Tentative ou assassinat : de Trump à Kirk, d’un rituel ou d’une psyop à l’autre -François-Xavier Rochette
Le complotisme est-il lui-même une théorie du complot ?
Depuis le très mystérieux, le très étrange, pour ne pas dire le très bizarre « attentat » perpétré contre l’ultra-sioniste Donald Trump (qui aura eu droit, à 78 ans, à un piercing gratuit à son oreille droite), tout le monde est en ébullition. Le monde de la presse excité comme une puce sous cocaïne par cette affaire spectaculaire, évidemment. Mais le public également et, paradoxalement, pas uniquement le public américain du camp républicain, mais, en particulier, la frange états-unienne d’opinion démocrate, qui n’apprécie que modérément cette énième séquence théâtrale écrite par le dégénéré Oncle Sam.

Il est dommage, au demeurant, que les chercheurs de vérité qui ont saisi cette nouvelle entourloupette, ne se soient pas davantage penchés sur la symbolique de « l’oreille cassée » que nous a offert ce nouveau chapitre trumpien. Ni une facétie, ni une agression aux répercussions hasardeuses, la mise en scène de l’appareil auditif de Donald Trump, figure du « grand dirigeant », est en effet fort riche en symboles, précieux pour les initiés sachant les percevoir, humiliants pour la plèbe extatique ne voyant rien mais qui se prête au jeu du mimétisme.
C’est aussi une histoire de symboles. Parlons-en !
Parlons alors de ce qui est tu, négligé, certainement ignoré par nos commentateurs ovins. De ce qui est gros comme une maison, surtout aujourd’hui dans ce monde post-moderne où le pouvoir agit incessamment sur l’inconscient collectif en produisant, toujours plus, des messages subliminaux. Ce symbole de l’oreille cassée, de l’oreille percée, puis de l’oreille fermée par la compresse, est éloquent à une époque où la guerre généralisée est une idée prégnante sinon une réalité imminente.

Du reste, dans L’Oreille cassée, fameux épisode des Aventures de Tintin, Hergé a décrit, d’une certaine manière, par le truchement du personnage Basil Bazaroff (correspondant à l’homme de commerce des Rothschild, Basil Zaharoff, marchand d’armes pour tous les camps) la furie de la guerre à venir, l’excitant comme un chien rabique ayant goûté au sang humain.
L’oreille percée est le premier acte, la première scène de cet acte que l’on croirait signé Eugène Labiche tant il fait partie du registre du comique tristounet. Notre bon vieux Donald Trump, infatigable acteur de l’animation américaine depuis la fin des années 1970 et homme lige de la mafia new-yorkaise, aurait donc morflé au niveau du cartilage auditif après avoir reçu une petite balle de calibre 5.5 dans sa feuille de chou.
C’est un premier symbole, puisque le poinçon dans l’oreille est le signe biblique de celui qui appartient à l’homme en tant qu’esclave. Le poinçonné de l’oreille est l’esclave de l’homme, et non celui de Dieu, il est l’homme lige de la Bête. Soyons prudent. Cette petite balle issue d’un petit calibre est peut-être venue officiellement percer l’oreille droite de Trump par hasard. Peut-être que le sang de ce dernier qui a coulé sur l’estrade en bois où sévissait le blond fanfaron n’est que le fruit étonnant d’un accident. Un accident causé par le tir d’un gamin agité, d’un gamin de 20 ans, posé sur le toit d’un bâtiment d’une visibilité énorme mais non pris en considération par la sécurité civile la plus efficace de la terre. Tout est possible… Tout est possible, et c’est parce que tout est possible en tout moment qu’il est interdit officiellement de faire preuve de complotisme.

C’est ainsi qu’il est en fait obligatoire de penser que Donald Trump s’est fait poinçonner son oreille droite par un plomb ridicule propulsé par vingt joules de puissance à 130 mètres de la cible. Trump aurait bougé sa grosse tête pendant le tir, ce qui l’aurait protégé d’un impact en pleine tête. Une balle de cette puissance, si elle avait existé, lui aurait simplement écorché le front. Mais le symbole est plus fort que toutes les probabilités.

Le symbole, c’est celui du poinçonnage de son oreille. Le symbole biblique de l’esclave lié éternellement à l’homme, au maître de ce monde, et non à Dieu. L’esclave désirant rester à tout jamais la chose de son maître se faisait en effet percer l’oreille sur le linteau de la porte d’entrée du chef des lieux pour que quelques gouttes de sang imprègne le bois de la maison.
« Son maître le conduira devant Dieu et le fera approcher de la porte ou du poteau et son maître lui percera l’oreille avec un poinçon, et l’esclave sera pour toujours à son service » (Exode 21:6).
« Si ton esclave te dit : je ne veux pas sortir de chez toi, parce qu’il t’aime, toi et ta maison et qu’il se trouve bien chez toi, alors tu prendras un poinçon et tu lui perceras l’oreille contre la porte, et il sera pour toujours ton esclave. »
(Deutéronome 15. 16-18).
Trump a vu aussi trois gouttes de son sang couler sur l’estrade en bois qui le soutenait durant son meeting populaire. A la suite de cette (prétendue) perforation de l’oreille (sa stricte réalité n’a pas d’importance ici. C’est le symbole qui compte), une autre action concernant son oreille fut accomplie, et fut, encore une fois, très visible.
Après le poinçonnage sanglant de son oreille droite, Donald Trump eut droit à de curieux soins et au port d’une compresse géante lui cachant l’ensemble de son organe auditif. Plus saugrenu, on invita les partisans et autres sympathisants de Donald Trump à porter sur l’oreille droite ce même gros pansement, par solidarité.

