Le Juif dans la vie politique et sociale
Zemmour, BHL, Finkielkraut, Houellebecq, pour ne citer que ceux là, comment ils interagissent entre eux avec le CRIF et autres organisations sionistes ou FM pour mener tout le monde en bateau.
Et comme tout est entre leurs mains, tout ce qu’ils font passe comme une lettre à la poste.– La détention par eux ou leurs esclaves francs-maçons des leviers de commande
– L’accaparement de la puissance politique, grâce aux leviers de commande.
Les leviers de commande
– les institutions, toutes les organisations ou toutes les associations.
a) Les journaux
S’il y a bien un moyen de propagande c’est bien la presse.
b) Agences de presse
Un coup de téléphone de Havas suffit pour provoquer une campagne de presse à droite ou à gauche, une panique en bourse, un mouvement public « spontané », à déclencher une émeute, à envenimer une situation diplomatique, à renverser un gouvernement »
c) La Radio
Excellent et moderne moyen de propagande, la radio avait été systématiquement conquise et accaparée par les Juifs.
d) Les Banques
Elles étaient presque toutes juives ; Mais le fait est si connu qu’il est inutile d’insister.
e) La Police
Les responsables sont juifs, et les agents sont français ce sont des Français qui se heurtent aux Français, parfois s’entretuent, pendant que les Juifs, cause de ces malheurs, ne risquent rien du tout.
f) La Magistrature
Elle est extrêmement importante, comme levier de commande, pour un groupe ethnique qui tire de la forfaiture le plus clair de ses revenus.
g) Les sociétés influentes, secrètes ou non
Les Juifs ont créé de toutes pièces ou se sont infiltrés dans certaines sociétés susceptibles de servir leurs desseins.
La plus importante de toute est la Maçonnerie, qui est juive de A à Z. La première obédience de la Franc-Maçonnerie moderne fut fondée en 1917 par le socinien James Anderson, secondé et inspiré par des Juifs Kabbalistes :
« Il est certain qu’il y eut des Juifs au berceau de la Franc-Maçonnerie ; Certains rites prouvent que c’étaient des Juifs Kabbalistes » (Juif Bernard Lazare, dans son livre « L’Antisémitisme et ses causes », p. 340).
Cette obédience était représentée par le Grand Orient de France, 16, rue Cadet, à Paris.
Le Juif portugais Martinez de Pascalis créa l’ordre des Martinistes.
Le Juif Cagliostro (Joseph Balsamo) a fondé le rite Egyptien.
L’envoyé des Illuminés de Bavière en France fut le Juif Wolff, qui se faisait appeler le Comte de Saint-Germain.
Le rite Ecossais, qui fut établi à la fin du XVIIIe siècle, le fut par un véritable consistoire Israélite : Isaac Long, John Mitchell, Hayes, Myers, Busch, Samuel Moller, Abraham Cardoso, Barend Spitzer, Zadoc, Bernhaïm et Moïse Cahen.
Le rite Ecossais était représenté par la Grande Loge de France, 8, rue de Puteaux, à Paris.
L’ordre des Oad Fellows, très répandu en Amérique du Nord, fut créé en 1814 par le Juif Moïse Hobbroock. A la même époque, les frères Béddarides, Juifs, fondent le rite de Misraïm.
En 1838, le Juif Lemmi crée en Italie le rite de Memphis.
En 1848, à New-York, était constituée une obédience maçonnique réservée exclusivement aux Juifs (ce racisme n’est pourtant pas en accord avec les théories officielles des Loges), l’Ordre des B’naï B’rith, dont le siège était à Paris, rue de la Boëtie.
Ces faits seront confirmés lumineusement par quelques citations :
« Le premier acte des Francs-Maçons sera de glorifier la race juive, qui a gardé inaltéré le dépôt divin de la science (??). Alors ils s’appuieront sur elle pour effacer les frontières » (Revue Maçonnique Le Symbolisme, 1926).
« La Franc-Maçonnerie est une institution juive dont l’histoire, les degrés, les rites, les mots de passe et les explications sont juifs du commencement à la fin » (Rabbin Isaac Wise, dans The Israëlite of America, du 3 Août 1886).
« L’esprit de la Franc-Maçonnerie, c’est l’esprit du Judaïsme dans ses croyances les plus fondamentales ;
Ce sont ses idées, son langage, c’est presque son organisation » (La Vérité Israélite, 1861, Tome V, P. 74).
« Chaque loge est, et doit être, un symbole du temple juif ; Chaque maître dans son fauteuil, un représentant du roi juif ; Chaque Franc-Maçon, un représentant du travailleur juif » (Revue Encyclopedia of Free-Masonry (Encyclopédie de la Franc-Maçonnerie), 1906).
« Les B’naï B’rith ne sont qu’un pis-aller. Partout où la Maçonnerie peut avouer sans danger qu’elle est juive, dans sa nature comme dans ses buts, les loges ordinaires suffisent à la tâche » (B’naï B’rith Magasin, vol. 43, p.8).
« Notre rite est juif du commencement à la fin ; Le public devrait conclure que nous avons des liens directs avec la Juiverie » (Latomia, publication maçonnique, 7 Août 1928, citant le Juif Rudolf Klein).
« Il s’agit moins d’une lutte pour les intérêts de l’humanité qu’une lutte pour les intérêts et la domination du judaïsme» (Juif et Maçon Findel, dans son livre Die Juden als Freimaurer).
« La Franc-Maçonnerie est basée sur le Judaïsme. Eliminez les enseignements juifs du rituel maçonnique, et que reste t’il ?» (Journal juif The Jewish Tribune, New- York, 28 Octobre 1927, vol. 97, N° 18).
On remarquait encore, comme société utile aux Juifs, outre la Lica (Ligue Internationale Contre l’Antisémitisme), spécifiquement juive et dirigée par un certain Lifschitz, dit Bernard Lecache, la Ligue des Droits de l’Homme.
La Ligue des Droits de l’Homme était, en France, avant 1940, dirigée par le Juif de Hongrie Victor Basch, président ; Le Juif Roger Picard, vice-président ; Le Juif Emile Kahn, secrétaire général. Faisaient partie du comité central : Les Juifs Léon Brunschwigg, Odette-Renée Bloch, Fernand Corcos, Samuel Grumback, Hadamar, J. Kayser, Ruysen, A. Philipp, M. Mailhaud, A. Gougenheim, Henri Schmidt, H. Sée, Seignobos.
Grâce à toutes ces sociétés, les Juifs répandent pernicieusement, encore aujourd’hui, leurs mots d’ordre ou leurs points de vue, et arrivent ainsi à domestiquer l’opinion publique pour leur plus grand profit.