ? Mais peut-être fallait-il déjà, sauver le soldat Ryssen, le récupérer et le relancer après la disparition d’Unité Radicale. Le coup de Saint-Denis impressionna beaucoup et à l’époque je m’étais dit que l’entarteur devait être cinglé car il agissait dans un climat très tendu. Personne n’aurait oser entarter une personnalité médiatique à ce moment-là, sauf, peut-être, pour celui qui avait pour mission de garder une influence sur la mouvance nationaliste, raciste.
Quelques jours après le coup d’éclat de Ryssen, ce fut le très ambigu Serge de Beketch, “ancien” Franc-maçon et sioniste forcené qui l’invita pour le promouvoir. Ce fut un moment de comédie où ils s’étonnaient que l’on ne puisse plus entarter tranquillement un “cureton”. Ryssen s’était offusqué qu’un paroissien ait osé lui courir après lors de son opération et qu’il avait dû demander de l’aide pour se débarrasser du gêneur en hurlant qu’il était “menacé” par un antisémite … !
Curieux ? Mais beaucoup moins quand on sait que l’entartage dont s’enorgueillissait Ryssen resta sans suite, le site ultrasioniste SOS Racailles ne trouvant rien à redire. Administré par l’escroc Joël-Michel Sambuis, le site est rédigé par l’américano-sioniste Denis Greslin ! Autre fait étrange, le suicide de Nicolas de Clippel par arme à feu dont l’origine n’a jamais été dévoilée [en fait elle lui avait été fournie par la fille de Lionel Rimoux, directeur de cabinet de Dominique Perben, ministre de la Justice à l’époque-source-NDR] . Il était l’un des jeunes qu’Hervé Ryssen cornaquait, sans qu’il soit inquété, pas plus que lors de la tentative de suicide de Florian Scheckler après sa garde à vue et sa volonté affichée de commettre “des attentats contre des Musulmans”…!
On comprend à la lumière de ces “accidents” que certains nationalistes se soient sentis en danger quand Ryssen réapparut avec ses livres “antisémites” dont la teneur ne correspondait effectivement pas à l’identité connue du personnage. Il put les vendre durant 15 ans sans se faire chopper sur Paris par la LDJ ou par des excités de la communauté. Aussi, en faire aujourd’hui un martyr alors qu’il a loué depuis trois ans le discours de Zemmour et qu’il était en perte de vitesse depuis que P. P. d’Assac l’ait démasqué, est la meilleure chose qui pouvait lui arriver ainsi qu’aux sionistes et autres “néo-cons” à la française.
Alors que Ryssen redevient une icône de la dissidence du fait de son emprisonnement, son discours suicidaire prônant l’alliance du zemmourisme et du nationalisme radical gagne en visibilité. Depuis De Gaulle on n’a pas vu un tel hold-up dans le camp nationaliste (2). Les émotions, la bêtise, la naïveté l’emportent plus que jamais sur les principes, la vérité et les intérêts véritables des Français. Cela dans l’ignorance que depuis trois ans, une certaine Eva Sayag, zemmourienne, ancienne de Tsahal, ancienne étudiante en histoire hébraïque (auteur d’un mémoire sur l’histoire de la Ménorah), s’occupe de la modération et gère certains de ses comptes….
La drôle d’amie de Ryssenhttps://t.co/H7IJlnttTa
— Fifi le BG // ODDR (@PhilipdDaFourth) January 31, 2021
Christophe Rossignol.
(1) Le mot hébreu sayan, au pluriel sayanim : un collaborateur du Mossad.
(2) P. P. d’Assac. Charles De Gaulle de la légende à la réalité. S.P.P.