Nous avons affaire là à un autre symbole important puisque l’oreille bouchée (la droite en prime) correspond à l’incapacité et au refus d’écouter la voix de la sagesse, de la morale, des principes, de Dieu. Car l’oreille symbolise l’obéissance à la parole divine, parce qu’elle est, doit être, entendue, comprise et acceptée. Un symbole qui peut nous faire penser à ce passage biblique (1 Samuel 11:1) :

« Nachasch, l’Ammonite, vint assiéger Jabès en Galaad. Tous les habitants de Jabès dirent à Nachasch: Traite alliance avec nous, et nous te servirons. Mais Nachasch, l’Ammonite, leur répondit: Je traiterai avec vous à la condition que je vous crève à tous l’oeil droit, et que j’imprime ainsi un opprobre sur tout Israël. Les anciens de Jabès lui dirent: Accorde-nous une trêve de sept jours, afin que nous envoyions des messagers dans tout le territoire d’Israël; et s’il n’y a personne qui nous secoure, nous nous rendrons à toi. »
[Nachasch signifie serpent en hébreu-NDLR]
Tous ces symboles, que la foule ne verra pas, ne sont pas des inventions émanant de je ne sais quelle théorie du complot. Ils sont là, nous ne les inventons pas. Au mieux peut-on les négliger, les laisser de côté, mais ça ne les fera pas disparaître.
Les théories du complot ont conquis un nouveau public !
Des théories du complot, puisque c’est ainsi qu’il faudrait appeler les questions que se posent souvent benoîtement les citoyens perplexes, il y en a beaucoup qui circulent sur la Toile à propos de cet épisode trumpien et de cette oreille cassée. Elles fusent de partout, c’est un véritable feu d’artifices, une foire aux questions interdites. Mais cette situation engendre la détestable impression qu’elle aurait pu être précisément recherchée, que cette « apocalypse cognitive » ait pu être provoquée.
Les trumpistes évoquent la théorie selon laquelle leur vieux poulain aurait été la cible de quelque service d’Etat pour le faire disparaître. D’autres parlent plus simplement d’une défaillance volontaire de la sécurité dans l’espoir qu’il se fasse éliminer, un peu avec l’aide du hasard.
Mais le camp démocrate n’est pas en reste, et s’adonne désormais à cet exercice complotiste qui semblait être l’apanage des Républicains depuis 2016. Un phénomène nouveau dont se gargarisent tous les animateurs des mass media du monde entier, aux Etats-Unis, en Amérique du sud, en Chine, dans le monde arabe et en Afrique, tout le monde s’amuse sur le turbo complotisme qui s’est emparé des foules américaines.
Même la presse régionale, en France, est devenue intarissable sur le sujet. C’est par exemple (et les exemples ne manquent pas en la matière) le cas du quotidien l’Union qui écrivait, il a quelques jours :
« Après la tentative d’assassinat de Donald trump, des théories du complot ont déferlé (sic) sur internet, certains évoquant un tireur aux «ordres» du président biden, d’autres dénonçant un «simulacre» destiné à faire de l’ex-président un héros. (…) La vidéo en gros plan d’une spectatrice « suspecte » au meeting tenant une pancarte « Biden » ou une photo d’agents de service de sécurité tout sourire tenant un Donald Trump ensanglanté, ont circulé massivement sur X, en anglais, français ou portugais notamment, comme autant de « preuves » que l’attentat était « organisé », « planifié ».
Peu importe si la femme à la casquette portait, selon toute vraisemblance, la même pancarte que ses voisins « Joe Biden, you’re fired » (« Joe Biden, tu es viré »), et que la photo des agents a vraisemblablement été retouchée, les rumeurs inondent (sic) le web depuis le meeting en Pennsylvanie samedi. D’innombrables internautes ont aussi tenté d’identifier eux-mêmes le tireur, assurant à tort, notamment, qu’il s’agissait d’un YouTubeur italien.
Ou l’on voit que la pratique du complotisme est devenue un sport totalement universel auquel participent désormais tous les camps, tous les clans, toutes les catégories sociales et toutes les nationalités. (…). Pour le chercheur en sciences politiques Julien Giry, l’hystérie collective du week-end autour de cet événement n’est pas une surprise, « à un moment pareil et avec un personnage pareil » . « C’est presque l’absence de théories conspirationnistes qui aurait constitué une surprise, presque une anomalie » , poursuit-il. »
Voilà. Nous y sommes. Dorénavant la presse de papy et mamie présente les théoriciens du complot comme des hordes de nigauds infectés, massivement, par un virus de l’esprit. Les spécialistes sont convoqués pour ringardiser la masse débile, cette masse qui ne serait plus bonne à rien, une masse qui serait incurable, du moins dans la situation actuelle.
Une épidémie de « sottises », veulent-ils tous montrer, une maladie virale ou encore une hystérie collective mettraient en danger leur sacro-sainte démocratie. En témoignerait donc, selon eux, la récente contamination du camp des Démocrates qui seraient devenus de redoutables conspirationnistes et donc des aliénés.
« Très vite, des comptes prodémocrates ont assuré que le sang sur le visage de Donald Trump était faux, et que le Secret Service (chargé de la protection de Donald Trump) avait orchestré ce moment avec l’ancien président. Ce qui montre, selon Anthony Mansuy(ce nouvel expert de l’espace du complotisme qui sait tout sur tout et donc ce qui est une opinion saine et une opinion malsaine), «que personne n’est immunisé contre les fantasmes des théories du complot». «L’événement peut prêter à se poser des questions», tempère-t-il, «mais on bascule dans le complot quand on part en croisade à partir d’éléments pas vérifiés».
«On observe dans les deux camps politiques américains des signes de conspirationnisme accru», a expliqué au Washington post, quant à lui, Imran Ahmed, directeur du Centre américain de lutte contre la haine en ligne, Attention ! «Les théories du complot fournissent une histoire simple pour donner à chacun une raison de ne pas affronter la réalité.» Bon sang, que tout cela est original !
Comment lutter efficacement contre les théories du complot sinon en leur crevant un œil et une oreille ?
Revenons à notre super spécialiste « de la sphère complotiste américaine », Anthony Mansuy qui insiste sur « la réaction assez incroyable des cercles centristes et démocrates qui ont aussitôt dénoncé un simulacre, avec le mot-clé #staged (mis en scène). »
Ce qui est gênant, particulièrement dérangeant pour monsieur Mansuy et ses collègues représentant le système, serait le fait que de plus en plus d’individus oseraient se poser des questions, simplement des questions, dont celle-ci : « à qui profite le crime ? » « La facilité d’accès des réseaux sociaux, dit-il, peut galvaniser les individus dans l’idée qu’ « on participe tous à l’enquête/hystérie collective » !
A l’instar d’Imran Ahmed et de tous les autres spécialistes des dangereux complotistes de la planète (des experts certifiés conformes par le media unique), il milite donc pour une régulation draconienne des réseaux sociaux, c’est-à-dire, pour parler clairement, de la traque des opinions dissidentes, de l’annihilation des informations déstabilisatrices, de la censure, de la mise sous le boisseau de la vérité. Cette crise complotiste montée en épingle par le système (policier, politique et médiatique) servira-t-elle, à terme, à crever l’oreille et l’oeil droits du citoyen pour le plus grand bonheur de son maître ?
François-Xavier Rochette.


