La Symbolique du Dragon Rouge
Pour comprendre la symbolique de l’Ordre Du Dragon Rouge, il faut commencer par regarder à l’intérieur de soi, dans notre cerveau reptilien ! Cette partie de notre cerveau comprend le tronc cérébral, le cerveau médian, les ganglions de base et le système d’activation du réseau des fibres nerveuses responsables de la coordination des fonctions de base. Siège de l’instinct considéré comme la partie la plus primitive du cortex cérébral dont il est situé à la base, le cerveau reptilien régit nos besoins les plus naturels et indispensables à notre survie, c’est notre part animale, primitive.
Pour essentialiser le concept du péché de manière rationnelle, l’on peut dire qu’il est l’expression de l’instinct perverti par une intelligence dévoyée.
C’est le Serpent, “le plus rusé des animaux” symbole de la Connaissance, qui apprend à Eve puis à Adam à “devenir comme Dieu” en lui désobéissant, consommant le Fruit Défendu, ils font l’expérience du mal et de ses conséquences : les voilà libres et conscients, déjà dotés d’une âme éternelle, ils sont alors encore plus semblables à l’image de leur Divin Créateur par une ironie glaçante … et à cause du Serpent. Nous aurons l’occasion d’approfondir la symbolique reptilienne de la Sainte Bible dans un prochain article.
Le péché est l’expression de l’instinct mal guidé par une intelligence dévoyée, ainsi les 7 péchés capitaux ne sont que la corruption des instincts animaux de l’homme par son intelligence depuis la Chute, lorsque Adam et Eve furent chassés d’Eden.
Du besoin de se défendre de l’agression peut naître la Colère agressivité qui nous fait blesser l’autre.
S’il est naturel pour l’homme de veiller à ne manquer de rien et de veiller à pourvoir les siens dans tout ce dont ils ont besoin, mais de la corruption de ce sentiment peut naître l’Avarice.
Il est naturel aussi d’imiter l’autre, de s’inspirer de son exemple et d’apprendre à travers lui. Vouloir l’imiter et de le surpasser est sain, tant qu’en nous ne naît pas l’Envie malsaine, la jalousie qui nous fait haïr l’autre d’avoir ce que nous ne possédons pas.
Manger pour vivre est bon et indispensable, vivre pour manger est un vice qu’on appelle la Gourmandise et dégrade le corps.
Tout comme il faut aussi savoir se reposer suffisamment pour reprendre des forces, abuser du sommeil et de l’oisiveté, c’est ce qu’on appelle le péché de Paresse.
Si on doit “aimer son prochain comme soi-même” c’est bien qu’il faut s’aimer-soi et que cela est naturel, si on n’a pas l’estime de soi alors on se laisse mourir, mais avoir un trop-plein d’amour propre nous sépare aussi de notre nature et peut nous transformer en un être des plus vils, cela s’appelle l’Orgueil.
Enfin, s’il est bon pour l’homme et la femme à la fois de se donner du plaisir et bien sur de se reproduire afin de renouveler les générations, le sexe pour le sexe est un vice qui se nomme Luxure et dont tout le monde ou presque aura pu constater les effets pervers, à titre individuel, dans notre société pornographique.
Est-ce une coïncidence alors si dans le symbolisme chrétien le mal terrassé par l’ange ou le saint est représenté sous la forme du dragon, créature reptilienne ? Nous ne le pensons pas et nous voyons dans l’allégorie une représentation du combat intérieur des forces primitives, animales et terrestres qui font partie de nous contre notre âme, notre partie spirituelle qui survivra à notre corps, représentée par l’ange triomphant sur la bête.
Toute âme qui entre au paradis est un chevalier qui a su terrasser son propre dragon intérieur, par le secours des Forces du Ciel.
C’est bien ce que nous invitons chacun à faire : ne pas imiter ces imbéciles qui s’adonnent à l’activisme, pensant sauver le monde par leurs actions stupides alors qu’ils ne se soucient même pas de se sauver eux-mêmes, charité bien ordonnée commence par soi-même, et si le mal est si répandu dans le monde c’est bien qu’il possède les êtres qui en sont les acteurs. Comment comptes-tu sauver le monde du mal qui le ronge si tu n’es même pas capable au moins d’essayer de t’en défaire ?
Le dragon une fois soumis à la croix, alors les forces qu’il représente sont mises aux services du bien, le mal est retourné à l’envoyeur et la puissance animale qui est notre est décuplée à son maximum, d’une manière surnaturelle : c’est le berserk chrétien des quelques centaines de croisés affamés et épuisés en Terre Sainte, voyant les anges combattre à leurs côtés alors qu’ils massacrent par milliers les hommes de Saladin à Montgisard.
L’Ordre du Dragon, autrefois, était un ordre de chevalerie réunissant les seigneurs chrétiens, catholiques et orthodoxes d’Europe Centrale et Orientale, ceux qui sauvèrent l’Europe contre les Ottomans belliqueux et dont Vlad Tepes fut l’un des illustres Grands Maîtres, mais aussi Jan Hunyadi ou Sigismond de Luxembourg, son fondateur. C’est l’unité des européens réunis sous la bannière du Christ Roy contre ses ennemis, un espoir porté par nous autres qui est également représenté par notre emblème.
