Coronavirus : l’arnaque du test de dépistage au Covid-19 démontrée [VIDEO]

“Une personne infectée sur deux ou trois est détectée mais un grand nombre de personnes en bonne santé sont classées à tort infectées par le Covid-19 […] Cela induit dans les statistiques un nombre beaucoup trop élevé de personnes infectées”

En l’absence d’un diagnostic différentiel, on ne peut pas affirmer de quel infection respiratoire est atteint un malade qui en présenterait les symptômes.

C’est la raison pour laquelle la plupart des “malades du Coronavirus” sont diagnostiqués sur la foi d’un examen standard et imprécis, confondant le Covid-19 avec des infections respiratoires différentes.

Les symptômes du Coronavirus se confondent avec d’autres infections respiratoires plus ou moins graves, telles que le Syndrome respiratoire du Moyen-Orient (MERS), le Syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS), la Grippe, la Pneumonie, le Rhume, la Tuberculose, les Grippes Aviaires ou autres (Source).

Pour établir un diagnostic différentiel, les médecins appliquent un protocole nommé RT-PCR, qui est censé leur permettre de déterminer si un médecin est atteint du Covid-19 ou Maladie à Coronavirus.

Or il s’avère même que le PCR n’est pas fiable du tout : certains malades réellement atteints du Coronavirus seraient dépistés négatifs, d’autres qui n’en seraient pas atteint se verraient attribuer un diagnostic positif. Autrement dit il est impossible de se fier aux chiffres diffusés par les médias relatifs aux nombre de personnes infectées dans le monde !

Si la disproportion des moyens mis en oeuvre au regarde de la bénignité de cette maladie n’était pas intrigante et quelque peu inquiétante, il y aurait de quoi se rouler par terre … “99% des morts du Coronavirus souffraient d’autres maladies (diabètes, hypertension et insuffisance cardiaques)”.

Lu sur le site du Gouvernement, qui admet qu’ils ne dépistent pas le Coronavirus le plus souvent et traitent les symptômes sans diagnostic différentiel, donc il peut s’agir du mers, sras, rhume, grippe, tuberculose :

Pourquoi ne plus tester tous les patients avec symptômes ?

Devant l’augmentation du nombre de cas, la recherche systématique de contacts est devenue inutile. Tester tous les patients présentant des symptômes conduirait à saturer la filière de dépistage alors que pour les cas graves et les structures collectives de personnes fragiles, le dépistage permet toujours de prendre des mesures immédiates (par exemple pour prévenir la diffusion du virus au sein d’un hôpital lorsqu’un patient est hospitalisé). Le décompte des cas ne se fonde plus uniquement sur les cas diagnostiqués biologiquement, mais sur des estimations épidémiologiques, comme cela se fait pour la grippe tous les ans (nombre de consultations, nombre de cas graves ou de décès…). Ces modifications reflètent donc une volonté d’adapter la réponse en fonction de l’évolution de la propagation du coronavirus dans les différents territoires.

Comment se passent les tests ?  Pour les populations concernées (cf question précédente), il y a plusieurs possibilités de tests : Pour les patients diagnostiqués à l’hôpital ou avec signes de gravité, ces tests seront réalisés dans les hôpitaux.   Pour les autres patients répondants aux critères de dépistage, il est possible d’être testé dans les laboratoires en ville, après contact du médecin traitant et prescription médicale. Les prélèvements seront réalisés à domicile. Il ne faut en aucun cas se rendre directement dans les laboratoires de biologie, mais les appeler au préalable, et seulement si on a une prescription médicale, car il existe un grand risque de contaminer d’autres malades, notamment les plus fragiles.  Concernant les patients non testés,ils seront diagnostiqués COVID-19 sur signes cliniques par un médecin. Les modalités de prise en charge médicale entre patients testés ou non restent identiques.

Source : Gouvernement.fr

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