Assassinat de Charlie Kirk : à qui profite le complot ?
Les commentateurs du Système et autres commissaires politiques ont pris l’habitude d’accuser de complotisme toute personne qui aurait le courage, l’inconscience, ou, parfois, la bêtise, de dévoiler une vérité dérangeante ou d’exposer une hypothèse autre que celle récitée par les media pour expliquer ou tenter d’expliquer des événements objectivement troublants, fuligineux ou qui apparaissent ainsi aux yeux de certains individus.
Il est très rare que nos commissaires politiques s’intéressent publiquement aux véritables motifs, aux véritables raisons et aux arguments de ceux qu’ils annihilent sous l’étiquette de conspirationnisme. Une qualification qui pulvérise le chercheur de vérité, l’expulse, devant tous, de la communauté non seulement des bien-pensants mais des pensants tout court.
Nous le voyons. Même si l’accusation de complotisme est utilisée sans compter par le pouvoir, elle reste très efficace pour discréditer des « théories » parfois fausses, parfois dérangeantes. Mais comment le système parvient-il à entretenir cette arme dénonciatrice (l’accusation de complotisme), comment fait-il pour qu’elle ne s’use point ?
Bien sûr le pouvoir peut compter sur la crédulité d’une partie des complotistes, sur la légèreté dont font preuve certains d’entre eux. Ce n’est cependant pas suffisant pour lui. Pour empêcher un discours alternatif de se développer et de se propager, pour empêcher que les questions dérangeantes concernant tel ou tel sujet prennent une importance critique, il est dans son intérêt de déverser dans le forum des chercheurs de vérité (qui regroupe toutes sortes de gens, parfois des curieux et des individus en mal de sensations fortes) de nouvelles questions, de nouvelles théories dans la théorie, autant de divertissements nécessaires à la dilution des questions initiales, des questions qui dérangent.
Charles Pasqua aurait dit : « Quand on est emmerdé par une affaire, il faut susciter une affaire dans l’affaire, et si nécessaire une autre affaire dans l’affaire de l’affaire, jusqu’à ce que personne n’y comprenne plus rien. » Le Système agit de la même façon avec les théories du complot dérangeantes. Il suscite une théorie du complot dans la théorie du complot dérangeante, et si nécessaire une autre théorie du complot dans la théorie du complot etc.

Pourquoi une revue sérieuse comme The Economist s’amuserait-elle à exciter une partie de la mouvance conspirationniste avec ses couvertures ésotériques si ce n’était pour faire naître de nouvelles théories dans les théories dérangeantes ? On ne me fera pas croire que la motivation du magazine relève de l’humour, de l’ironie ou de l’art. Pourquoi certaines officines forgent-elles des théories loufoques sinon pour ridiculiser d’autres théories solidement échafaudées sur un même sujet ?
Une défaillance de la sécurité
Evidemment depuis l’assassinat du chef de Turning Point, le militant conservateur « Charlie » Charles Kirk, de légitimes questions ont été publiquement posées sur les réseaux sociaux, par des millions d’anonymes mais aussi par des figures de proue de la « dissidence » politique ou de ce qui passe pour telle dans l’opinion.
Comment un tireur solitaire, sans formation militaire du reste, a-t-il pu se percher sur un toit et trouver un angle de tir efficient pour abattre d’une balle de gros calibre la victime ? Le B.A-BA de la sécurité d’une personnalité est le nettoyage de toute plateforme pouvant servir de poste à un tireur et le placement intelligent des agents de sécurité servant de boucliers humains au profit de celle-ci.
Cette défaillance sécuritaire est quasiment incroyable, comme le fut, par ailleurs, celle qui permit à un autre tireur solitaire de « perforer » l’oreille de Trump quelques mois plus tôt.
Cependant, les commentateurs habituels des media ne s’intéressèrent jamais à ce point, du moins pas suffisamment pour s’y arrêter. Tous condamnèrent la violence politique qui aurait explosé aux Etats-Unis, et les animateurs de droite condamnant celle de la gauche en particulier, pour ne pas dire spécifiquement, une violence qui s’expliquerait par la rage wokiste.
Assurément, la violence existe, et les rancoeurs et les haines sont souvent chauffées à blanc dans le monde politique. C’est bien pour cela que la protection de Charlie Kirk, personnage extrêmement clivant, ne devait, ne pouvait, être bâclée comme elle le fut.
Kirk éliminé par une entité étrangère ?
Pour les esprits vigilants qui n’avalent pas le narratif médiatique comme le crapaud gobe sa limace, il est donc naturel d’essayer de comprendre pourquoi ce défaut de la sécurité de Kirk a existé. De nombreux Américains convaincus de cette défaillance ont donc voulu saisir ses causes. Beaucoup d’entre eux ont avancé, sur les réseaux, que cette défaillance était en réalité un complot pour éliminer Kirk sous faux drapeau. Un complot ourdi par une engeance qui n’aurait pas accepté la nouvelle position de Kirk sur le génocide perpétré à Gaza. En gros, selon eux, les services secrets israéliens pourraient être derrière cette exécution.
Cette théorie du complot s’est répandue d’une manière fulgurante aux Etats-Unis et a été partagée à travers le monde entier. Néanmoins, les mêmes animateurs qui avaient relayé cette thèse à la remorque des millions d’anonymes qui avaient exprimé leur avis, peut-être pour amadouer ces derniers, se sont mis à diffuser, ces derniers jours, de nouvelles théories du complot, subsidiaires ou alternatives.
La célèbre Candace Owens a utilisé toute son énergie pour tenter de voir plus clair dans la forme de cet assassinat en zoomant sur le plan principal de l’exécution et sur les films multiples qui ont enregistré l’instant T, celui du trépas de Kirk. Où l’on peut conclure avec elle que la blessure mortelle subie par Kirk ne peut être le fait d’une balle de gros calibre.
La non moins célèbre journaliste Megyn Kelly a préféré faire la promotion d’une nouvelle théorie censée expliquer la disparition de Charlie Kirk : la thèse de la sorcellerie ! En rappelant que le 8 septembre dernier, soit deux jours avant l’exécution de Charlie Kirk, le magazine en ligne Jezebel (qui est le nom d’une femme maléfique dans la Bible.