Hervé Ryssen de SOS Racailles à la révolte des Gilets Jaunes
La note de bas de page de l’article du site antifa Reflexes, à propos de la mouvance national-sioniste dans laquelle Hervé Ryssen évoluait au début des années 2000, nous donne un détail intéressant sur le ministre de la Justice de l’époque, Dominique Perben, dont les filles de son directeur de cabinet, Lionel Rimoux, faisaient partie de l’entourage de Ryssen et avaient procuré l”arme à feu et les munitions avec lesquelles Nicolas de Clippel se serait suicidé :
Dominique Perben, sous des dehors badins, semble avoir de très bonnes relations avec les milieux droitiers, qu’ils soient catholiques ou non. En février 2003, Le Canard Enchaîné rapportait que le ministre avait assisté le 1er février de la même année à une convention à huis-clos du MIL, mouvement fondé après la dissolution du SAC en 1981. (Cf Libération – 12 février 2003). Décidemment notre ministre est bien mal entouré… [source]
En complément, Nicolas de Clippel se sentait isolé et peu soutenu. Il s’est curieusement “suicidé” avant d’être entendu par la police au sujet de l’opération d’entartage. Un suicide qui arrange quand même. Il avait 16 ans. pic.twitter.com/kYdvccKPkl
— Themis5 (@Themis510) January 31, 2021
Or il s’avère qu’effectivement Hervé Ryssen soit lié à l’ancien SAC -Service d’Action Civique, une milice gaulliste, dissoute par François Mitterand après la Tuerie d’Auriol, liée à toutes sortes de malversations notamment la French Connection avant d’être reconvertie en partie dans le DPS, service de sécurité du Front National. Ryssen en est lié par ses accointances avec Frédéric Jamet ainsi que par sa collaboration passée avec Joël-Michel Sambuis, tous deux étant d’anciens membres du SAC.
Le site SOS Racaille publia la revendication de l’entartage du curé par le groupuscule Unité Amicale de Lalin/Ryssen, ceci est une preuve de la collusion de l’écrivain avec la mouvance d’extrême-droite sioniste autour du site SOS Racaille ! Le site SOS Racaille était hébergé par Liberty-Web. Qualifié de “nébuleuse raciste”, Liberty-web hébergeait également le site extrémiste ultra-sioniste d’Alexandre Attali, Amisraelhai.org ou aipj.net, un site s’étant “notamment distingué par ses appels virulents contre les «juifs collabos» soutenant des thèses “pro-Palestine”. Ryssen est d’ailleurs partout fourré avec Frédéric Jamet, une barbouze auto-proclamée, agent provocateur bien connu des manifestations parisiennes, ayant revendiqué ma lâche agression en bande organisée, survenue lors d’une manifestation à laquelle Ryssen m’avait invité avec insistance :
Le drôle d’ami de Ryssen https://t.co/IyH960RAhc
— Fifi le BG // ODDR (@PhilipdDaFourth) January 31, 202
Ou comment un Ryssen, qui se savait recherché pour effectuer plusieurs peines de prison, a pu se frotter aux policiers en les narguant ostensiblement et devant les caméras, toujours aux côtés de la barbouze Frédéric Jamet :
Tout ce cinéma servant in fine à stigmatiser le mouvement des Gilets Jaunes, se voulant apolitique et populaire, pour le faire passer avec d’autres agents provocateurs comme Dieudonné, pour une sédition antisémite :
Hervé Ryssen, ami et promoteur des taupes sionistes de la Chiassidence
Ryssen est d’ailleurs redevenu le soutien de la clique sioniste Conversano/Merkado (Yannick Moïse Mercier)/Mineo, ayant soutenu Conversano à ses débuts, avant la petite comédie qu’ils nous ont joué en 2017, semblant se brouiller publiquement. Ryssen ne pouvant décemment pas continuer à soutenir les agresseurs de Jérome Bourbon que nous avions dénoncés. Quelques années après, Ryssen soutiendrait carrément Mila, agent provocateur proche de Charlie Hebdo. Ryssen a également soutenu l’actrice porno juive de dernière zone Electre et promu le projet de camp de vacances en Russie avec les putes de Jean-Marie Corda :
Autant dire que si Ryssen ne fait pas exprès de soutenir les sionistes, il en tient une couche phénoménale.