Le sombre parcours de Gérard Depardieu : sorcellerie, prostitution pédocriminelle, viols, tournantes …
« Il m’avait dit : ‘Les filles, à Châteauroux, on les baisait à quinze ou seize’. Et moi je lui avait dit : ‘Mais elles étaient d’accord ?’ et il m’avait répondu : ‘Au début non, mais après oui’. »
« La plupart des acteurs et des metteurs en scène aujourd’hui n’ont rien vécu ; ils ne connaissent même pas Gilles de Rais […]. Il n’y a plus de culture, merde. C’est pour ça que vous avez le cinéma qui vous ressemble. Et surtout les acteurs, qui sont vides de tout. Merde alors, un peu de tenue ! »
Gérard Depardieu, fils et petit-fils de sorcières du Berry devenu violeur en série
Gérard Depardieu a eu un fils, Guillaume, malheureusement décédé en raison de graves problèmes de santé. Celui qui se plaignait d’avoir été négligé par son père, peu de temps avant sa mort a révélé un secret de famille : la mère et la grand-mère de son père Gérard étaient des sorcières :
“Dans notre famille, nous avons tous appris à mourir noblement. Je voudrais dire quelque chose. Du côté paternel, ma grand-mère et mon arrière-grand-mère étaient des sorcières. Une sorcière blanche et une sorcière noire. Papa n’a pas gardé le contact avec eux, il est parti de la maison à 14 ans, comme moi, bizarrement. Il est monté dans un train pour Paris et c’était fini. Puis il a rencontré maman et m’a fait, moi. Le jour de ma naissance, ma grand-mère et mon arrière-grand-mère ont dit: C’est lui!?” Lui, quoi? Un sorcier? Il acquiesce d’un regard. “Mais j’ai refusé. J’ai choisi la musique. Il vaut mieux chanter qu’être sorcier. Je n’aime pas jouer avec le sort. Donnez-moi un quart d’heure, à n’importe quel coin de rue de ce monde, et je fais 200 euros en chantant. J’ai vécu comme ça huit ans de suite.”
[Source : Le JDD]
Un aspect méconnu de sa personnalité est le penchant de Gérard Depardieu pour l’occultisme qui’il a hérité de cette mère ayant tenté de l’avorter avec des aiguilles à tricoter –Gérard ne lui en voulant pas et lui donnant même raison ! On peut avoir un aperçu pour ce penchant à travers la passion de l’acteur pour Gilles de Rais -sataniste sodomite et tueur en série médiéval- dans cette vidéo réalisée en 1989 en compagnie de Jean Carmet, dans le domaine viticole que Gérard Depardieu avait acheté à Tigné dans le Maine-et-Loire :
Les amis en visitent la chapelle, Depardieu s’incline sur l’autel et en hume le marbre longuement, se redresse, marche quelques pas, se fige et d’une voix d’outre-tombe prononce ces paroles mystérieuses : “Le drame … Faut jamais entendre ça, jamais !” se dirige ensuite vers la vitre ouverte tout en continuant à inspirer fortement, regarde on ne sait quoi vers l’extérieur “Gilles de Rais ! Tu vois, Gilles de Rais !” Jean Carmet le rejoint, regarde à la fenêtre et dit “Tu l’as rêvé que Gilles de Rais soit venu ici.” Depardieu se fixe alors face à l’autel et bredouille des mots : “Devant … devant tout ça, qu’est-ce que je vais faire … Ce n’est pas tellement la perdition qui nous intéresse, c’est l’intérêt de la perdition. Ce qu’il y a de plus intéressant c’est de … c’est d’aller vers ces âmes sans fond, idiotes, idiotes !” Plus tard, fumant une cigarette, Depardieu repart dans son monologue : “Un homme comme Gilles de Rais, tu vois toi tu ne connais pas Gilles de Rais, c’est un homme quand même qui a trucidé, baisé, enamouré comme disent les italiens, de tout, plein de gens, plein d’enfants, il en a ouvert les ventres … Ils en baisaient … Idi Amin Dada, l’anthr… c’est au delà de l’anthropophagie, je trouve ça vraiment magnifique.“
Gérard Depardieu, une enfance à se prostituer à des pédocriminels
C’est un témoignage entier et bouleversant que livre Gérard Depardieu dans Ça s’est passé comme ça, son autobiographie. L’acteur s’y confie sans fausse pudeur sur son enfance, racontant notamment comment sa mère avait voulu le supprimer peu avant sa naissance. « J’ai survécu aux aiguilles à tricoter de ma mère, expliquait-il. Manque de bol, Dieu a décidé que je vive. »
Touchant, l’acteur raconte combien il s’est élevé quasiment seul, entre une mère débordée et un père alcoolique. Gamin solitaire, Gérard Depardieu traîne dans les rues au milieu d’adultes qui repèrent très vite en lui une proie.