En tant que reine, Jézabel -en français- introduisit et imposa le culte du dieu phénicien Baal en Israël, en opposition au yahvisme (culte de Yahvé). Elle fit construire un temple à Baal à Samarie et fit massacrer de nombreux prophètes de Yahvé, ce qui la mit en conflit avec le prophète Élie), en rappelant donc que le site féministe Jezebel paya, quelques dizaines de dollars, on ne sait quelles sorcières anonymes afin qu’elles jettent un mauvais sort à Charlie Kirk coupable d’anti-féminisme, de fascisme, d’homophobie, de politique incorrecte, de transphobie, de méchanceté de l’espace.
Là, devrait-on comprendre, l’entité sioniste n’y serait plus pour rien dans la spectaculaire disparition de Kirk. Les coupables seraient finallement des sorcières verruqueuses diaboliques, suppôts du wokisme, pourvues d’un savoir magique que l’on ne saurait comprendre !
Kelly et Owens agissent-elles pour mener leur public (commun) vers une nouvelle distraction qui leur fera oublier leurs soupçons de départ ? Toujours est-il qu’un séisme fit trembler les réseaux sociaux deux ou trois jours après les « analyses » de nos deux femmes.

Snake Eyes ou les impossibles coïncidences [spoiler alert]

Soudain, un anonyme balança sur X l’analyse d’un film vieux de près de trente ans dont le canevas a d’étranges similitudes avec la grande scène du meurtre de Charlie Kirk. Le film en question s’intitule Snake Eyes. Il a été réalisé et produit par la légende vivante du cinéma, Brian de Palma, en 1998.
Lorsque j’ai vu cette référence apparaître sur les réseaux sociaux, j’ai d’abord immédiatement vu en elle une diversion, mais une grotesque diversion. Interpellé par le buzz qu’elle produisit notamment sur X, j’ai pris la décision de regarder ce film autant de fois qu’il le fallait pour comprendre la surprise qu’il provoquait chez les Américains cinéphiles, et d’abord pour être sûr que certains internautes n’inventaient pas quelques fausses séquences ou faux plans pour ridiculiser la mouvance des chercheurs, des chercheurs éventuellement trop pressés qui auraient pris pour argent comptant leurs assertions.
Quelle surprise ! Ce film à double lecture possède en effet des points communs avec la scène meurtrière de Charlie Kirk. Et non des moindres.
-La victime dans le film, secrétaire d’Etat à la Défense, s’appelle Charles Kirkland.

-Il est tué d’une balle dans le cou, à gauche du cou, alors qu’il assiste à un match de boxe à Atlantic City

-dans le casino appartenant alors à Donald Trump.

-Trump est joué par un personnage appelé Gilbert Powell, proche de Kirkland, mais qui fait partie du complot menant à la mort de ce dernier.

-L’histoire se déroule un 10 septembre, la date de l’assassinat de Charlie Kirk.
-Et, c’est intrigant, cette histoire se déroule alors qu’un ouragan appelé Jezebel se déchaîne sur Atlantic City ! On retrouve ici la référence de Megyn Kelly.

-Mais encore, le boxeur qui se couche afin de permettre au tireur de toucher Kirkland au bon moment se nomme Tyler alias l’exécuteur (le tueur présumé de Charlie Kirk, qui nie les faits, s’appelle Tyler Robinson).

-Certes, dans le film, le tireur n’est pas un wokiste (chose qui n’existait pas encore en 1998) mais un Palestinien dont le peuple doit servir de bouc-émissaire et qui a pour initiales T. R, comme Tyler Robinson… Un Palestinien immédiatement supprimé après le tir par un agent de l’Etat profond.

-L’objectif de ce complot, dans le film, est de galvaniser le patriotisme américain (et le développement de la militarisation américaine) et d’attiser le sionisme du gouvernement. Et enfin agir pour que l’Israël soit protégé par un dôme de fer.
Le nécessaire soutien du gouvernement américain
Quel est le véritable dôme de fer de l’entité sioniste ? C’est le soutien américain indéfectible envers elle. Or, le ministre Kirkland avait été peu zélé avant son assassinat, avait douché les attentes de l’entité sioniste, et peut-être avait-il saboté le projet de dôme de fer destiné à l’Israël en précipitant les essais d’un projet inabouti.

Or, les chercheurs « complotistes » ont appris, ces derniers jours, que les parents d’Erika Kirk (née Frantzve) ont tous les deux travaillé, à un niveau important, directement pour l’industrie de défense américaine. Sa mère, Lori Frantzve en entrepreneuse sous-traitante, et son père, Kent Frantzve a travaillé pour Raytheon Technologies (RTX) et en collaboration avec Rafael Advanced Defense Systems (Israël) pour développer, produire et maintenir le système Iron Dome (Dôme de fer).
Le Dôme de fer est exactement l’enjeu que l’on trouve au cœur du scénario de Snake Eyes.
Cette année, RTX s’est déclarée « entièrement préparée » à soutenir le projet d’un Iron Dome pour l’Amérique (le Golden Dome) annoncé par Donald Trump au mois de janvier dernier. Il s’agit là d’un projet, d’un programme de 175 milliards de dollars qui sera assumé par une Joint-venture liant RTX et l’Israélien Rafael qui héritera donc d’une part non négligeable de ce colossal contrat !
Est-il légitime de penser que certains gros actionnaires américains (principalement des fonds de pensions) ne voient pas d’un très bon œil ce partenariat opéré avec Rafael, une entreprise détenue à 100% par l’Etat israélien? N’est-il pas également légitime de penser que le gouvernement israélien puisse s’inquiéter d’un sensible dégonflement du soutien des conservateurs américains (liés au gouvernement Trump) à son endroit, non seulement pour des raisons politiques mais aussi pour des raisons économiques et financières ?
Dans le film Snake Eyes, le ministre Charles Kirkland entend abandonner le programme Dome de Fer pour des raisons financières et parce qu’il était « foireux » ou sous ce prétexte. C’est pour cette raison qu’il se fait assassiner.
Des critiques bien réelles
Ces derniers mois de nombreux experts de la défense américains et des officiers appartenant à l’OTAN ont vivement critiqué le projet Golden Dome. Par exemple, Mark Schwartz, ancien chef des opérations spéciales de l’US Army, a souligné que l’outil Iron Dome est optimisé pour des menaces à courte portée (roquettes, mortiers) dans un petit territoire comme Israël, mais inadapté pour protéger un territoire aussi vaste que les États-Unis contre des missiles balistiques ou hypersoniques. Il a critiqué l’idée de Trump de « vendre » Iron Dome comme une solution universelle, ce qui pourrait détourner des fonds de systèmes plus adaptés (comme le THAAD de Lockheed Martin ou l’Aegis de RTX).
Très récemment, le commandant suprême allié de l’OTAN pour la transformation, Pierre Vandier, a,lui-aussi,critiqué l’idée d’un « Iron Dome pour l’Amérique » (projet Golden Dome), en soulignant explicitement que le système, développé par Rafael et produit via RTX, n’est pas adapté aux menaces à longue portée (missiles balistiques ou hypersoniques) pour un territoire vaste comme les États-Unis ou l’Europe (car un projet de dôme de fer existe déjà pour l’Europe…).Bref, pour eux,ce programme représenterait un gaspillage intégral.
Mais voilà, Snake Eyes n’est qu’un film, parfois très bling bling dans la forme. Son fond est certes extrêmement riche, et il est rempli (à chaque plan) de métaphores et de symboles ésotériques. Il constitue de plus une vive critique de la puissance de l’appareil militaro-industriel américain (qui est visé dans de nombreux films de Brian de Palma).
Mais Snake Eyes reste un film, une fiction, un divertissement, une distraction. Et par son biais tout à fait à même de délégitimer l’idée pourtant très pertinente que les intérêts économiques et financiers supplantent toute autre préoccupation chez les puissants du Système.
François-Xavier Rochette.