Enfin la couleur, rouge, du dragon est aussi celle du Peuple Breton, que l’on retrouve sur le drapeau des Gallois mais aussi en Bretagne Armoricaine, par exemple sur les armoiries du Trégor (Bro Deger), on dit que la wyvern rouge est le symbole de Saint Tugdual, l’un des septs druides chrétiens fondateurs de la Bretagne, saint patron du Trégor auquel nous dédions un pèlerinage entre Perros-Guirec et Tréguier, le temps d’une journée, jusqu’à la cathédrale Saint Tugdual, là où le dragon que terrasse Saint Michel y est représenté avec un bonnet phrygien ! Symbole du paganisme républicain emprunté au culte de Mythra.
Mais la présence du dragon rouge est antérieure à Saint Tugdual, précise l’historien lannionnais Jean-Jacques Monnier. Du temps des armées romaines, les soldats venus de ce qu’on appelle l’Iran (les Scythes, ancêtres des Francs !-NDR) utilisaient des dragons rouges qui, brandis dans le vent, faisaient du bruit et peur à l’ennemi. Ces soldats ont été en contact avec les soldats bretons de Grande-Bretagne de l’armée romaine. Ces derniers ont repris ce symbole quand, plus tard, ils ont combattu les tribus germaniques, les Angles et les Saxons. (source)
On retrouve par ailleurs cette symbolique dans le songe que fit Merlin l’Enchanteur, rêvant de deux dragons s’entre-tuant, l’un rouge et l’autre blanc. Le dragon blanc étant le frère maudit saxon, ennemi historique de notre peuple : Francs et Bretons fiers de leur baptême contre Saxons hostiles et récalcitrants au Christ, ensuite rejeté sournoisement : depuis l’époque de Verden, la Shoah pagano-nordique, quand notre bon roy Charlemagne, lassé des éternels parjures des païens qui n’avaient de cesse de trahir les accords de paix, décide d’en finir une fois pour toute et en décapite 5000 pour les calmer un bon coup, Vlad Tepes avait d’ailleurs lui aussi empalé bon nombre de saxons à son époque …
Vint au 16è siècle la réforme du germain rosicrucien Luther et le schisme anglican d’Henry VIII, prélude ancienne à l’apparition outre-Rhin des sectes néo-païennes ayant engendré le nazisme dont le leader ne tarissait jamais de sa haine toute maçonnique contre la France et contre la chrétienté :
On peut objecter, à juste titre, que ces deux précédents historiques sont spécifiquement juifs — et même que ce genre d’intolérance et de fanatismesont foncièrement juifs. Ceci peut être mille fois vrai et on peut aussi le déplorer profondément ; on peut constater, avec une inquiétude qui n’est que trop justifiée, que l’apparition de cette doctrine dans l’histoire de l’humanité y introduisait quelque chose que l’on ne connaissait pas encore ; mais cela ne sert de rien et il s’agit maintenant d’un état de fait. Les hommes qui veulent sortir notre peuple allemand de sa situation actuelle, n’ont pas à se casser la tête pour imaginer combien ce serait beau si telle ou telle chose n’existait pas ; ils doivent rechercher et déterminer comment en peut supprimer ce qui en fait est donné. Mais une doctrine pleine de la plus infernale intolérance ne sera brisée que par la doctrine qui lui opposera le même esprit, qui luttera avec la même âpre volonté et qui, par surcroît, portera en elle-même une pensée nouvelle pure et absolument conforme à la vérité.
Chacun peut aujourd’hui constater à regret que, dans le monde antique, beaucoup plus libre que le nôtre, le christianisme a introduit avec lui la première terreur spirituelle ; mais il ne peut rien au fait que, depuis cette époque, le monde vit sous le signe et sous la domination de cette contrainte. Et on ne brise la contrainte que par la contrainte, la terreur par la terreur. C’est alors seulement que l’on peut instituer un nouveau régime.
Mein Kampf, Nouvelles éditions latines, Paris, 1979, p.452
Les disciples d’Hitler étant l’antifrance saxonne dans nos rangs nationalistes et la gnose naturaliste dans nos églises, le venin du dragon blanc répandu par ces héritiers des païens saxons, mais aussi des cathares et des bogomiles que nous avons autrefois occis, en des temps plus glorieux. Donc notre dragon est rouge en opposition à leur dragon qui est blanc, d’ailleurs nous opposons à l’orgueil de la couleur qui est leur foi païenne, basée sur les élucubrations des sorciers et pseudo-scientifiques tarés du XIXè siècle, la connaissance savante et mystique de notre sang européen que nous versons fièrement en sacrifice par l’imitation de Notre Seigneur Jésus Christ. Rouge contre blanc, la couleur n’est rien sans le sang !
Enfin, il nous paraissait naturel de porter haut l’étendard du dragon, nos ancêtres les plus lointains étaient appelés les Serpents, à l’instar de nos druides dont les cultes primordiaux préfiguraient l’avènement du Christianisme. De leur devise nous avons fait notre : Y Gwir Yn Erbin Y Bid (la Vérité contre le Monde) !