Bravache et pragmatique, il décide d’en profiter. « J’apprends de mieux en mieux à sourire pour montrer aux autres comme je suis confiant, comme je n’ai pas peur, se souvient-il. Quand des mecs à la Lino Ventura, des camionneurs, des forains me proposent de me sucer la bite, je réponds pognon, je dis mon prix. J’ai dix ans mais j’en fais quinze. (…) Que je plais aux homosexuels, je l’ai su très jeune, à dix, douze ans, quand des types qui me prenaient en stop me proposaient de me sucer la bite et que je leur réclamais du pognon. »
Une habitude qui permettre à Gérard Depardieu de faire la carrière que le monde entier lui connait après qu’un “chasseur de talent gay” l’ait pris sous sa protection, si on ose dire, et lui paya ses cours d’arts dramatiques !
Gérard Depardieu a passé son adolescence dans une base américaine de l’OTAN à Châteauroux
Des éléments de sa biographie nous apprennent qu’à l’époque où un Depardieu adolescent se prostituait auprès d’hommes adultes, lui et son frère ont réussi, on ne sait comment, à gagner la sympathie de militaires américains de la base de Châteauroux qu’il y avait à l’époque.
Les GI lui permettaient d’entrer dans la base en se cachant dans le coffre de leurs voitures. Encore mineur, Gérard fréquentait le strip-club de la base où il magouillait.
On apprend aussi qu’à l’époque Depardieu subissait l’humiliation de voir les soldats américains ramasser les petites françaises à leur place et de la frustration sexuelle qui en résultait …
Gérard Depardieu adepte de tournantes avec sa bande de voyous
“Depardieu faisait partie d’une bande qui, disait-on, se comportait de manière terrible”
Pour remédier à la misère sexuelle, Gérard deviendra un violeur en série avec sa bande. En effet, l’acteur aura la maladresse de se confier un peu trop auprès de journalistes sur sa jeunesse tumultueuse :
“C’est mon pote Jackie -il avait 16 ou 17 ans- qui m’a embarqué sur mon premier viol. Une chose en menant une autre, et hop ! C’était fait […] C’était normal. Après ça, j’ai eu plein de viols, trop pour les compter. Mais il n’y avait rien de mal à cela. Les filles voulaient être violées. Enfin il ne s’agissait pas vraiment de viol. C’est juste l’histoire d’une fille qui se met dans une situation qui lui plait.”
Une polémique éclatera même alors que Gérard était en lice pour l’obtention d’un Oscar pour sa performance dans Cyrano de Bergerac, une erreur de traduction aurait laissé penser au lecteur américain que Depardieu avait affirmé avoir participé à son premier viol quand il avait 9 ans. Gérard aurait simplement affirmé y avoir assisté. En anglais assisted est un faux ami qui signifie participer. Bien que la journaliste affirme que dans un premier temps l’acteur aurait assumé en bloc ses déclarations. Peu importe, l’anecdote en dit suffisamment long sur l’environnement malsain dans lequel Depardieu a grandi. Au moment de la polémique, l’acteur pouvait compter sur le soutien de son ami et ministre de la Culture Jack Lang, “tu as tout mon soutien” lui assura-t-il. [Source]
J’ai mal pour ce grand acteur cela doit être lourd sur sa conscience je m’étonne qu’il ne soit pas devenu fou parceque quelques parts c’était une lutte permanente entre les êtres de l’ombre et lui-même il devait vivre dans l’ombre comme tous les grands sorciers de ce monde mais il a choisi la fausse Lumière. Je souhaite qu’il puisse sauver son âme. Qui suis-je pour juger.
Il ne peut pas sauver son âme sans le pardon de ses victimes….
Lombard, vous avez tort. Le seul pardon requis c’est celui du Christ, et on l’obtient en se confessant. S’il était nécessaire d’obtenir le pardon d’autrui pour être sauvé, personne ou presque ne le serait.
Depardieu a voulu se tisser une legende noire . L’histoire de sa jeunesse est plus terne que toutes ces péripéties sensationnelles. Petits trafics ,copinage avec un petit Caïd local , errances dans la petite ville de Chateauroux ,fréquentation des américains, frictions avec tel ou tel Oui. Mais surtout l’envie de s’en sortir ,de voir ailleurs .Rôle important dans son destin du frère Alain et du Castelroussin Michel Pilorgé.