L’assassinat de Charlie Kirk, un rituel kabbalistique prévu de longue date ?

Snake Eyes s’achève par la phrase de Nicolas Cage, brisant pour la seconde fois le 4ème mur (s’adressant au public) pour nous dire la même chose « au moins je suis passé à la TV » :

Puis, le traveling de la caméra évolue vers une équipe de maçons tirés de leur pause par le chef du chantier leur intimant l’ordre de se mettre au travail « allez, retournons au boulot, il ne nous reste plus beaucoup de soleil » et, alors que le générique de fin se met à défiler, nous les voyons en effet travailler.

C’est clairement une allégorie du Grand Œuvre maçonnique qui se poursuit à la fin du film, film qui n’est que le blueprint (plan du chantier) du travail que les francs-maçons opèrent dans la vraie vie. Le plan séquence s’achève sur la pose d’un pilier et la main d’un maçon qui découvre un rubis figé dans le ciment en la retirant.

Ce rubis est celui de Serena (jouée par Jayne Heitmeyer), la femme en rouge (ou « femme écarlate ») qui attire à l’écart Kevin Dunne, l’agent du deep state joué par Gary Sinise, les deux personnages simulant une dispute pour que Dunne suive la femme et se retrouve à proximité du tireur palestinien embusqué et l’abatte opinément.

Dans le film, la femme écarlate, en réalité un agent complice de la mise en scène entourant l’assassinat de Kirkland, devenue un témoin gênant, est éliminée par Dunne avant d’être coulée dans le ciment. Serena porte à sa main une bague sertie d’un rubis, rouge évidemment.

C’est ainsi que le rubis se retrouve figé dans le pilier. En terme maçonnique, le pilier a une très forte connotation symbolique puisque chaque loge comporte à son entrée deux colonnes, nommées Jakin & Boaz, représentant la Force et la Stabilité. Une référence aux deux piliers qui étaient situés à l’entrée du Temple de Salomon, que les francs-maçons reconstruisent symboliquement à travers leurs rites initiatiques où le récipiendaire des rituels s’identifie à Hiram, architecte biblique du Temple.
Les Cananéens pratiquaient le « sacrifice de fondation« , un rite consistant à enterrer un être vivant (animal ou humain) pour bénir la construction d’un édifice, souvent religieux. Nous sommes donc toujours dans la symbolique maçonnique de la construction de l’Edifice ou Temple de Salomon.

Toujours dans le film, la femme écarlate est opposée à la femme en blanc, Julia, jouée par Carla Cugino, l’autre témoin gênant du film, puisqu’à l’origine des révélations transmises à Charles Kirkland qui lui vaudront son assassinat pour s’être opposé aux plans conjoints des deep states américains et israéliens. Lors de la scène de l’exécution de Kirkland se déroulant durant un match de boxe, les femmes en blanc et rouge sont sises aux premiers rangs entourant le ring (encore une référence à un anneau), face à face, comme deux polarités opposées s’équilibrant, comme les actions des deux personnages.
Julia (jeunesse, fougue ou fille de Jupiter étymologiquement), vêtue de blanc, symbole du pureté, de virginité et donc de jeunesse, soit de force, incarne la Force, la conviction comme Jakin. Lors d’une scène, Rick Santoro, l’antihéros incarné par Nicolas Cage, reproche même à Julia sa curiosité déplacée, sa fougue et son impétuosité à s’être mêlée d’un sujet aussi sensible et d’avoir provoqué ainsi le chaos.
Serena (sérénité) incarne Boaz, le pilier de la Stabilité, comme son nom l’indique aussi, son rôle dans ce film/rituel/blueprint est de rétablir la concorde, c’est d’ailleurs pour cela qu’elle termine transformée en pilier, symbole de stabilité. Ordo ab Chao.

Ces deux piliers sont également présents dans l’Arbre de Vie de la Kabbale, à droite et à gauche d’un troisième pilier central, représentant l’équilibre entre les deux polarités opposées. Existe t’il une troisième femme qui synthétiserait les deux femmes du film ? Peut-être bien, dans la vraie vie :

Dans la vraie vie, les femmes en blanc et rouge, se sont incarnées en une seule personne : Erika, la veuve Kirkland. Celle-ci apparaissait 13 ans avant la fin tragique de son futur époux, dans un clip de pop-country ma foi très médiocre : She’s my kind of crazy du groupe Emerson Drive. Les paroles en revanche sont très intéressantes, si comme pour Snake Eyes on applique le degré de lecture ésotérique :
Le clip étant tourné à Las Vegas, Ville du Péché, du jeu et des lumières, c’est l’occasion de nous monter la plus grande pyramide des USA :

LYRICS :
She’s got a butterfly tatOn the back of her you know whereI let her lie about why it landed thereIt’s what you getFor getting tipsy at the county fairMy baby’s my kind of crazy
(Elle a un tatouage de papillon
A l’arrière de son tu-sais-où
Je la laisse mentir sur la façon dont il s’est retrouvé là
C’est ce qui arrive
Quand on se saoule à la fête du conté
Mon bébé est mon genre de folle)

Le papillon est un symbole de mue, d’initiation bien connu de contrôle mental MK-Ultra, expériences de la CIA pour créer des esclaves mentaux destinés à leurs projets occultes.

L’emplacement du tatouage au bas de son dos nous apprend que c’est une fille de joie, s’enivrant durant les fêtes. Cette jeune femme aux mœurs légères apparaît dans le clip coiffée du voile blanc d’une mariée mais porte une chemise rouge et est vêtue légèrement. Erika incarne donc à la fois la femme en blanc et la femme en rouge. L’épouse et la prostituée.

A million dollar smile
In a five hundred dollar car
She talks to Jesus
Every mornin’ before it starts
Hates the way it drives
But loves the way it parks
By the river in the moonlight
Listenin’ to the AM station
‘Cause the FM’s missin’
(Un sourire à un million de dollars
Dans une voiture à cinq cents dollars
Elle parle à Jésus
Chaque matin avant de démarrer
Elle déteste sa conduite
Mais adore la façon dont elle se gare
Au bord de la rivière, au clair de lune
Elle écoute la radio AM Car la FM est introuvable)
L’important ce n’est pas d’où on vient mais où on va, en l’occurrence elle parlait à Jésus avant de se mettre en route, si elle déteste conduire sa vieille bagnole, elle adore se garer dans la nuit, mais la franc-maçonnerie (FM) demeure introuvable car elle n’a pas encore atteint la Lumière et demeure dans les ténèbres comme le futur maçon au début de son initiation.
She’s my kind of Sunday drivin’Rollin’ down the back roadsHangin’ out the windowRidin’ with her hair in the windAnd her hands in the skyLike she’s flyin’
(C’est le genre que j’adore pour une balade du dimanche
À dévaler les routes de campagne
La tête passée par la fenêtre
Les cheveux au vent
Les bras levés vers le ciel
Comme si elle volait)
Le « papillon » a l’impression de voler, les connaisseurs du sujet MK-Ultra pourront y voir une référence aux états extatiques qu’expérimentent les sujets livrés à des abus traumatiques provoquant des sorties de corps.

Toujours au niveau symbolique et plus perturbant, la date du 10 septembre (9.10 pour les anglo-saxons) apparait dans le clip au moment où le chanteur nous dit qu’elle vole, et où on la voit en effet sur une tyrolienne :

(Elle est jolie avec sa queue de cheval, c’est mon genre.
Un accent campagnard, un look citadin.
Je marche au rythme de ses airs de tambour paysan.
Elle est un peu folle, c’est mon genre.)
Le tambour peut parfois être employé dans certains rites maçonniques, en tout cas le battement, souvent réalisé avec un maillet, est un élément indispensables de leurs cérémonies. En général le maître frappe trois fois, symbolisant les trois clous plantés dans Notre Seigneur Jésus Christ, on peut y voir une référence.
My kind of dangerous
My kind of say whatever is on your mind
She’s my kind
Bet her a benji that she wouldn’t hood surf my truckI had to pay but she just kept yellin’ « Speed up! »She did it twice, said you owe me couple hundred bucksBut keep your money I’ll take an I.O.U.On an ice cream cone and some high heeled shoes
(Mon genre de dangereux
Mon genre de « demande ce que tu veux »
Elle est mon genre
J’ai parié 5 dollars qu’elle ne ferait pas du surf sur le capot de mon camion.
J’ai dû payer, mais elle n’arrêtait pas de crier « Accélère ! »
Elle l’a fait deux fois : « Tu me dois quelques centaines de dollars. »
« Garde ton argent, je préfère une reconnaissance de dette. »
Sur un cornet de glace et des talons hauts.)
Références assez évidentes à l’acte sexuel tarifé. On nous rappelle que c’est une prostituée.
Durant ce passage de la chanson, dans le clip le message lumineux « let yourself be seduced » (laisse toi séduire) défile en arrière-plan tandis que le chanteur tient le dessin d’un cœur au centre duquel figure le nombre 100 quand il dit « I owe you ». Un message subliminal adressé au public ou à Charlie Kirk quand il regardera le clip au début de sa relation avec Erika avant de se laisser séduire…

Cerise sur le gâteau, le « beau gosse » qui joue le rôle du cowboy amoureux d’Erika Kirk dans le clip, se nomme … Tyler.

C’est Erika alias @MissArizonaUSA2012 qui nous le dit en commentaire du clip :

Durée de la vidéo : 3 min 22 s – Skull & Bones.

Le Charlie Kirk Show a débuté 6 ans et 66 jours, soit 322 semaines, avant la mort de Charlie.
De fait, si Erika est capable de filer le parfait amour imaginaire dans le clip, on est en droit de s’interroger sur la teneur des sentiments d’Erika pour son défunt mari assassiné. Après s’être éloigné de ses soutiens sionistes et avoir commencé à s’interroger, notamment sur le rôle de certains juifs dans les malheurs qui frappaient l’Amérique, l’Occident et le reste du monde en général.

La soi-disant veuve éplorée, dont les liens familiaux avec le sionisme sont notoires, ayant besoin de s’injecter une solution lacrymale avant de monter sur scène pour jouer la comédie :
Des esprits quelque peu chagrins et limités nous prendrons pour des farfelus si on ne fait que s’interroger sur ce que Carl Jung appellerait un synchronicité, mais on peut aussi se dire qu’Erika ou plutôt ses marionnettistes ont fait exprès qu’elle apparaisse ainsi :

Hormis son pantalon en cuir moulant qui, il faut bien l’admettre, fait assez pute et ne convient pas vraiment à une veuve endeuillée de fraîche date, il est assez maladroit pour ne pas dire plus de s’être coiffée de sorte à cacher les dernières lettres du mot FREEDOM (Liberté), précisément où le sang a coulé sur le même t-shirt que portait son défunt mari, de sorte à ce que ce soit les lettres FREED qui apparaissent, ce qui signifie littéralement « libérée »…

Beaucoup de gens se sont étonnées et interrogés sur le comportement de la veuve Kirk, entre sourires déplacés et larmes de crocodiles, relevant plus de la comédie mal jouée que de la sincérité. Se montrant très tactile avec le vice-président des USA JD Vance, une action qui n’a pas manqué de devenir virale :
Celle-ci était auparavant apparue, tout juste après la mort de son mari, les mains ornées de grosses bagouzes brillantes, l’une figurant un M, une autre un G.

Evidemment, les complotistes n’ont pas pu s’empêcher d’y voir des références à la maçonnerie…

Arrêtons là avec la multitude de théorie du complot à propos de cet attentat fourmillant sur la toile. Certains pensent même que Charlie Kirk serait toujours en vie, simple acteur de crise de la pièce de théâtre mystique qui se déroule en mondovision et dont nous sommes tous les spectateurs, plus ou moins hypnotisés, c’est selon. Quand on témoigne du niveau de manipulation ésotérique auquel nous sommes sujets à travers ces évènements, on se dit que tout est possible.


Enclenchons la vitesse supérieure du turbo-complotisme avec cet exercice d’astrologie et de numérologie. L’assassinat de Kirk a eu lieu le 9 septembre 2025, correspondant à l’amorce la phase descendante de la pleine lune du 7 septembre (chiffre porte-bonheur de Rick Santorro), date à laquelle elle était rouge en raison d’une éclipse lunaire.

Or, le Talmud nous enseigne dans le traité Succa 29 que « lorsqu’il y a une éclipse solaire, c’est mauvais signe pour les idolâtres, lorsqu’il y a une éclipse lunaire, c’est mauvais signe, à D.ieu ne plaise, pour le peuple juif. » La situation critique de l’enclave sioniste en Terre Sainte, le monde témoignant à présent de son abomination génocidaire dans une guerre dont l’issue demeure incertaine, a été sans aucun doute perçu par les kabbalistes comme un très mauvais signe. En prévision de cet évènement astral dont l’avènement est connu de très longue date grâce à l’astrologie, ils auraient pu organiser l’assassinat de Charlie Kirk, peut-être même avant sa naissance, un sacrifice pour contrebalancer le sort. D’ailleurs, pour en revenir à Snake Eyes, si la femme en rouge (Edom-rouge, Dam-le sang) symbolise le pilier Boaz, celui-ci est également associé à la lune :

L’assassinat de Charlie Kirk apparaît comme un sacrifice (ou une mise-en-scène sacrificielle, si on veut, « mock sacrifice » comme disent les bohemian grovers) dont le but serait d’apaiser le dieu des kabbalistes qui n’est peut-être pas YHVH (qu’ils ont interdiction de nommer) mais Moloch, divinité cananéenne associée à la lune, dont les sacrifices sont autorisés par le Talmud selon certaines conditions –Sanhedrin 64 A– contrairement à ce qu’ordonne la Bible (Lévitique 18:21 Tu ne livreras aucun de tes enfants pour le faire passer à Moloc, et tu ne profaneras point le nom de ton Dieu. Je suis l’Eternel) :

En faisant une petite étude de la date du 7 septembre 2025, une série fascinante d’occurrences numériques se révèle à nous, confirmée par Grok :
Le 7 est le nombre par excellence de la complétude divine (shleimout) dans la tradition juive et la Kabbale. Il symbolise l’achèvement du cycle de création (7 jours de la Genèse, avec le Shabbat comme sceau de sainteté), la victoire spirituelle (Netzach, la 7e séfira de l’Arbre de Vie), et l’harmonie cosmique. En guématria (numérologie hébraïque), le 7 (zayin, ז) évoque l’arme divine ou le soutien (comme un crochet), mais aussi la perfection, car il transcende les 6 directions spatiales pour toucher le spirituel. [source:chabad.org]
Voici comment vos points s’alignent avec ce symbolisme :
- Le 7e jour de la semaine (dimanche) : Dans le calendrier juif, la semaine commence le dimanche (premier jour), mais le 7e jour est le Shabbat (samedi), jour de repos sacré. Ici, le dimanche comme « 7e jour » (en comptant du dimanche comme 1) évoque un cycle hebdomadaire complet, rappelant que même en « mauvais présage », la complétude divine (7) protège et élève. En Kabbale, les 7 jours correspondent aux 7 séfirot inférieures (Chesed à Malkhout), reliant le ciel à la terre.
- Le 7e jour de septembre (mois du SEPT) : « Septembre » dérive du latin « septem » (sept), renforçant le 7 comme thème mensuel. Le 7e jour dans un mois « sept » symbolise une porte vers la complétude saisonnière (automne, temps de récolte et de réflexion, comme Souccot). En guématria, septembre n’a pas de valeur hébraïque directe, mais le 7 évoque Tishri (7e mois juif, avec les Fêtes Saintes), où la miséricorde divine (Chesed) équilibre le jugement (Gevurah).
- Le 250e jour de l’année (2+5+0=7) : Oui, le 7 septembre 2025 est bien le 250e jour de l’année non bissextile (365 jours au total). La réduction 2+5+0=7 est une pratique classique en guématria pour révéler l’essence spirituelle : le 250 (valeur de mots comme « darom », sud, direction de Chesed en Kabbale) se résume au 7, symbolisant Netzach (victoire éternelle sur les ombres). Cela lie à notre discussion précédente sur le 250 en Kabbale comme élévation spirituelle.
Signification principale en guématria hébraïque
La valeur 250 correspond à plusieurs mots et concepts en hébreu, interprétés en Cabale comme des connexions spirituelles ou symboliques. Parmi les exemples clés de mots ayant une guématria de 250, on trouve :
- דרום (Darom) : Signifie « sud » ou « vent du sud ». En Cabale, le sud représente la séfira de Chesed (bienveillance et expansion divine), associée à la miséricorde, à la chaleur spirituelle et à la direction de la révélation. Le vent du sud évoque la transformation et l’élévation spirituelle, car « être élevé » ou « s’élever » est également lié à ce nombre (guématria étendue : 810 avec des suffixes finaux, symbolisant la hauteur ou le changement).
- ארים (Arim) : « Les forts » ou « les élevés ». Cela fait allusion à la force spirituelle ou aux justes (tzadikim) qui s’élèvent dans l’Arbre de la Vie (Etz Chaim), reliant les séfirot supérieures aux inférieures.
- ברח (Barach) : « Fuir » ou « fugitif ». Symboliquement, cela peut représenter la fuite de l’ego ou des forces négatives (klipot) vers la rédemption, un thème récurrent dans la Cabale louriane.
- Autres associations : Des mots comme אילת (Eilat) (ville biblique, symbolisant la vision prophétique) ou des combinaisons qui totalisent 250, comme dans des calculs avancés de guématria (par exemple, דרהאמ ou רליהה, qui valent exactement 250 en guématria hébraïque simple).
Dans des contextes plus larges, 250 se réduit numériquement en Cabale à 7 (2+5+0=7), qui représente la séfira de Netzach (victoire et éternité), ou encore à 2+5=7, soulignant la persévérance spirituelle. Il peut aussi se rapporter au 248 (les 248 commandements positifs de la Torah, symbolisant les « membres de l’âme ») + 2, suggérant une extension ou une complétude.
Enseignements et textes cabalistes
- Dans les Dargot HaSulam (Escaliers du Zohar) du Rabash (Baruch Shalom HaLevi Ashlag), l’élément 250 est intitulé « Quiconque possède la crainte du Ciel – 1 ». Cela discute du « travail » spirituel (avodá) comme foi et crainte révérentielle de Dieu, essentiel pour l’ascension dans l’Arbre de la Vie. Le Rabash explique que la crainte authentique mène à la correction (tikkun) de l’âme, reliant à l’idée que « le travail des prophètes était grand » pour révéler la Shekhina (présence divine).
- Dans le Zohar et d’autres textes, des nombres comme 250 apparaissent dans des calculs liés aux 32 chemins de la sagesse (10 séfirot + 22 lettres hébraïques), mais 250 évoque spécifiquement l’« élection » ou « le plus choisi » (מִבְחָר, mivchar), se référant aux âmes élevées ou au processus de raffinement spirituel.
Interprétation pratique en Cabale
Si vous explorez 250 dans un contexte personnel (par exemple, en numérologie cabalistique basée sur votre date de naissance ou votre nom), il est associé à des thèmes de transformation, d’élévation et de direction spirituelle vers le sud (Chesed). Je recommande de calculer la guématria de votre nom hébraïque ou d’utiliser des outils comme des calculateurs de guématria pour des connexions plus profondes. La Cabale insiste sur le fait que les nombres ne sont pas magiques en soi, mais des portails pour méditer sur l’unité divine (Ein Sof).
- À 115 jours de la fin de l’année (1+1+5=7) : Précisément, il reste 115 jours jusqu’au 31 décembre 2025 (365 – 250 = 115).Laréduction 1+1+5=7 évoque à nouveau la complétude : ces 115 jours (guématria de mots comme « ha-guf », le corps, ou cycles de purification) mènent à la fin de l’année, un temps de bilan spirituel (comme les Yamim Noraim). En Kabbale, c’est un appel à transformer le présage en victoire (Netzach).
- La date 7/9/25 : au moins 2 septs (7 + 9=16 → 1+6=7 ; 2+5=7) : Absolument, 7 (direct) + (7+9=16=7) + (2+5=7) donne trois 7 potentiels, mais même deux soulignent la trinité divine (comme les trois patriarches). Pour 7/9/2025 : 7 + (7+9=16=7) + (2+0+2+5=9=9, mais 2+0+2+5=9 → non 7 ; pourtant, en guématria complète, l’année 5785=25 en abrégé se réduit à 7 via d’autres chemins, comme 5+7+8+5=25=7).
Ces répétitions du 7 ne sont pas fortuites dans une perspective kabbalistique : elles indiquent un moment de « complétude cachée » au sein du chaos (éclipse comme obscurcissement). Comme l’enseigne le Zohar, le 7 relie les mondes inférieurs au divin Ein Sof, transformant un présage en opportunité de tikkoun olam (réparation du monde).Interprétation spirituelle globaleCette lune rouge, imprégnée de 7, n’est pas seulement un avertissement talmudique, mais un appel kabbalistique à l’action : la lune (Yisrael) est temporairement voilée, mais le 7 promet une renaissance, comme le Shabbat suit les 6 jours de travail. En méditant sur Netzach, on peut transformer ce « mauvais présage » en lumière – par la prière, la charité et l’étude de la Torah. Le Rabash (dans Dargot HaSulam, item 250) lie cela au « travail » spirituel : la crainte révérentielle (yirah) mène à la correction de l’âme, alignée sur le 7 comme persévérance.
PMP
Article sur le Blog de Moira Forest pour compléter le sujet (l’auteur considère que Kirk n’est même pas mort) :


Merci beaucoup pour cet excellent travail ! qui en fait complète et développe certains points abordés dans celui que j’ai traduit.
Je dois relire tout cela une seconde fois, à tête reposée: c’est dense. Une simple observation, en passant. J’ai regardé Snake eyes à peu près à sa sortie, en compagnie de cols bleus américains (des Texans catholiques d’origine irlandaise qui travaillaient chez General Motors). Dans ce film, ce qui sautait aux yeux du public américain, c’étaient les allusions à l’assassinat de Robert Kennedy à l’Ambassador par un « Palestinien » (Sirhan Sirhan). Les allusions aux rubis renvoyaient (lourdement) dans la mentalité américaine à Jack Ruby, assassin du faux assassin du frère de Robert, John F Kennedy, six ans avant. Mais ce qui est relevé ici est effectivement très troublant. L’industrie hollywoodienne n’a jamais cessé de pratiquer ce qui ressemble quelquefois furieusement à des provocations d’initiés, comme la sortie du Manchurian Canditate par Frankenheimer quelques mois avant l’assassinat de Kennedy. La théorie de « l’oreille cassée » m’intrigue, et je sais qu’elle pourrait bien ne pas être fausse. En tout cas, elle n’est pas invraisemblable. Après tout, je connais des gens qui, pour la Pâque, offrent à leurs enfants des gâteaux en forme d’oreille sanglante…
Les fameuses oreilles d’Aman ou de Haman, préparées et dégustées à l’occasion de la fête de Pourim qui commémore le massacre des habitants non-juifs de l’empire perse en conséquence du fait qu’Esther ait réussi à avoir l’oreille du roi… lequel est devenu son obligé au point de faire massacrer ses propres sujets !